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Le Brésil offre un don de 300.000 dollars aux réfugiés sahraouis

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  • #46
    Wallah, le Brésil aurait dû aider aussi les colons Marocains de Laayoune.
    C'est injuste !
    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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    • #47
      il faut arreter les dons, la générosité ne suffit pas.

      Il faut que les sahraouis bénificient directement de leur ressources, que la communauté internationale préleve directement sur le budget marocain qui exploite impunément les resssources de ces réfugiés.


      Bledar


      Tu penses que les gens du sahara central (au sud de ton pays) profitent des pétrodollars qui te font vivre au Nord.

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      • #48
        Wallah, le Brésil aurait dû aider aussi les colons Marocains de Laayoune.
        C'est injuste

        Bachi


        Le Maroc s'en charge ; ils sont même choyés ( je parle des sahraouis) car il n'y a pas de colons sauf dans le vocabulaire des formatés et des béni oui-oui de la Junte...

        Au Maroc , on ne fait pas la mendicité internationale pour les sahraouis comme un certain pays voisin riche qui les maintient à Tindouf dans la pauvreté tout en exploitant leur détresse dans les forums pour avoir .....accès à l'Océan atlantique.
        Dernière modification par FRIMIJA, 10 octobre 2010, 21h27.

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        • #49
          Témoignages

          1- L’organisation « Enfants Réfugiés du Monde »

          Mme Mireille, Secrétaire Générale de l’Organisation « Enfants Réfugiés du Monde » avait des doutes en ce qui concerne l’usage de l’argent, octroyé par son organisation au Polisario, pour les achats de matériel de crèches, destiné aux enfants des camps de Tindouf.

          En effet, elle avait acheté, en 1992, du matériel, en Allemagne et avait chargé une organisation de ce pays de l’acheminer vers les camps de Tindouf.

          Mme Mireille avait attendu jusqu’à ce que ce matériel arrive à destination et s’est rendue aux campements du Polisario, où elle avait demandé à la direction générale de l’Education Nationale de lui établir la liste des besoins en matériel de crèches.

          L’ex-directeur général de « l’Education Nationale » au sein du « ministère de l’Enseignement de la rasd », Baia Mohamed Fadel Agay, alias » Felli », lui a répondu que le Polisario avait acheté le matériel dont il avait besoin et qu’il demandait maintenant à l’organisation « Enfants Réfugiés du Monde » de lui donner l’argent pour rembourser le matériel acheté.

          Mme Mireille était d’accord et a demandé à Agay de lui apporte une facture pro-forma et quelques échantillons du matériel acheté.

          Mohamed Agay lui a naïvement apporté le matériel qu’elle avait elle même acheté et acheminé vers les campements, par le biais d’une organisation allemande.

          Mme Mireille s’est rendue compte de la mauvaise foi du Polisario concernant l’aide humanitaire et a, depuis, cessé son aide.

          2- Le professeur danois Erik Nielson Revilla

          Dans une lettre ouverte, publiée le 29 décembre 1998, par le quotidien espagnol « ABC », Erik Nielson Revilla, du département de Sociologie de l’Université de Aarhus (Danemark), a demandé des éclaircissements sur des malversations commises par l’ONG, « Association des Amis des Enfants Sahraouis de Cordoue », présidée par Manuel Carrasco et les médecins d’un hôpital de la Croix Rouge espagnole de cette ville.

          Erik Nielson Revilla a souligné que le quotidien de Cordoue avait révélé que la Caisse d’épargne, dite « Caja Sur » a accordé une aide de 5,5 millions de pesetas à ladite association destinée à opérer dans un hôpital de la Croix Rouge, une centaine de jeunes sahraouis présumés victimes de séquelles, de blessures de guerre et de poliomyélite.

          Or, a précisé Revilla, « aucun cas de poliomyélite ou de blessure de guerre n’a été relevé parmi les enfants sahraouis, ce qui a été confirmé par les autorités sahraouies et par Cordoue où aucun de ces cas n’a été traité »…

          Erik Nielson Revilla a insisté dans sa lettre sur la nécessité d’une réponse concernant les irrégularités commises ».

          3- L’ONG suédoise « Rada Barnen »

          Suspectant la destination réelle des aides fournies au Polisario, l’organisation humanitaire suédoise « Rada Barnen » a dépêché, au mois de novembre 1993, une délégation à Tindouf pour enquêter sur le sort réservé aux aides destinées aux populations des campements de Tindouf

          L’ONG « Rada Barnen » approvisionne les camps de Tindouf en lait en poudre et autres produits alimentaires.

          4- Les ralliés Ghaoutah Mohamed Ahmed Baba, Ahmed My M’hamed, Mohamed Salem Khatri et Ghoulam Najem Mouichane :

          Ayant regagné récemment le Royaume, les cadres du Polisario, Ghaouta Mohamed Ahmed Baba, un des Cheikhs qui a participé à l’opération d’identification, Ahmed Moulay M’hamed dit « Ahmed Chérif », cadre supérieur du service de sécurité du Polisario, Mohamed Salem Khatri, chef de Daïra (circonscription)et membre national sahraoui « Parlement »et Ghoulam Najem Mouichane, ex-représentant du Polisario à Bremen en Allemagne, chargé de la supervision de l’action des donateurs allemands des aides destinées aux camps de Tindouf, ont, au cours de conférences de presse à laquelle ont pris part les représentants des médias nationaux et étrangers, confirmé les accusations portées tout au long de ces dernières années contre la direction du Polisario, qui procède qu détournement des aides humanitaires destinées aux séquestrés des camps de Tindouf.

          Dans ce contexte, Ghoulam Najem a déclaré : « durant toute mon action en Allemagne, j’ai été amené à constater qu’une quantité importante des aides humanitaires envoyées aux populations des camps de Tindouf par les donateurs allemands, est systématiquement détournée par les membres de la nomenklatura du Polisario, qui procèdent à sa vente au sud de l’Algérie et au nord de la Mauritanie »

          Par la suite, il a attiré l’attention sur le fait que le Polisario exploite de manière indigne les sentiments humanistes et généreux des donateurs internationaux pour enrichir les membres de sa direction, enrichissement qui s’effectue au détriment d’une population qui vit dans une situation précaire et qui demeure maintenue contre son gré dans le désert du sud algérien.

          Cette situation d’extrême précarité est confirmée par Mohamed Salem Khatri, qui a déclaré : « en ma qualité de gestionnaire de lq situation intérieure des camps de Tindouf, je témoigne que la grande majorité des populations de ces camps, souhaite quitter au plus vite Lahmada, située dans le sud algérien et réintégrer leurs foyers au Sahara. ».

          5- Bachir Mustapha Sayed, dirigeant du Polisario

          Une déclaration des biens faite en 1996 par Bachir Mustapha Sayed, l’un des dirigeants du Polisario, a « suscité l’irritation des autres membres de la direction séparatiste » qui ont jugé inopportun une telle initiative, rapporte le quotidien « Al Alam », citant des « sources informées ».

          Dans son éditorial de Vendredi (27/12/7996), « Al Alam » indique que « Mustapha Sayed, alors coordinateur du Polisario avec la Minurso, a révélé être le propriétaire d’actions dans des sociétés étrangères, de biens immobiliers et agricoles et de comptes bancaires, tout en mentionnant les noms de ces créanciers et de ses partenaires. Son geste s’explique par l’espoir secret d’amener les autres dirigeants du Polisario à faire de même et à avouer l’état de leurs fortunes personnelles.

          Les mêmes sources ajoutent que les chiffres avancés par Mustapha Sayed indiquent que ce dernier détient « des preuves sur l’enrichissement illégal de ses rivaux, dont Mohamed Abdelaziz ».

          5- La presse algérienne

          M.Hans R.Wittewern délégué de la Fédération Internationale des Croissants Rouges (FICR) a notamment signalé à la Fédération internationale que « des fonds destinés au programme sahraoui sous forme d’avances, provenant du PAM et de la CEE et devant normalement servir à financer le transport et le dédouanement, sont utilisés à d’autres fins, étant donné l’absence et le manque de moyens » du Croissant Rouge Algérien.

          Le délégué de la Fédération Internationale, qui effectuait une mission à Alger, avait constaté que des transferts de fonds, provenant du FICR, ont été utilisés pour combler des découverts apparaissant sur les comptes du Croissant Rouge Algérien et que des devises, débloquées par la Fédération Internationale, ont servi à payer des billets d’avion pour l’étranger.

          Il s’agit, là, d’un rapport du délégué de la Fédération Internationale, établi le 23 septembre 1992, au terme d’une mission à Alger, auprès du Croissant Rouge Algérien, et dont le journal « El Watan » en a publié le contenu, sous le titre « Croissant Rouge Algérien, un rapport accablant ».

          Le délégué de la Fédération Internationale effectuait un déplacement à Alger, à la suite d’une demande d’aide d’une demande d’aide du Croissant Rouge Algérien, destinée aux populations étrangères réfugiées dans le sud du pays. La fédération devait débloquer en faveur du « CRA » une enveloppe d’un milliard de centimes en devises. Lors de son voyage, le délégué international était porteur d’une avance de un million deux cent mille francs suisses, mais on ignore si cette somme avait été versée au « CRA ». Point de divergence essentielle : la Fédération Internationale a refusé que ses fonds soient inscrits et versés aux comptes du « CRA », et ont exigé l’ouverture d’un compte , selon le journal algérien. Aussi, les fonds n’avaient-ils pas été débloqués. Bien que cette aide soit destinée aux populations réfugiées sur le territoire algérien, le journal « Al Watan » y voit tout de même une perte pour l’Algérie.

          Le journal précise que « dans le cadre du recouvrement de ces frais qui se fait par le biais d’une opération dite de monétisation, consistant en la vente d’une partie des produits sur le marché jusqu’à concurrence du montant nécessaire, seules 40 tonnes de spaghettis ont été autorisées à la vente par l ‘inspection régionale des enquêtes économiques d’Oran, alors que le reste de la marchandise (670 tonnes) n’ a pas fait l’objet de contrôle en dépit de deux convocations envoyées dans ce sens au « CRA ».

          La même source ajoute que « ces centaines de tonnes qui étaient déposées à l’entrepôt de l’ENAPAL, sur la route d’Es-Sania, se sont volatilisées dans la nature et une enquête policière a été ouverte au niveau de la Daïra de Oued Tlelat, distante de 25 Km d’Oran pour retrouver cette marchandise perdue ».

          « El Watan » signale que « des pâtes alimentaires, expédiées par le gouvernement et le peuple italiens, sont écoulés sur les marchés d’Alger et même sur les trottoirs, à raison de 35 Dinars la livre. Sur l’emballage du produit, il est indiqué en italien et en arabe que ces spaghettis constituent un don du gouvernement et du peuple italiens.

          « Le même emballage porte aussi une étiquette sur laquelle sont mentionnées uniquement les initiales de la présumée entreprise qui commercialise ces dons avec comme adresse, 44 rue Lanceb, Es-Senia, Oran », relève « Al Watan ».

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          • #50
            6- « El Pais » :

            « Une aide humanitaire de 64 millions de Pesetas, qui a été remise par la Croix Rouge Espagnole au Polisario pour l’achat de 430 chamelles, a disparu sans laisser de traces », avait rapporté dimanche (7/3/99), le quotidien « El Pais », citant un vétérinaire chargé du suivi de ce programme.

            Tentant d’éviter le scandale et de faire croire à l’exécution de l’opération, les dirigeants du Polisario ont organisé une opération d’achat, mais « de chamelles qui leur appartenaient », indique le quotidien espagnol, précisant que le responsable de la coopération de la prétendue « Rasd », Embarek Malainine, « n’a pas démenti l’accusation ».

            D’après le journal, les responsables espagnols chargés du suivi de ce programme, n’ont pas voulu rendre public « leurs soupçons sur ce détournement », évitant ainsi d’en informer les co-financiers et les médias.

            Une partie de ces fonds a été réunie grâce à la collecte de dons à travers une émission télévisée présentée en direct, en décembre 1995, sur la première chaîne espagnole, « Victimes de conflits oubliés »( 19 millions de Pesetas). Le reste a été fourni par l’Agence de Coopération Internationale, relevant du ministère espagnol des Affaires Extérieures ( 20,6 millions de Pesetas) et de Las Palmas (6,33 millions de Pesetas).

            La Croix Rouge espagnole a été chargée de réaliser le programme d’achat de 430 chamelles pour l’amélioration du régime alimentaire en viande et en lait des femmes, des personnes âgées et des enfants des camps de Tindouf. Elle a remis 61 millions de Pesetas au « Croissant Rouge sahraoui », « une organisation qui n’est pas reconnue sur le plan international », rappelle « El Pais ».

            7- Le Front Populaire Pour l’Indépendance des Canaries ( FREPIC-AWANAC)

            Le « FREPIC-AWANAC » a publié, le 1er octobre 2000, un communiqué faisant état « d’informations sur les présumés irrégularités dans la gestion de l’aide humanitaire, destinée à une partie de la communauté sahraouie et de la participation active du Conseil de Gran Canaria dans la campagne de propagande du polisario en Espagne. Pour cela, il a demandé à la présidence de ce conseil, Maria Eugenia Garcia Marquez, également dirigeante du Parti Populaire (au pouvoir), d’informer la société des Iles Canaries de ces faits.

            Le FREPIC a réclamé des explications au sujet d’informations, selon lesquelles, la présidence du Conseil municipal de Gran canaria aurait acquis une villa au profit de Mohamed Abdelaziz ou du Polisario dans l’Île pour un montant de 52 millions de Pesetas, puisé dans les subventions en faveur de la communauté sahraouie, installée en Algérie.

            De même, le FREPIC s’interroge sur les mesures adoptées en rapport avec le présumé détournement de l’aide humanitaire accordée par les institutions des Iles Canaries pour soutenir les activités de guerre au sahara.

            Le Front canarien pour l’indépendance se demande pourquoi la Municipalité de Gran Canaria a décidé d’appuyer officiellement la participation à New York, de dirigeants politiques du pacte de coalition Iles Canaries-Front Populaire aux travaux de la commission des questions politiques spéciales de la décolonisation sur le Sahara, en la personne du Vice-Président et Conseiller à la Solidarité, Carmelo Ramirez, pour appuyer le Polisario.

            Le FREPIC révèle que le déplacement de ce responsable a été financé par des fonds publics et à partir de l’aide humanitaire initialement destinée à ladite communauté et à des associations sociales et culturelles auxquelles a été refusée une telle subvention pour financer leurs activité.

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