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800 autos chargées d'explosifs en Tunisie

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  • 800 autos chargées d'explosifs en Tunisie

    800 autos chargées d'explosifs en Tunisie
    lefigaro.fr
    16/01/2011 | Mise à jour : 23:26 Réactions (12)
    Le gendre de l'ex-président tunisien Ben Ali aurait affirmé aux services de sécurité tunisiens que 800 voitures bourrées d'explosifs ont été disséminées à travers tout le pays, principalement à Tunis, rapporte le site du Point.

    Slim Chiboub "a accusé les dirigeants de la police tunisienne". Selon le Point, "cette information est prise très au sérieux par l'armée, qui passe actuellement la capitale au peigne fin."
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    ils sont pire qu'aqmi le clan a benali, ils vont encore faire plus de mal a la tunisie. une balle dans la tete a tous les trabelssi et la meute lachés sur les tunisiens naura plus de tetes.
    leternel debat entre ovistes et animalculistes

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    • #3
      C'est une milice des pro-RND (pro Ben ali) qui tentent de saboter le pays et son tournant politique, l'armée a déjà tuée plusieurs policiers et fous de l'ancien régime qui tiraient sur la foule depuis une voiture, la tunisie risque de sombrer dans le chaos et la violence, une période chaotique que pourrait exploiter khadafi pour intervenir directement sur le destin du pays...

      Je pense que l'Algérie et l'UE doivent mettre en alerte leurs forces militaires, de quoi persuader tout aventurisme à la sauce Koweïtienne !

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      • #4
        Mettre en alerte nos forces? Dans quel but exactement?

        PS. Le parti de Ben Ali c'est le RCD (Rassemblement Consitutionel Démocratique). Le RND c'est en Algérie..

        ∑ (1/i²) = π²/6
        i=1

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        • #5
          Quand je disais après la chute de Benali que les services secrets français et le Mossad ne vont pas laisser faire on ne me prennait pas au sérieux. Les tunisiens risquent de vivre des explosions quotidiennes qui seront imputées à l'AQMI. Israel regrette Benali mais ne va pas se laisser faire.
          si on peut tromper beaucoup de monde quelque temps, ou tromper peu de monde longtemps, on ne peut tromper tout le monde tout le temps

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          • #6
            bien sur les sionistes et la france ne vont pas en rester la je pense qu au dela de la cherte de la vie le plan etait deja planifie pour faire descendre ben ali par qui je ne sais pas !


            qu est derriere la capitation du regime de ben ali qui veut reprendre le pouvoir qui veut en finir avec la main mise du magreb par la france et les sionistes ! that the question !!!

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            • #7
              On y revient, c'est les sionistes qui seraient derriere les voitures piegees. Ben Ali, qui est reste 23 ans au pouvoir, est incapable de ce genre d'actions tout seul, il lui faut imperativement l'aide du grand satan sioniste.

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              • #8
                Et Khadafi vous l'avez oublié ?

                Et la DRS algérienne ?

                Et les égyptiens ?

                Tous les pays arabes n'ont aucun interêt à ce que ça se passe bien.
                «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

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                • #9
                  Non, les arabes sont tous des anges qui ne feraient pas de mal a une mouche, ce sont les sionistes les diables.

                  Commentaire


                  • #10
                    Et Khadafi vous l'avez oublié ?

                    Et la DRS algérienne ?

                    Et les égyptiens ?

                    Tous les pays arabes n'ont aucun interêt à ce que ça se passe bien.
                    faut arreter avec la Paranoia , on n'introduit pas comme ca 800 voitures piégées dans un pays complétement bouclé. tout le matériel était déja sur place , c'est un petit cadeau empoisonné que Ben Ali a laissé à son peuple avant de s e barrer .
                    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                    • #11
                      @Cell : Vous militez pour quel parti ?

                      Vous me rappelez ces militants communiste à la sortie de la fac de Jussieu.

                      La vérité n'est jamais blanche, ni noire, elle est grise.

                      Dans ce genre d'évenements, il y'a pas mal de manipulations, chacun roule pour ses intérêts.
                      «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

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                      • #12
                        @MisterOver,

                        Je suis de l'avis de Cell. D'ailleurs, d'après un général tunisien retraité, il s'agit d'un plan de crise concocté par Ben Ali y a très longtemps.

                        Ce même général a dit avoir déjà tenu beaucoup de hauts gradés informés.


                        Ce que les benalistes soutenues par la France, entre autres, voulaient faire est exactement un scénario à l'algérienne ou ce sont les policier (130.000 personne) qui auraient joué le role des faux-terroristes.

                        Seulement voilà, ce peuple de 10 millions et cette armée de 37.000 hommes ont découvert ces manoeuvres et c'est un point centrale.

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                        • #13
                          "Peut-être on partira, mais on brûlera Tunis"

                          Tunis, envoyée spéciale - Cet homme n'est ni grand ni petit. On ne peut pas le décrire. Il n'a pas de nom. Il faut lui en inventer un : Zyed. Il se terre dans une maison du quartier Bardo, à Tunis, qu'il fait surveiller depuis la rue par de jeunes parents, les nerfs à fleur de peau. "Je change d'endroit toutes les heures", dit-il en refoulant des larmes.
                          Conseiller de Zine El-Abidine Ben Ali au palais de Carthage, il avait pris contact de sa propre initiative quelques jours avant la chute de l'ex-président parce que, disait-il, il ne voulait pas "être complice des massacres". Pour le rencontrer, ce dimanche 16 janvier, il faut suivre des émissaires à travers un dédale de rues.


                          Zyed tente aujourd'hui de fuir la Tunisie, mais son passeport français, qu'il exhibe trop brièvement, est faux. Son récit, souvent interrompu par le bruit de tirs tout proches qui le font violemment sursauter, met en scène les intrigues d'un clan familial sclérosé et une fin de règne agonisante bien avant le début, le 17 décembre 2010, des émeutes en Tunisie. "Il régnait une atmosphère délétère au palais, souligne-t-il. En septembre, il y a eu un accrochage très sérieux entre le président et sa femme, et, à partir de là, la présence de son frère Belhassen et de son fils Imed est devenue de plus en plus forte."
                          L'ancien conseiller avance aussi le nom de Slim Chiboub, marié à Dorsaf Ben Ali, la fille de l'ancien président, mais écarte celui d'un autre gendre, très en vue, Sakhr El-Materi, décrit comme "un requin qui n'a pas de dents".


                          "QU'IL CRÈVE"

                          En octobre, ce clan aurait mis au point, selon lui, un scénario "diabolique" consistant à laisser "le président en poste jusqu'en janvier 2013, puis sa démission aurait été annoncée pour raison médicale, suivie d'un appel pour des élections". Les partis "amis" auraient été instrumentalisés pour créer une polémique en présentant de faux candidats. Des manifestations organisées un peu partout par le RCD, le parti du pouvoir, se seraient conclues par une "manif monstre d'un million de personnes à Tunis pour réclamer la candidature de Leïla".


                          Mais, le 17 décembre, le suicide de Mohamed Bouazizi, immolé par le feu, change tout. "Ben Ali était totalement indifférent, il a dit quelque chose comme : 'Qu'il crève'. A ce moment, Abdelwahab Abdallah est devenu le véritable régent, et Abdelaziz Ben Dhia le filtre sans qui rien ne passait." Ali Sériati, le chef de la garde présidentielle, fait partie du dispositif.
                          L'ancien conseiller décrit des acteurs de plus en plus fébriles au fur et à mesure que le mouvement de révolte prend de l'ampleur dans le pays. Le 29 décembre, au lendemain du premier discours du président, il assiste à une réunion de crise. "Abdallah a dit : 'Il faut que tout ça soit manipulé par un groupe affilié à Al-Qaida au Maghreb islamique. Pour nos amis français, c'est la seule solution.' Ce à quoi a répondu Ben Ali, très cynique: 'AQMI en Tunisie, c'est la mort du tourisme, on va se suicider'."

                          DES APPELS D'ERIC RAOULT

                          Aux Américains, un même argument devait être présenté : Kasserine, la ville où les manifestations ont été les plus durement réprimées, était un "foyer islamiste". "Il y a eu un air de fête après les déclarations de Michèle Alliot-Marie lorsqu'elle a proposé d'aider à former des policiers tunisiens, poursuit Zyed. Et Eric Raoult appelait tout le temps pour dire qu'il ne fallait pas ouvrir la brèche aux islamistes ; Abdallah l'avait surnommé la 'passerelle'."

                          Contacté, M. Raoult reconnaît avoir "appelé souvent", mais, assure-t-il, "des amis comme Charfeddine Guellouz ou Habiba Massabi [députée RCD], pas la présidence, ce n'est pas de mon niveau".
                          La situation, cependant, s'aggrave en Tunisie. Le conseiller, qui révèle que l'ancien chef de l'Etat s'était réfugié dans sa propriété d'Hammamet avant de quitter le pays et avait préenregistré son dernier discours, rapporte cette dernière réunion : "Sériati a prévenu que les militaires, ces 'fils de bâtards', a-t-il dit, fraternisaient avec la population. Il a ajouté: 'Peut-être on partira, mais on brûlera Tunis : j'ai 800 bonhommes prêts à se sacrifier. Dans deux semaines, les mêmes qui manifestent vont nous supplier de reprendre les choses en main.'" Zyed, alors, est parti de son côté.


                          Le Monde

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                          • #14
                            @Cell : Vous militez pour quel parti ?

                            Vous me rappelez ces militants communiste à la sortie de la fac de Jussieu.

                            La vérité n'est jamais blanche, ni noire, elle est grise.

                            Dans ce genre d'évenements, il y'a pas mal de manipulations, chacun roule pour ses intérêts.
                            tu veux bien arrêter de personnaliser le débat , ca ne mène généralement pas à des échanges constructifs .

                            biensur qu'il y a des manipulations de parts et d'autres, et que tout le monde va oeuvrer pour la sauvegarde de ces interets , mais accuser comme ca , de maniére aussi rapide, et surtout sans preuve le mossad ou les services secrets occidentaux , c'est vouloir d'avance rejeter les horreurs qui auraient lieu sur quelqu'un d'autre . regarde ou ca a mené l'algérie ou on a accusé tour à tour , la france , le mossad , le maroc , le makhzen .........
                            " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                            Commentaire


                            • #15
                              "Sériati a prévenu que les militaires, ces 'fils de bâtards', a-t-il dit, fraternisaient avec la population. Il a ajouté: 'Peut-être on partira, mais on brûlera Tunis : j'ai 800 bonhommes prêts à se sacrifier. Dans deux semaines, les mêmes qui manifestent vont nous supplier de reprendre les choses en main.'"
                              Ca me rappelle quelque chose.

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