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L'Iran est détérminé! Il se declare au moment ou son dossier nucléaire est en cours d'examination!
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TéHéRAN - L'Iran a déclaré vouloir construire une seconde centrale nucléaire. Les travaux doivent débuter dans les six prochains mois. Cette annonce intervient alors que le dossier nucléaire iranien doit être examiné cette semaine par le Conseil de sécurité.
Cette annonce risque de provoquer le courroux de la communauté internationale. Le Conseil de sécurité des Nations unies, qui doit se réunir cette semaine à New York, devrait demander à l'Iran de coopérer plus largement avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et de suspendre toutes ses activités d'enrichissement d'uranium.
Le ministre iranien de l'Economie, Davoud Danesh-Jaafari, a jugé "improbable" l'application éventuelle de sanctions économiques contre son pays, à cause de son programme nucléaire controversé. "Je ne suis pas inquiet des sanctions, elles sont improbables", a affirmé le ministre lors d'une conférence de presse.
L'Iran a repris le 10 janvier dernier ses recherches sur l'enrichissement et refuse de les suspendre malgré les exigences de l'AIEA. L'enrichissement d'uranium sert à fabriquer du combustible pour les centrales nucléaires civiles mais peut également servir à la fabrication de l'arme atomique.
L'Iran achève à Bouchehr (sud) la construction de la première centrale nucléaire du pays. Cette centrale devrait avoir une capacité de 1000 mégawatts. Moscou avait annoncé la mise en service de la centrale pour la fin de l'année 2006, mais selon des sources russes, ce site ne devrait pas entrer en fonction avant fin 2007.
Le programme nucléaire iranien est dans le collimateur des pays occidentaux, qui soupçonnent Téhéran de chercher à se doter de l'arme nucléaire.
- Swisinfo
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TéHéRAN - L'Iran a déclaré vouloir construire une seconde centrale nucléaire. Les travaux doivent débuter dans les six prochains mois. Cette annonce intervient alors que le dossier nucléaire iranien doit être examiné cette semaine par le Conseil de sécurité.
Cette annonce risque de provoquer le courroux de la communauté internationale. Le Conseil de sécurité des Nations unies, qui doit se réunir cette semaine à New York, devrait demander à l'Iran de coopérer plus largement avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et de suspendre toutes ses activités d'enrichissement d'uranium.
Le ministre iranien de l'Economie, Davoud Danesh-Jaafari, a jugé "improbable" l'application éventuelle de sanctions économiques contre son pays, à cause de son programme nucléaire controversé. "Je ne suis pas inquiet des sanctions, elles sont improbables", a affirmé le ministre lors d'une conférence de presse.
L'Iran a repris le 10 janvier dernier ses recherches sur l'enrichissement et refuse de les suspendre malgré les exigences de l'AIEA. L'enrichissement d'uranium sert à fabriquer du combustible pour les centrales nucléaires civiles mais peut également servir à la fabrication de l'arme atomique.
L'Iran achève à Bouchehr (sud) la construction de la première centrale nucléaire du pays. Cette centrale devrait avoir une capacité de 1000 mégawatts. Moscou avait annoncé la mise en service de la centrale pour la fin de l'année 2006, mais selon des sources russes, ce site ne devrait pas entrer en fonction avant fin 2007.
Le programme nucléaire iranien est dans le collimateur des pays occidentaux, qui soupçonnent Téhéran de chercher à se doter de l'arme nucléaire.
- Swisinfo