L'Egypte veut tirer profit l'expérience marocaine en matière de réconciliation
Le Caire, 15/03/11- Le vice-Premier ministre égyptien, Yahia El Jamal a annoncé, lundi soir, que son pays étudie la possibilité de profiter des expériences menées par plusieurs pays en matière de réconciliation, dont le Maroc.
"Nous étudions la possibilité de tirer profit d'expériences pilotes adoptées notamment par le Maroc, le Chili et l'Afrique du sud en matière de réconciliation", a précisé le responsable égyptien qui était l'invité de l'émission "l'Egypte aujourd'hui" de la télévision d'Etat.
Il a précisé que l'adoption de ce genre d'expériences permettra d'instaurer une réconciliation au sein de la société égyptienne et la récupération des sommes importantes détournées par des responsables sous le régime de l'ancien président Hosni Moubarak.
Le responsable s'est, par ailleurs, déclaré opposé au principe de l'impunité, relevant que les personnes impliquées dans des violations graves des droits de l'homme seront poursuivies en justice.
Depuis le départ du président égyptien le 11 janvier sous la pression de la rue, des dizaines de responsables et d'hommes d'affaires ont été présentés à la justice pour corruption, détournement de deniers publics et atteinte à l'économie égyptienne
MAP
Le Caire, 15/03/11- Le vice-Premier ministre égyptien, Yahia El Jamal a annoncé, lundi soir, que son pays étudie la possibilité de profiter des expériences menées par plusieurs pays en matière de réconciliation, dont le Maroc.
"Nous étudions la possibilité de tirer profit d'expériences pilotes adoptées notamment par le Maroc, le Chili et l'Afrique du sud en matière de réconciliation", a précisé le responsable égyptien qui était l'invité de l'émission "l'Egypte aujourd'hui" de la télévision d'Etat.
Il a précisé que l'adoption de ce genre d'expériences permettra d'instaurer une réconciliation au sein de la société égyptienne et la récupération des sommes importantes détournées par des responsables sous le régime de l'ancien président Hosni Moubarak.
Le responsable s'est, par ailleurs, déclaré opposé au principe de l'impunité, relevant que les personnes impliquées dans des violations graves des droits de l'homme seront poursuivies en justice.
Depuis le départ du président égyptien le 11 janvier sous la pression de la rue, des dizaines de responsables et d'hommes d'affaires ont été présentés à la justice pour corruption, détournement de deniers publics et atteinte à l'économie égyptienne
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