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Juste une petite chose !
Je comprend un intellectuel, prix nobel de la paix, comme mr Albaradeï, qui veut faire les choses bien et calmement, une sorte de révolution à la Vaclav Havel...
Seulement, quand on veut changer un régime, on y va pas, surtout dans le monde arabe, avec le dos de la cuillère ! Dans un premier temps il est certain qu'il faut y aller doucement, car il y a beaucoup d'enjeux, non seulement pour le peuple de la rue, mais également pour les pays voisins et surtout pour les grandes puissances ! Les manifestations calmes et bien ordonnées c'est la marque d'un peuple mûr, intelligent et épris de justice...
Seulement si Mr Albaradeï ne veut, ni lui, ni son peuple, devenir les dindons de la farce, s'il ne veut se voir écarté par quelques plans mis au point à Washington ou Tel-Aviv, il se doit de passer à la vitesse supérieure...
Si le peuple égyptien veut sa liberté, sa démocratie, sa voie, il se doit de s'organiser, ne pas laisser les choses lui échapper fomentés dans des capitales étrangères. En ce point, si la rue ne va pas à la vitesse de l'éclaire, ou du moins plus rapidement que la cuisine Yankee ou Ashkenaze, il faudra un moment passer aux choses sérieuses ! La Liberté, la Démocratie se prend, de force si besoin est, elle se demande pas avec politesse et calme...
Les militaires égyptiens ne sont pas meilleurs que les autres, en cela le peuple se trompe, il doit pousser la grande muette dans ses derniers retranchement, obligé à la rupture totale et faire en sorte que l'armée perde tout si elle ne fait le choix adéquat, en ce sens, l'armée égyptienne n'a rien à protéger de ses relations avec Israël, elle n'a d'autres choix et son orgueil se trouvera porté au plus haut seulement et seulement si elle défend son peuple, se met du côté de son peuple, seule vrai détenteur de l'honneur national, des droits et du fondement même de l'Etat Egyptien...
Toute légalité en ces matières commencent et viennent de la rue...
Je comprend un intellectuel, prix nobel de la paix, comme mr Albaradeï, qui veut faire les choses bien et calmement, une sorte de révolution à la Vaclav Havel...
Seulement, quand on veut changer un régime, on y va pas, surtout dans le monde arabe, avec le dos de la cuillère ! Dans un premier temps il est certain qu'il faut y aller doucement, car il y a beaucoup d'enjeux, non seulement pour le peuple de la rue, mais également pour les pays voisins et surtout pour les grandes puissances ! Les manifestations calmes et bien ordonnées c'est la marque d'un peuple mûr, intelligent et épris de justice...
Seulement si Mr Albaradeï ne veut, ni lui, ni son peuple, devenir les dindons de la farce, s'il ne veut se voir écarté par quelques plans mis au point à Washington ou Tel-Aviv, il se doit de passer à la vitesse supérieure...
Si le peuple égyptien veut sa liberté, sa démocratie, sa voie, il se doit de s'organiser, ne pas laisser les choses lui échapper fomentés dans des capitales étrangères. En ce point, si la rue ne va pas à la vitesse de l'éclaire, ou du moins plus rapidement que la cuisine Yankee ou Ashkenaze, il faudra un moment passer aux choses sérieuses ! La Liberté, la Démocratie se prend, de force si besoin est, elle se demande pas avec politesse et calme...
Les militaires égyptiens ne sont pas meilleurs que les autres, en cela le peuple se trompe, il doit pousser la grande muette dans ses derniers retranchement, obligé à la rupture totale et faire en sorte que l'armée perde tout si elle ne fait le choix adéquat, en ce sens, l'armée égyptienne n'a rien à protéger de ses relations avec Israël, elle n'a d'autres choix et son orgueil se trouvera porté au plus haut seulement et seulement si elle défend son peuple, se met du côté de son peuple, seule vrai détenteur de l'honneur national, des droits et du fondement même de l'Etat Egyptien...
Toute légalité en ces matières commencent et viennent de la rue...
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