Alors que le Maroc s’occupait du Sahara Occidental (la marche verte) L’armée de Boumediene avance vers l’ouest (l’est marocain). Bien des territoires ont été « confisqués » et les fellahs de Figuig chassés par une armée nombreuse et très violente (au moment de la cueillette des dattes l’armée algérienne a organisé des razzia, a chassé les fellahs de leurs terres et cueilli les dattes qu’elle a acheminée vers Beni Ounif).
Ne pouvant plus riposter car les populations locales sont désarmées et sévèrement punies en 1972 par l’armée marocaine, des marches ont été organisées vers les territoires confisqués : l’armée du royaume a bloqué les populations jouant ainsi le jeu des algériens. On a compris alors que le Maroc était complice de l’Algérie et que le territoire est « cédé » ou « vendu » aux algériens par « colère royale… »
Les figuiguiens se sentaient déçus, menacés et trahis par un Maroc qui les abandonne et une Algérie qu’ils ont très bien soutenu (homme, armes, refuge, nourriture) et qui se retourne contre eux.
Le traité de 1972 par lequel le Maroc a cédé d’immenses territoires à l’Algérie était inconnu par les populations locales. Les autorités marocaines n’ont jamais parlé de ce fameux traité signé par Monsieur Benhima et Bouteflika
Par endroits, entre 1963 et 1979, l'Algérie nouvellement indépendante a squatté de vastes étendues à l'intérieur des terres marocaines. L'ancien comme l'actuel maires de Figuig, Omar Abbou, de même que plusieurs villageois originaires de cette partie du pays, sont catégoriques et les détails qu'ils nous ont fait parvenir apportent un éclairage sur les terres confisquées par les Algériens. Ainsi, en 1963, à Boussaïd, Nkhaïlate et Tamadmaïte les villageois ont perdu respectivement 18, 26 et 21 kilomètres, désormais distants de Figuig, alors qu'ils ont historiquement fait partie du territoire marocain. Il en va de même pour Tassra et Lalou Naazib, “subtilisés” entre 1972 et 1973 et qui se trouvent depuis en territoire algérien. La plus grande “saignée” s'est opérée à Jebel Laâmor en 1976, lorsque les Algériens ont, selon des sources concordantes originaires de cette région, fait main basse sur 42 kilomètres... Globalement, la période où les voisins squattaient sans retenue les terres de la palmeraie de Figuig se situe entre 1963 et 1976, ce qui n'exclue pas des incidents intervenus par la suite, notamment à Jebel Krouz, à l'Ouest de la palmeraie, puis entre Jebel Oulmelias et Jebel Taghit. Comble de la provocation, les Algériens ont fait établir entre les deux dernières montagnes un poste frontalier en 2007 sur des terres historiquement liées au Maroc
Plus récemment, au mois de septembre, 12 jeunes de Figuig ont été arrêtés à cinq kilomètres de Figuig en direction de Bouarfa et ont failli être fusillés par un groupe de personnes armées jusqu’aux dents de fusils d’assauts et autres armes de guerre.
On peut également citer le cas de ce jeune père de famille qui a été criblé de balles par l’armée algérienne. Son seul péché était de vouloir nourrir sa famille ! Tout cela n’éveille qu’indifférence de la part des autorités.
Question majeure: comment se fait-il que les militaires algériens effectuent en toute impunité leurs raids en plein territoire marocain? On croit savoir de source locale que les éléments des FAR auraient reçu comme instructions de «ne pas répondre aux provocations». Les algériens ayant construit des postes trop bien équipés et plus grands que des lycées. La ville-oasis Figuig est entièrement quadrillée sous prétexte de dangers multiples
en fait les FAR, de peur d'un coup d'etat contre le roi, ne sont equiper que d'une seule cartouche par soldat. Ainsi a chaque raid algerien c'est la fuite a l'interieure des terres
Ne pouvant plus riposter car les populations locales sont désarmées et sévèrement punies en 1972 par l’armée marocaine, des marches ont été organisées vers les territoires confisqués : l’armée du royaume a bloqué les populations jouant ainsi le jeu des algériens. On a compris alors que le Maroc était complice de l’Algérie et que le territoire est « cédé » ou « vendu » aux algériens par « colère royale… »
Les figuiguiens se sentaient déçus, menacés et trahis par un Maroc qui les abandonne et une Algérie qu’ils ont très bien soutenu (homme, armes, refuge, nourriture) et qui se retourne contre eux.
Le traité de 1972 par lequel le Maroc a cédé d’immenses territoires à l’Algérie était inconnu par les populations locales. Les autorités marocaines n’ont jamais parlé de ce fameux traité signé par Monsieur Benhima et Bouteflika
Par endroits, entre 1963 et 1979, l'Algérie nouvellement indépendante a squatté de vastes étendues à l'intérieur des terres marocaines. L'ancien comme l'actuel maires de Figuig, Omar Abbou, de même que plusieurs villageois originaires de cette partie du pays, sont catégoriques et les détails qu'ils nous ont fait parvenir apportent un éclairage sur les terres confisquées par les Algériens. Ainsi, en 1963, à Boussaïd, Nkhaïlate et Tamadmaïte les villageois ont perdu respectivement 18, 26 et 21 kilomètres, désormais distants de Figuig, alors qu'ils ont historiquement fait partie du territoire marocain. Il en va de même pour Tassra et Lalou Naazib, “subtilisés” entre 1972 et 1973 et qui se trouvent depuis en territoire algérien. La plus grande “saignée” s'est opérée à Jebel Laâmor en 1976, lorsque les Algériens ont, selon des sources concordantes originaires de cette région, fait main basse sur 42 kilomètres... Globalement, la période où les voisins squattaient sans retenue les terres de la palmeraie de Figuig se situe entre 1963 et 1976, ce qui n'exclue pas des incidents intervenus par la suite, notamment à Jebel Krouz, à l'Ouest de la palmeraie, puis entre Jebel Oulmelias et Jebel Taghit. Comble de la provocation, les Algériens ont fait établir entre les deux dernières montagnes un poste frontalier en 2007 sur des terres historiquement liées au Maroc
Plus récemment, au mois de septembre, 12 jeunes de Figuig ont été arrêtés à cinq kilomètres de Figuig en direction de Bouarfa et ont failli être fusillés par un groupe de personnes armées jusqu’aux dents de fusils d’assauts et autres armes de guerre.
On peut également citer le cas de ce jeune père de famille qui a été criblé de balles par l’armée algérienne. Son seul péché était de vouloir nourrir sa famille ! Tout cela n’éveille qu’indifférence de la part des autorités.
Question majeure: comment se fait-il que les militaires algériens effectuent en toute impunité leurs raids en plein territoire marocain? On croit savoir de source locale que les éléments des FAR auraient reçu comme instructions de «ne pas répondre aux provocations». Les algériens ayant construit des postes trop bien équipés et plus grands que des lycées. La ville-oasis Figuig est entièrement quadrillée sous prétexte de dangers multiples
en fait les FAR, de peur d'un coup d'etat contre le roi, ne sont equiper que d'une seule cartouche par soldat. Ainsi a chaque raid algerien c'est la fuite a l'interieure des terres
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