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Il ne s’agit pas de chasser Kadhafi du pouvoir

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  • Il ne s’agit pas de chasser Kadhafi du pouvoir

    Les frappes aériennes de la coalition contre la Libye n’ont pas pour but de «chasser Kadhafi du pouvoir». Elles ne sont là que pour «protéger les civils» libyens, a affirmé dimanche le plus haut gradé américain, l’amiral Mike Mullen, sur la chaîne Fox.«C’est certainement une possibilité», a par ailleurs répondu le chef d’état-major interarmées interrogé sur NBC sur le fait que le colonel Kadhafi puisse rester au pouvoir à l’issue de l’intervention de la coalition.
    «Les objectifs de cette campagne pour l’instant sont limités et il ne s’agit pas de le chasser du pouvoir», a-t-il poursuivi dans l’émission «Meet the Press».
    «Le but du conseil de sécurité des Nations Unies était vraiment Benghazi et la protection des civils», a-t-il rappelé. «Il ne s’agit pas de chasser Kadhafi lui-même ou de l’attaquer à ce moment précis», a poursuivi l’amiral Mullen sur Fox.
    «Il s’agit d’accomplir des objectifs relativement limités afin qu’il cesse de tuer son peuple et que l’aide humanitaire puisse se frayer un chemin», a-t-il insisté.

    LeMatin.ch & autres

  • #2
    Je ne suis pas un expert militaire mais je crois que les alliés doivent prendre une ou 2 journées de repos pour voir si les insurgés sont capables de reprendre le chemin vers Tripoli. Ils avaient réussi à encercler la capitale avant que Kadhafi n'utilise l'armement lourd. Aux premiers jours des protestations les habitants de la capitale se sont soulevés comme les autres villes avant d'être violemment opprimés par les forces de Kadhafi et de peur de représailles on a plus entendu parler d'eux.
    Le fou Libyen ne pourra pas quitter la capitale comme l'avait fait Saddam, il n'aura pas de soutien ailleurs, et si le peuple encercle de nouveau Tripoli en libérant Misrata au même temps les forces de Kadhafi pourraient rejoindre les insurgés qui auront pour mission de le capturer et le traduire en justice.
    Pas à la tique ..

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    • #3
      si ce n'est pas pour chasser Kadhafi du pouvoir, de quoi s'agit t il

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      • #4
        bien sur qu'il s'agit au final de chasser kadhafi ...... mais la question principale c'est par qui ? ....les insurges ne veulent pas etres des karzai .....mais seuls il ne peuvent vaincre les forces fideles a kadhafi ......donc on joue sur une corde ....

        le probleme c'est que ca risque de se jouer sur des cadavres

        tout cela explique pourquoi les attitudes retenues conradictoires de tout les concernés....et il faut dire que l'attitude irrationelle et son l'esprit retord de kadhafi n'arrange pas les lectures de chacun ....

        scenario favorable ......c'est un soulevement genral contre lui et un revirement d'une grande parti de ses afidés surtout au sein des forces armées .

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        • #5
          si ce n'est pas pour chasser Kadhafi du pouvoir, de quoi s'agit t il
          L'objectif ultime de la 1973 est un cessez-le-feu réel. Cesser les tueries en Lybie.
          L'amiral américain avait raison: l'objectif n'est pas d'abattre Kaddafi
          ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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          • #6
            Il ne s’agit pas de chasser Kadhafi du pouvoir
            Ça c'est aux libyens de le faire.
            Vu que le psychopathe avait eu recours au mercenariat international et a fermé la porte à toute solution libyo-libyenne, les insurgés ont fait pareil. Et c'est de bonne guerre.
            وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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            • #7
              si ce n'est pas pour chasser Kadhafi du pouvoir, de quoi s'agit t il
              tout est flou ...
              la dernière déclaration , Obama passe le commandement de l intervention en Libye aux français .....ça veut dire quoi ?
              y a anguille sous roche ...
              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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              • #8
                oui mais le cesser le feu pourquoi faire ? et surtout commen ?et et qui va le surveiller le verifier a l'interieur des villes en rebellion ?( misrata zenten et tripolo).

                il y a deux types de violence actuellement en lybie : celle de type guerrier ou il s'agit de bombarder les villes ...et celle de la répression des émeutiers a l’intérieur des villes.

                la première peut être arrêtée en partie par des bombardement de la coalition bien que comportant des risque car kadhafi a stationné ses force au milieu des habitants ......leur capacité peut être diminué fortement par la destruction de la logistique .

                il s'en va tout autrement de la violence..urbaine a l'aide d'armes plus ou moins légères ....et quand el kadhafi parle d'armer le peuple ...il ne faut pas se tromper il vise bien sur ses fidèles des comités ...et les armer pour lui veut dire vous pouvez tirez sur tout ce qui "bouge" ..... même si pour cela il peut accéléré le mouvement de soulèvement dont je parle plus haut ...

                conclusion ....la coalition devra continuer son travail ......les insurges continuer a pousser les autres villes a la révolte

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                • #9
                  le récit de la journée de lund


                  • Les premières divisions apparaissent au sein de la coalition. Plusieurs pays européens, notamment l'Italie, demandent que l'Otan prenne le commandement de la coalition. La France s'y refuse. La Norvège suspend sa participation, exigeant des clarifications sur le commandement.

                  Les Emirats arabes unis, annoncés comme participants à l'opération militaire, n'interviendront que sur le plan humanitaire.


                  20h25 Des tirs de DCA entendus à Tripoli, dans le secteur de la résidence-caserne de Kadhafi, Bab el-Aziziya. Les tirs de défense anti-aérienne ont été suivis d'explosions.

                  20h18 Silvio Berlusconi demande que l'Otan prenne en main le commandement des opérations de la coalition.

                  19h53 «La position américaine est que Kadhafi doit partir», déclare Barack Obama, soulignant que les Etats-Unis s'en tiendront au mandat de la résolution 1973 de l'ONU.

                  «L'OTAN jouera un rôle» dans la nouvelle phase militaire, qui doit intervenir dans un délai «de jours, non de semaines», a ajouté le président américain.

                  19h52 La Grande-Bretagne «s'en tiendra strictement au mandat des Nations Unies», a assuré le Premier ministre britannique David Cameron devant les députés.

                  La résolution votée par le Conseil de sécurité des Nations Unies «n'apporte pas de base légale pour démettre le colonel Kadhafi de ses fonctions par des moyens militaires», a-t-il dit. S'il n'a pas caché qu'il «pensait que la Libye doit se débarrasser de Kadhafi», le Premier ministre a souligné qu'il appartenait «au peuple libyen de choisir son propre avenir».

                  La mise au point vient après 24 heures de déclarations contradictoires. Certains au sein de son gouvernement n'ont pas exclu des frappes directes contre le colonel Kadhafi.

                  19 heures Le bilan de l'attaque des forces pro-Kadhafi contre des manifestants à Misrata, ville de l'ouest, est porté à 40 morts et plus de 300 blessées, selon les rebelles et une source médicale dans la ville.

                  18h45 L'Italie pousse pour que l'Otan prenne le commandement de l'opération militaire, menaçant de ne plus autoriser l'usage de ses bases aériennes si ce n'était pas le cas. «Si l'Otan n'assure pas rapidement la coordination des opérations militaires, nous devrons étudier un moyen pour que l'Italie assume elle-même la responsabilité du contrôle des bases» situées sur son territoire, a dit Franco Frattini, le chef de la diplomatie.


                  18h30 Où est Kadhafi? La coalition a peu d'information et n'a «pas fait d'effort pour le découvrir», indique le commandant de la coalition, le général américain Carter Ham. «Je n'ai pas pour mission de m'en prendre à cette personne, nous ne l'attaquons pas, nous ne cherchons pas à savoir où il se trouve», a-t-il poursuivi lors d'une conférence de presse.

                  Plus tôt, Alain Juppé a indiqué que le départ de Kadhafi ne faisait pas partie de la résolution. «Cela ne nous empêche pas de [le] souhaiter».


                  18h05 La Norvège suspend sa participation. Les six F-16 norvégiens dépêchés ce lundi en Méditerranée pour participer à l'opération de la coalition n'entameront pas leur mission tant que la question du commandement n'aura pas été clarifiée, a déclaré la ministre norvégienne de la Défénse, Grete Faremo.

                  18 heures La mission de l'armée américaine est claire: il s'agit d'imposer une zone d'exclusion aérienne, a déclaré le général américain Carter Ham, commandant des forces américaines pour l'Afrique.

                  «Nous n'avons pas pour mission de soutenir les forces d'opposition si celles-ci s'engagent dans des opérations offensives», a-t-il ajouté.



                  16h40 Alain Juppé reconnaît «des différences d'approche» et «des sensibilités différentes» au sein de l'UE, tout en parlant de la «cohésion de l'ensemble des 27». Illustration avec le Premier ministre bulgare: Boïko Borissov juge que les frappes aériennes en Libye sont une «aventure», dont les «principaux motifs» sont «le pétrole et l'exploitation future du pétrole libyen».

                  «J'espère que l'Otan va prendre le commandement aujourd'hui. Nous saurons au moins qui prend les décisions», a-t-il aussi critiqué.

                  16h25
                  Le ministre français signale ainsi la volonté de la France de ne pas bloquer l'intervention de l'Otan. Toutefois, ses propos tendent à confirmer que Paris souhaite que l'Otan ne joue qu'un rôle complémentaire à celui de la coalition, et non pas en lieu et place de celle-ci, comme nombre des 28 pays de l'alliance le demandent.

                  «Les pays arabes ne veulent pas d'une opération sous le drapeau Otan», a-t-il lancé.

                  Sur la question controversée des objectifs de l'intervention militaire «la résolution ne nous demande pas de mettre en place un autre régime à la place de celui de Kadhafi», a reconnu Alain Juppé, mais, a-t-il ajouté, «cela ne nous empêche pas de souhaiter le départ de Kadhafi».

                  16h15 L'Union européenne est prête à sécuriser une opération humanitaire, avec des moyens militaires si l'ONU le demande.

                  16h05 Medvedev donne de la voix contre Poutine. Le Premier ministre russe a parlé de «croisade» au sujet de l'intervention en Libye. Un terme inacceptable, juge le président. La critique, elle, est inédite.

                  15h40 Le chef de la Ligue arabe dit avoir été mal compris. Hier, Amr Moussa avait critiqué les bombardements de la coalition sur la Libye en estimant qu’ils s’écartaient de la résolution du Conseil de sécurité de l’ONU. Il affirme aujourd'hui que ses propos ont été «mal interprétés». «Nous sommes engagés envers la résolution 1973 du Conseil de sécurité de l’ONU, nous n’avons pas d’objection à cette décision, surtout qu’elle n’appelle pas à une invasion du territoire libyen», a-t-il déclaré.

                  15h33 Première mission d'avions espagnols dans le ciel libyen. Deux chasseurs-bombardiers espagnols F-18 ont décollé de la base italienne de Decimomannu, en Sardaigne.

                  15h15. Le Premier ministre russe Vladimir Poutine critique vivement la résolution de l'ONU autorisant le recours à la force en Libye, qui ressemble selon lui à un «appel aux croisades» et témoigne d'une tendance forte des Etats-Unis à recourir à la force contre des pays tiers.

                  «Il est clair qu'elle (la résolution) autorise tout à tout le monde, n'importe quelle action à l'encontre d'un Etat souverain. Cela me fait penser à l'appel aux croisades à l'époque du Moyen-Age quand on appelait les gens à partir quelque part pour libérer cet endroit», déclare-t-il, cité par les agences russes.

                  14h40 Probable réunion aujourd'hui du Conseil de sécurité à huis clos.

                  14h30 Les forces gouvernementales libyennes pilonnent la région d’Al-Jabal Al-Gharbi (sud-ouest de Tripoli), en particulier les villes de Zenten et Yefren sous contrôle de la rébellion. «Les forces de Kadhafi nous bombardent de loin avec des missiles Grad. Ça dure depuis trois jours. Les raids sont très intensifs», témoigne un habitant de Zenten, à 145 km au sud-ouest de la capitale, joint par téléphone.

                  14h15 Les bombardements de la coalition internationale contre le régime de Kadhafi tentent de couper les lignes de ravitaillement de ses forces.

                  13 heures Les ministres européens des Affaires étrangères viennent d'entériner de nouvelles sanctions contre des entités financières libyennes et des membres du gouvernement du pays.


                  11h43 L’Allemagne se sent confortée dans ses fortes réserves à l’égard de l’opération militaire, en pointant du doigt les critiques de la Ligue arabe. «Nous avons dit très clairement depuis le début que nous ne participerions pas» à cette action de la coalition internationale, déclare le ministre des Affaires étrangères, Guido Westerwelle.
                  «Cela signifie que nous estimons qu’il y a des risques» avec l’opération en cours, «et lorsque nous entendons ce que la Ligue arabe a dit hier, malheureusement, nous constatons que nous avions des raisons d’être préoccupés».

                  11h39 L’Inde appelle à la fin des raids aériens sur la Libye.

                  11h29 Une cinquantaine de partisans de Kadhafi encerclent le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, place Tahrir au Caire, l’obligeant à quitter les lieux pour s’abriter au siège de la Ligue arabe tout proche.

                  11 heures «L’Italie refuse que la coalition mène une guerre» contre la Libye, affirme son ministre des Affaires étrangères, Franco Frattini, en indiquant vouloir vérifier la conformité des premiers bombardements avec la résolution de l’ONU.

                  10h30 La Turquie critique la position de la France. «Il nous est difficile de comprendre le fait que la France se soit trop mise en avant dans ces opérations», affirme le ministre turc de la Défense, Vecdi Gönül. «Nous avons un peu du mal à comprendre que la France agisse comme si elle était le principal exécuteur de la résolution» 1973, votée par le Conseil de sécurité des Nations unies sur la Libye.

                  La presse turque s'inquiète d'un «nouvel Irak».
                  «Encore un Irak», titrait à la une le quotidien HaberTürk, soulignant que huit ans après son intervention contre l’Irak, pays voisin de la Turquie, les avions de combat américains s’en sont pris cette fois à un autre pays musulman, la Libye, provoquant des pertes parmi la population civile. Pour le journal islamiste Yeni Akit, «Les Occidentaux tuent les civils afin qu’ils ne soient pas tués par Kadhafi! Ce qui les préoccupent, c’est essentiellement le pétrole» produit par la Libye, ajoute le journal.

                  10h15 «Il est important que la communauté internationale parle d’une seule voix», déclare le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon, après les critiques de la Ligue arabe sur les frappes de la coalition internationale.



                  10 heures Incertitudes sur le sort du bateau italien reparti de Libye. Le ministre italien de la Défense dit ignorer où se trouve ce navire qui aurait été retenu à partir de samedi après-midi peu avant l'attaque des chasseurs bombardiers français. Le navire aurait ensuite pu quitter le port de Tripoli hier après-midi avec l’équipage ainsi que des «personnes affirmant appartenir aux autorités portuaires et militaires libyennes», selon un communiqué l’armateur du bateau. Mais depuis, pas de nouvelle.

                  9 heures La coalition ne cherche pas à éliminer Kadhafi. Le porte-parole du ministère de la Défense, Laurent Teisseire, assure que l’objectif de la coalition internationale est de faire appliquer la résolution 1973 de l’ONU sur la Libye, qui «ni de près ni de loin» n’envisage l’élimination du colonel Kadhafi.
                  «L’objectif de la coalition est la mise en oeuvre de la résolution, c’est de protéger la population», a-t-il souligné sur Europe 1. A la question «si vous savez où est Kadhafi, est-ce que vous lui tirez dessus?», il a répondu: «Non, la réponse est non», la résolution de l’ONU «ni de près ni de loin n’envisage cette hypothèse-là».



                  2 heures Un bâtiment du complexe résidentiel de Kadhafi à Tripoli a été totalement détruit par un tir de missile, selon un journaliste de l’AFP.
                  Il s’agit d’un bâtiment administratif, à une cinquantaine de mètres de la tente où le colonel reçoit ses invités de marques.
                  Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
                  alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

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                  • #10
                    Pour le moment, c'est mission accomplie, Kadhafi ne menace plus Benghazi et ne peut plus utiliser son aviation contre les rebelles. Les choses sont un peu plus equilibres maintenant.

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                    • #11
                      Que faire maintenant que les forces de Kaddafi ont investi les aglomerations et les centres villes ?
                      Cette situation pourra durer des mois, plus le temps passe, plus le spectre de la division de la libyen se profile, je doute fort que les « insurgés » aient la capacité et surtout l’envie d’aller reprendre Tripoli.

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                      • #12
                        Espérant que les alliés ne s'arrêteront pas là parcequ'ils ont sécurisé Benghazi, leur objectif.
                        Pour le moment tout l'est n'est plus sous le controle de Kadhafi, à l'ouest des combats à Zentan et Misrata ou les forces de Kadhafi ont réussi hier à renter avec leurs chars avec des boucliers humains et c'est normal il est dur de bombarder des civils innocents. Il faut que les alliés continuent d'assurer les alentours de la ville et coincer les forces du fou Libyen, ils se rendront ou bien les insurgés les attaqueront quand ils se sentiront affaiblis. Misrata, Zentan et Zaouia sont importantes pour concentrer toutes les forces de l'opposition pour se diriger vers Tripoli ou la bataille finale aura sous les yeux de la coalition qui les sécurisera du ciel avec leurs avions. Espérant seulement que les alliés ne rentreront pas chez eux trés tot.
                        Pas à la tique ..

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                        • #13
                          obama viens d annoncer que la guerre est fini

                          Commentaire


                          • #14
                            bama viens d annoncer que la guerre est fini
                            t as entendu ca ou a radio oujda ou telemcen
                            "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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                            • #15
                              Quand une baston s'annonce et que les USA n'en sont pas c'est que ça sent pas bon

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