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La Turquie veut devenir la 2e destination touristique des Algériens après la Tunisie

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  • #16
    l’octroi de plus de 40 mille visas aux Algériens.

    comment ça se fait que y a pas de visas d'entrer pour les marocains se rendant en turquie mais pas pour les algériens?

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    • #17
      les turques ne se sont pas mélangés avec les algériens, la distinction entre eux et les algériens est restée claire à tel point qu'il y avait des noms spécifiques par parler du turque, de l'algérien et du métisse ( si jamais c'est le cas )

      Aussi la France, à son arrivée a dégagé, par bateau la plupart des turcs ou assimilés présents sur le territoire algérien.

      j'aime bien cette nostalgie naïve qu'ont les algériens pour un colon. la plupart des autres arabes parlent de cette période comme étant une période de déclin, d'humiliation par les turques. ils enseignent les révoltes et les luttes anti-coloniales anti-turques avant de passer au reste. il n y a qu'en Algérie qu'on oublie qu'abdel kader était anti-turque avant d'être anti-français.

      mais bon l'Algérie veut se faire une histoire, une régence d'Alger riche, prospère et algérienne, avant la venu du méchant colon Français qui a détruit un paradis sur terre. Les turques eux veulent faire du business, tant mieux pour eux.

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      • #18
        reda,

        Tourisme : L’exemple turc
        mercredi 14 octobre 2009, par Turquie News


        Alors que le Maroc peine à atteindre le cap de 10 millions de touristes en 2010, la Turquie s’apprête à en accueillir 30 millions la même année. Elle y va d’un pas assuré. Ce qui en fait un « cas » à étudier.

        Jeudi 6 août. Aéroport Atatürk, à 24 kilomètres du centre-ville d’Istanbul. Après 4 heures et 20 minutes dans le ciel, un Boeing 737-800 de la RAM arrivant presque complet de l’aéroport Mohammed V de Casablanca vient d’atterrir. En quittant l’avion, les passagers de ce vol AT 910, Marocains pour la plupart, traversent de longs couloirs puis empruntent des escalators, avant d’arriver vers le hall indiqué pour reprendre leurs bagages dans le terminal I. De là, ils rejoindront, juste une vingtaine de minutes plus tard, les files d’attente qui commencent à s’allonger devant les nombreux guichets donnant vers les portes de sortie. Ici et là, des agents en uniforme vérifient les passeports des arrivants avec à la fois circonspection et agilité.

        A certains passagers, quelques questions baragouinées en anglais sont posées. A d’autres, il est demandé d’aller payer sur place leur visa dans un autre guichet ouvert à cet effet. Les Marocains sont les seuls à être exempts de cette formalité et épargnés par les questions. Seul un « marhaba » enjoué leur est lancé par certains agents. A la sortie, un employé de l’aéroport explique, avec le sourire, à un couple curieux qui l’a interrogé que l’aéroport d’Atatürk dit aussi nouvel aéroport est quatre fois plus grand que l’ancien. « Nous disposons maintenant de 160 guichets d’enregistrement de bagages, de 64 guichets de contrôle de police, de 34 détecteurs rayon-x, de 8 tapis roulants d’une capacité de 10.000 bagages, de 45 ascenseurs, de 21 escalators et de près d’un kilomètre et demi de trottoirs roulants », déclame l’employé d’un ton fier. « C’est vrai qu’en arrivant dans cet aéroport, le grand aéroport de Casablanca paraît tout à coup étroit », murmure une jeune marrakchie. Elle vient à Istanbul enseigner la langue arabe à des enfants turcs. La jeune fille est une exception, les autres passagers disent, pour la plupart, arriver en Turquie en touristes. Ce n’est d’ailleurs pas la première visite du genre pour quelques uns d’entre eux.

        A la sortie, un essaim d’hommes et de femmes attend sans faire de bruit. Au-dessus de leurs têtes flottent différents noms inscrits en grand sur des pages blanches. Des noms marocains sont dans le lot. Au fur et à mesure, les passagers, seuls ou accompagnés, commencent à répondre à ces appels silencieux. Dès lors, on n’entend plus répéter que welcome in Turkey ou « marhaba ». C’est à ce moment que commence déjà la découverte du pays.

        Dès que le visiteur marocain foule le sol turc, Istanbul le surprend à la fois par son aspect ordonné, moderne, européen et par l’emprunte musulmane qui la marque. Ce sont d’ailleurs les nombreux minarets des mosquées qui attirent en premier le regard.

        L’ancienne Byzance qui avait aussi porté le nom de Constantinople, est pour la Turquie ce que Casablanca est pour le Maroc. Avec plus de douze millions d’habitants (la Turquie en compte quelque 71 millions), c’est à la fois la capitale économique et la plus grande ville du pays (environ 365 km²).

        A cheval sur l’Europe et l’Asie, la situation d’Istanbul lui donne un attrait particulier. Surplombant d’un côté comme de l’autre le détroit du Bosphore, elle respire l’histoire. Les Grecs, les Romains et les Ottomans y ont laissé bien des traces. Souvent, le touriste en court séjour sort rarement de cette ville qui est la porte de « la Turquie ». Une dizaine de jours ne lui suffisent pas pour découvrir le tiers de ce qu’il y à voir.

        C’est vers l’ancienne ville qu’affluent les visiteurs. C’est là que sont situés les hôtels les mieux prisés par les touristes aux grandes bourses comme par ceux aux bourses moyennes. C’est aussi là que bât le cœur d’Istanbul.
        De jour comme de nuit, ici, les rues, toujours propres et bien entretenues, pullulent de monde. Les promeneurs, nombreux, papillonnent à travers bazars, boutiques et petites échoppes. Au passage, des serveurs tentent d’inviter quelques badauds en essayant de deviner leur nationalité. Dans la bonhomie, ils leur lancent quelques mots en différentes langues, y compris arabes. Tout près de là, de temps à autre, un tramway passe, suivi de taxis en jaune et noir et de nombreuses autres voitures. Le tout régulé par une impeccable signalisation.

        Même si la ville est très marchande, ce sont surtout les mosquées ouvertes à toutes et à tous, les monuments historiques bien conservés et les musées d’où on sort la tête bien pleine, qui attirent le plus grand monde. En arrivant, les visiteurs marocains affluent dès la première journée de leur séjour vers la célèbre mosquée bleue appelée localement « Sultanahmet camii ». Cette mosquée a été construite sous le règne du sultan Ahmet Ier entre les années 1609 et 1616. Eclairée de l’intérieur par 260 fenêtres, ce lieu de culte qui est des plus visités de tout le pays, doit son nom aux nombreuses faïences de couleur bleue qui l’ornent. Non loin de là, la visite peut s’étendre à la mosquée Süleymaniye, voire à la mosquée Eyüp Sultan… Mais il n’y a pas que les mosquées qui attirent les Marocains, comme tant d’autres touristes.

        Autant que le somptueux palais de Dolmabahçe qui surplombe le Bosphore, le palais de Topkapı (Topkapı sarayı) attire aussi les foules. Situé au bord de la vieille ville à la pointe de la Corne d’Or, ce palais des sultans ottomans transformé depuis 1924 en musée, offre une vue imprenable à la fois sur la mer de Marmara et sur le Bosphore. Mais ce n’est pas là le seul secret de son succès surtout auprès des communautés musulmanes. C’est dans un écrin exposé dans l’un des nombreux compartiments de cet immense palais que sont conservés des cheveux du prophète sidna Mohamed. C’est ici aussi que l’on peut observer l’emprunte de son pied, comme on peut voir son épée et celles de ses proches compagnons. On peut même découvrir le bâton de Sidna Souleiman… Les gardiens des lieux se montrent vigilants pour préserver ces objets. Ils interdisent même que quiconque les prennent en photo.

        Par ailleurs, il y a tant d’autres lieux cultes à découvrir à Istanbul : les îles des Princes où on ne se déplace qu’en calèches, la très branchée avenue Istiklal que traverse l’antique petit funiculaire, la splendide tour de Galata… Ce n’est pas pour rien que la ville a été choisie comme capitale culturelle de l’Europe pour 2010.

        Autre atout majeur : les différents modes de locomotion publics mis en place facilitent la vie. Outre le tramway et les taxis, il y aussi le métro et les bus, en plus des bateaux-navettes. Ce n’est donc pas par hasard qu’Istanbul a attiré, à elle seule, en 2008, plus de sept millions de visiteurs.

        Soit près du quart des 26 millions de touristes ayant visité la Turquie cette année-là. Un chiffre où le taux des touristes arabes, dont les Marocains, va en augmentant, surtout après le succès du télé-feuilleton turc Noor qui a révélé le pays d’Atatürk au monde arabe. A titre indicatif, au premier semestre de cette année, 500.000 ressortissants arabes dont près de 10% de Marocains, ont visité la Turquie, selon un responsable stambouliote sur le tourisme.

        Il faut noter que la Turquie compte dépasser les 30 millions de touristes en 2011 pour atteindre un total de 50 millions de visiteurs internationaux en 2020. Pour ce faire aucune niche n’est négligée : le tourisme balnéaire, culturel, médical, de mode, de shopping… Le Maroc devra en prendre de la graine.

        http://www.turquie-news.fr/spip.php?article2896
        Dernière modification par alien, 23 avril 2010, 19h56.

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        • #19
          parenthese

          Tlemcen , Tilimssen est un lieu et un nom berbères ......

          Ce lieu a pris un essor à la periode des Almohades .......periode d' Union politique de l'Afrique du Nord d'Andalousie à Tunisie .L'architecture islamique mauresque caracterise cette ville.

          Tlemcen Constantine et Bejaia sont des centres historiques de l'Algerie, villes de direction politique.

          Aujourd'hui Alger, Oran, Annaba ..et la derniere venue dans le club des grandes villes .. Setif (qui n'en finit plus de se developper ) .......sont venus rivaliser ou supplanter les trois grandes villes anciennes , Constantine, Tlemcen et Bejaia..
          Dernière modification par Sioux foughali, 23 avril 2010, 21h17.

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