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The Swedish dockers’ union decides on a blockade against Israeli ships and goods

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  • The Swedish dockers’ union decides on a blockade against Israeli ships and goods

    The Swedish Dockers’ Union has today notified its intention to enforce a blockade on all Israeli ships and goods coming from or destined to Israel that are handled by its members. The blockade will enter into force on Tuesday June 15 at 00.00 hours and it will last to Thursday June 24 at 24.00 hours.

    The reason for this blockade is the unprecedented criminal agression against the peaceful convoy Ship to Gaza. Several peace activists were murdered by Israeli commando soldiers and the other participants were detained without any justification.

    The Swedish Dockers’ Union, which supports Ship to Gaza, wants through this measure to protest against the Israeli government’s violation of international law by agressing a convoy of peace activists and emergency supplies to the population of Gaza, which is suffering an equally illegal blockade.

    The Swedish Dockers’ Union demands that those responsible for this outrage be brought to justice, that Israel pays respect to international law and that the blockade of Gaza be lifted immediately.

    The Swedish Dockers’ Union calls on other trade unions and organisations to take similar initiatives and calls for a general blockade of Israeli goods until the rights of the Palestinian people are guaranteed and the blockade of Gaza is lifted..

    source : hamn.nu

    traduction: La raison du blocus est l’agression criminelle inqualifiable sur le convoi pacifique de navires Ship to Gaza. De nombreux activistes pacifistes ont été assassinés par des soldats commandos israëliens et les autres participants à l’action ont été internés sans raison.

    La Fédération suédoise des dockers, qui soutient Ships to Gaza, veut par cette mesure protester contre la violation du droit international par Israël du fait de l’attaque contre un convoi de pacifistes apportant des produits de première nécessité à la population de Gaza, qui subit un blocus tout aussi contraire au droit international.

    La Fédération suédoise des dockers exige que les responsables de cette agression soient traduits en justice, qu’Israël respecte le droit international et que le blocus de Gaza soit levé.

    La Fédération suédoise des dockers appelle d’autres syndicats et d’autres organisations à prendre des initiatives similaires et appelle à un blocus général des produits israëliens jusqu’à ce que les droits du peuple palestinien soient respectés, et en particulier la levée du blocus de Gaza.
    Dernière modification par jawzia, 03 juin 2010, 21h07.

  • #2
    par contre les dockers dalexandrie sont ravis de continuer a charger des marchandises sionistes...

    vive les pharaons...

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    • #3
      encore une claque pour les arabes les seuls a rester inerte et il n y a pas que les egyptiens dont l economie est sous perfusion americaine !
      tous les regimes arabes sans exception aucune et a forte raison la société civile
      "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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      • #4
        non, non et non

        la syrie, le yemen, lalgerie et le soudan ne trafiquent pas avec tel aviv

        les generalités a sesn unique sa commence a bien faire !!!

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        • #5
          c'est ce que tu voudrais , mais la realité est autre sauf que c'est fait en catimini

          dick cheny le copain des generaux, pierre falcone israelien (avec une multitude de nationalité ) et agent du mossad qui sert d intermediare meme avec les chinois pour la construction d'autoroute en algerie !
          bouteflika l ami intime d'enrico macias ..........;;
          "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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          • #6
            l’armée se rebiffe

            En janvier, un séisme a secoué le pouvoir algérien. La destitution et la mise sous contrôle judiciaire de Mohamed Meziane, président de la Sonatrach, et de quatre vice-présidents de la société, sont sans précédent. En Algérie, les hydrocarbures sont un véritable État dans l ’ État (120 000 salariés, 98 % des exportations, 60 % des recettes budgétaires). Personne ne songeait, jusqu’à aujourd’hui, à intervenir dans ce sanctuaire pétrolier. Pas même les barbus, pendant la décennie noire. À travers le président de la Sonatrach, c’est le ministre du Pétrole, proche de Bouteflika, Chakib Khelil, qui est désormais dans le collimateur. À la manoeuvre contre Khelil, se trouve le puissant général Mediene, surnommé « Toufik », le chef du DRS depuis 1990 ( !) et véritable patron de l’Algérie.
            C’est sa troupe qui a déclenché l’enquête judiciaire contre le président de la Sonatrach. Le général Mediene avait pourtant soutenu Boutef aux présidentielles de 1999, 2004 et 2009. Un soutien décisif. Alors pourquoi cette déclaration de guerre et pourquoi aujourd’hui ? Ces derniers temps, Boutef a franchi une double ligne jaune. D’abord, le chef de l’État a mis en avant son frère Said, conseiller à la Présidence, comme un successeur possible. « C’était oublier, commente un diplomate français, qui l’a fait Roi ». Deuxième souci, le président algérien a multiplié depuis l’automne les déclarations fracassantes contre la corruption, notamment pour « les postes à responsabilité sensible ». Le genre de déclarations que les militaires algériens n’aiment guère. La réponse n’a pas tardé. Le DRS, via des enquêtes ciblées, s’en prend à des amis de la Présidence. Longtemps, le ministre des Hydrocarbures aura été intouchable. En effet, Khelil entretenait les meilleures relations avec l’administration Bush, et notamment Dick Cheney. Avec l’arrivée d’Obama, tout a changé. La secrétaire d’État américaine, Hillary Clinton, n’a-t-elle pas déclaré que les remugles au sein de la Sonatrach étaient « une affaire purement algérienne » ?
            Falcone, le retour

            D’autres affaires agitent le microcosme algérois. Ainsi le dossier de l’autoroute est-ouest. Où l’on voit Pierre Falcone, emprisonné en France dans l’affaire de l’Angolagate, se faire l’intermédiaire d’une société chinoise auprès du ministre des Affaires étrangères algérien, un ancien de l’Unesco comme lui, Mohamed Bejaoui. Tandis qu’à Paris, un certain « Sacha », fidèle agent du même Falcone, a désormais disparu. Et où l’on découvre plusieurs militaires rackettant les Chinois, jusqu’à ce que ces derniers balancent tout sur la place publique. À côté d’Alger, les luttes Sarko- Villepin paraissent bien fades.
            bakchich
            "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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            • #7
              on va arreter de faire du business avec notre principal client car il ami des sionistes...

              on devrait alors commencer par la france de sarkozy, de chirac et de mitterand


              largument vaut ce quil vaut....pas grand chose en verité

              au fait tzippi livni elle vous envoie des cartes postales...

              Le Mossad a permis aux services marocains de liquider BEN BARKA

              L’affaire Ben Barka revient sur la scène. Après le film diffusé en deux parties sur France 2 cette semaine, l’histoire tragique de l’opposant marocain qui a bravé la monarchie pour défendre la liberté et la démocratie vient visiblement de connaître un autre rebondissement. Ainsi, 42 ans après la disparition mystérieuse de Ben Barka, un ouvrage publié aujourd’hui par le journaliste israélien Shmouel Seguev affirme que Mehdi Ben Barka, enlevé a été assassiné par Ahmed Dlimi, N.2 de la police secrète marocaine, puis enterré dans la capitale, près d’une autoroute.

              "Le 29 octobre 1965, Ben Barka est arrivé à Paris en provenance de Genève, avec un passeport diplomatique algérien. Il a déposé ses valises chez son ami Jo Ohanna, un juif marocain, et s’est rendu à pied à la brasserie Lipp pour y rencontrer un journaliste français, quand deux policiers français en civil l’ont interpellé et conduit dans une voiture de location jusqu’à une villa au sud de Paris", a raconté M. Seguev dans un entretien rapporté par l’AFP.

              "Nous savons avec certitude que Ben Barka était encore en vie le 1er novembre (...) le général Dlimi ne voulait pas le tuer, mais lui faire avouer son intention de renverser le roi Hassan II", a-t-il révélé encore. "Ben Barka avait les chevilles entravées et les mains nouées dans le dos, et Dlimi lui a plongé la tête dans un bac rempli d’eau. A un moment donné, il a pressé trop fort sur ses jugulaires, l’étranglant ainsi à mort", nous apprend encore le journaliste israélien. "Le ministre marocain de l’Intérieur, le général Mohammed Oufkir, chef de la police secrète, est ensuite arrivé à Paris pour organiser l’enterrement, qui s’est déroulé à Paris, quelques jours après le décès, sur une aire en construction, où il y avait du béton et du ciment, aux abords de l’autoroute du sud", a encore indiqué M. Seguev. Soulignons par ailleurs que ce livre, préfacé par un ancien chef du Mossad, le service d’espionnage israélien, Ephraïm Halévy, et publié en hébreu par les éditions Matar sous le titre "Le lien marocain", fourmille de détails confidentiels sur les relations secrètes entre Israël et le Maroc.
              Le Mossad a de ce fait indirectement permis aux services secrets marocains de repérer l’oppposant socialiste, puis de le piéger : "Ben Barka, qui voyageait beaucoup à travers le monde, se servait d’un kiosque à journaux à Genève comme d’une boîte postale où il venait récupérer son courrier, et le Mossad a donné cette information à Dlimi", affirme sans hésitations Seguev. On apprend aussi dans le livre de Seguev que Ben Barka a rencontré en 1960 un haut responsable du Mossad pour lui demander —en vain— une aide financière et en armes afin de renverser le régime chérifien, et que David Ben Gourion, le fondateur d’Israël, en a averti le souverain marocain.
              Il faut savoir à cet égard qu’après le déclenchement en 1963 de la guerre entre le Maroc et l’Algérie, le chef du Mossad, Meir Amit, doté d’un faux passeport, a rencontré à Marrakech le roi Hassan II pour lui déclarer : "Nous pouvons, et nous voulons vous aider". Les instructeurs d’Israël ont ensuite entraîné des officiers marocains, formé des aviateurs au pilotage de Migs-17 soviétiques, organisé ses services secrets, surveillé la construction de la barrière entre le Maroc et l’Algérie, vendu des armes, y compris des chars AMX-13 français via Téhéran, et équipé des embarcations de pêche avec des radars pour les transformer en gardes côtes.
              En 1965, Israël a pu suivre le sommet arabe de Casablanca et a ainsi découvert l’impréparation des armées arabes bien avant la guerre de juin 1967.
              Notons enfin que Seguev consacre aussi dans son livre une place importante aux pourparlers du Mossad avec le roi Hassan II, qui ont préludé à la rencontre secrète au Maroc du ministre israélien des Affaires étrangères Moshé Dayan avec le vice-Premier ministre égyptien Hassan al-Toami, puis au voyage historique du président égyptien Anouar Sadate à Jérusalem en 1977. Ancien capitaine des renseignements militaires, puis correspondant à Paris du quotidien Maariv, le journaliste israélien a noué des liens très étroits avec les renseignements notamment le Mossad. Son dernier livre risque bien de susciter de vives polémiques dans les jours à venir. L’affaire est donc à suivre…
              pour rafraichir la memoire aux zerma-propalestiniens anti-chiites

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              • #8
                je ne renie pas la réalité , oui le maroc fricote avec les sionistes , j en fais pas une maladie je n ai aucun pouvoir comme tout citoyen du monde arabe !
                je ne vante pas le regime marocain et je ne le ferai jamais pas je n ai pas besoin de renier une realité évidente pour soulager ma conscience!
                la difference avec toi c'est que toi tu vis dans un monde imaginaire , je comprends que ce soit un besoin vital pour toi
                "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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                • #9
                  En 1965, Israël a pu suivre le sommet arabe de Casablanca et a ainsi découvert l’impréparation des armées arabes bien avant la guerre de juin 1967.
                  par contre ça je sais que c'est faux
                  "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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                  • #10
                    The Swedish dockers’ union decides on a blockade against Israeli ships and goods
                    Le boycott concerne les marchandises et bateaux israeliens et nullement les américains.


                    Restons en sur ce volet !

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