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Maroc: Kalaat mgouna .L'enfer des roses

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  • #16
    "Oho sympa les francais et les espagnols monter une aussi grande opération pour proteger Hassan 2 !" (Asaka)

    L'affaire de Ecouvillon et Ouragan est parfaitement sérieuse et sera le détonnateur de la naissance d'un mouvement indépendantiste sahraouie.

    Par ailleurs, il semberait que les Sahraouis en 1960 désiraient reprendre la lutte armée contre les Espagnols et cela fut impossible par manque de moyens.


    Ps. Le titre me rappellant la charmante ville de Blida, ce soir un de ses enfants-Jean Daniel-passera sur France et les sujets marocains, tunisiens et algériens seront traités. Avis aux amateurs télévisés.
    _________________________

    Ce soir sur France 5

    Aller à l’essentiel ! On saura gré au réalisateur de ce superbe portrait d’avoir fait sienne la formule. Pouvait-il faire autrement ? Traiter d’une vie comme celle de Jean Daniel en cinquante-deux petites minutes exigeait, en effet, que le portraitiste aille droit au but. Certes, on eût aimé que le film se prolonge, mais force est de reconnaître que ceux qui, comme nous, admirent Jean le retrouvent ici.

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    • #17
      Oho sympa les francais et les espagnols monter une aussi grande opération pour proteger Hassan 2 !
      Si ! d une pierre deux coups , mater les sahraouis et protéger le Trône par la France et l Espagne !

      Asaka : Revoit ta copie !
      apprend l histoire de ton pays pour ne pas dire des conneries ( les marocains te lisent ) t as TelQuel ; un ecrit sur ça !

      Eh bien tu arrives , alliance maroco-hispano-française . ( Operation Ecouvillon /Ouargan ) pour mater les nationalistes sahraouis ALS : armée du liberation du Sahara !
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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      • #18
        "Oho sympa les francais et les espagnols monter une aussi grande opération pour proteger Hassan 2 !

        Bientot on dira que l'ALS n'était pas une armée marocaine mais mauritanienne ou qui sais une branche du FLN ...

        Ntouma kounou t7echmou chwiya "


        Tu ignore's complétement l'histoire de ton pays, ton compatriote est venu à ton secours une fois, il ne pourra le fair e une deuxiéme.

        Tape sur goggle " opération écouvillon" et tu tu auras toutes les informations necessaires .
        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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        • #19
          Eh bien tu arrives , alliance maroco-hispano-française . ( Operation Ecouvillon /Ouargan ) pour mater les nationalistes sahraouis ALS : armée du liberation du Sahara !
          T'y connais rien, tu racontes n'importe quoi.

          L'ALS c'était une armée marocaine composée de marocains des region du nord et de chleuh, qui a opéré dans la region de sidi ifni pour ensuite desendre au sahara, c'est a sidi ifni que les sahraoui ont commencés a rejoindre cet armée massivement.

          Les sahraoui étaient tous pour le Maroc a cet époque.

          Le nationalisme sahraoui est né beaucoup plus tard avec la création du polisario et son début de guerre contre le Maroc.

          D'ailleurs ce nationalisme ne touche pas tout les sahraoui, il touche seulement ceux des camps et une petite partie de ceux du Maroc.

          Les autres se considérent marocains a part entiere.

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          • #20
            Tape sur goggle " opération écouvillon" et tu tu auras toutes les informations necessaires .
            Ta sir rak ma 3aref walo b7alek i3alemni l'opération écouvillion.

            Dik lfhama dialek koulha, bari tbane za3ma 3aref 3lach ka tkelem walakin ma 3aref walo.

            Et si on creuse un peu plus, je vais te montrer que tu n'y connais rien CHICHE



            En mars 1958, le sultan crée une commission d'études consultatives sur les questions sahariennes présidée par Ben Barka avec El Fassi et Maa el Aïnin, le cheik de Smara - Rio de Oro et Saguiet el Hamra - comme membres.
            Pendant ce temps, l'Armée de libération nationale du Maroc prend le contrôle des tribus de la Seguiet-el-Hamra et du Rio de Oro et installe partout un embryon d'administration. Cette armée est à pied d'œuvre pour une action en direction de la Mauritanie et comprend près de trois mille hommes. Les gouvernements français et espagnols montent alors une opération commune connue en France sous le code « opération Ecouvillon ». En quinze jours, l'Armée de libération doit se replier au-delà du parallèle 27°40. Le Maroc ne réussira pas à libérer le territoire mauritanien. Il ne lui reste plus que la voie diplomatique.
            Dernière modification par Asaka, 16 avril 2010, 19h37.

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            • #21
              Asaka , je te souhaite une bonne lecture .


              Les Grandes énigmes du Maroc
              Les Grandes énigmes du Maroc

              Quelle est la vérité sur Aix-les-Bains ?
              « L'indépendance dans l'interdépendance ", tel était le compromis proposé au Maroc par Edgar Faure, président du conseil français, lors de la conférence d'Aix-les-Bains en septembre 1955. Le royaume était alors encore sous le joug du Protectorat français et le Sultan Mohammed Ben Youssef toujours en exil. À la table des pourparlers figuraient le parti de l'Istiqlal, représenté notamment par Mehdi Ben Barka, Omar Benabdejalil, Abderrahim Bouabid ou encore M'hamed Boucetta. Le Parti pour la Démocratie et l'Indépendance (P.D.I.) a également participé aux entretiens d'Aix-les-Bains. S'agissant de la délégation française, elle était composée d'Edgar Faure, Robert Schuman, Pierre July ainsi que d'autres membres du gouvernement. Quant aux " invités ", certains chefs traditionnels marocains, fidèles alliés du Protectorat, ils étaient également conviés à négocier l'indépendance du Maroc. La préséance leur sera d'ailleurs accordée, à la grande déception des istiqlaliens. Si le sort immédiat du Maroc s'est en grande partie joué pendant la conférence, son avenir en tant qu'Etat indépendant a également été soigneusement préparé par l'ancienne puissance protectrice. La France, depuis longtemps convaincue de la nécessité d'accorder au Maroc son indépendance, a essentiellement consacré ses efforts à ménager ses intérêts économiques et ceux de ses clients passés (notables parmi lesquels figuraient plusieurs caïds et pachas). Le destin du nouvel Etat indépendant se serait dessiné durant la conférence d'Aix-les-Bains. Officiellement, les négociations ont abouti à un accord : le Sultan fantoche Ben Arafa abdiqua, le Sultan légitime Mohammed Ben Youssef rentra d'exil et le Maroc fut proclamé indépendant lors de la déclaration de la Celle-Saint-Cloud. Officieusement, Aix-les-Bains fut peut-être le premier acte néo-colonialiste de la part de la France.

              Hassan II a-t-il participé à l'opération Ecouvillon ?
              Au lendemain de l'Indépendance, le Maroc comptait encore sur son territoire de nombreuses zones de résistance. Celles-ci pouvaient à terme déstabiliser la monarchie. Pour cette raison, le régime n'hésita pas à recourir à l'aide des ennemis d'hier, les puissances coloniales françaises et espagnoles. L'objectif était de mettre fin à la résistance de l'Armée de Libération du Sud.Quelques jours seulement au début de l'année 1958 ont suffi à la force armée alliée (F.A.R., Espagne et France) pour " pacifier " la région où se trouvaient les membres de l'A.L.S. L'opération aurait été d'une atrocité sans nom, à l'image de la pacification coloniale des débuts du Protectorat. L'implication du Prince Moulay Hassan dans l'opération Ecouvillon ne ferait pas de doute selon certains spécialistes. Car immédiatement après la fin des combats, le Prince héritier s'est vu rétrocéder par l'Espagne la région de Tarfaya. Une alliance et une méthode coloniales auraient donc permis au régime de conforter durablement son ascendant sur des poches de résistance difficiles à contrôler. La Résistance a d'ailleurs progressivement été anéantie entre 1956 et 1960 au profit d'une nouvelle logique d'intérêts. Désormais, la monarchie marocaine allait s'appuyer sur des réseaux de clans féodaux, nettement plus en accord avec ses aspirations. L'ancien mouvement national sera la première victime des premières années de l'indépendance du Maroc.
              [......]

              Qui voulait de Omar Khattabi comme Président du Maroc ?
              Le destin de Omar Khattabi, neveu du leader rifain Abdelkrim, aurait pu aussi s'installer dans la mémoire collective des Marocains, mais pour des raisons différentes. Le premier a failli devenir Président de la République du Maroc, si le coup d'Etat militaire de 1972 avait atteint son but. Tandis que le second a dirigé une république, celle du Rif, mais sans la prétention d'étendre son autorité sur l'ensemble du Maroc. Deux époques très différentes séparent le neveu et l'oncle. Omar Khattabi n'avait rien de l'opposant au régime jusqu'à ce qu'il rencontre en 1969 le lieutenant-colonel Amokrane, l'un des futurs protagonistes du putsch contre le Boeing royal ourdi par le général Oufkir. Certains des organisateurs de l'attentat auraient été favorables à ce que Omar Khattabi devienne le premier Président du Maroc dans le cas où le régime monarchique serait renversé grâce au coup d'Etat. Dans le cas aussi où Oufkir n'aurait eu aucune intention de gouverner, ce qui semblait improbable de la part du principal instigateur du putsch. L'histoire de Omar Khattabi, simple médecin au départ, est aussi énigmatique que les prétentions qu'auraient eues certains officiers et civils à le placer à la tête d'une république au Maroc. N'était-il pas uniquement l'élément nécessaire d'un accord entre les différents prétendants au renversement du régime de Hassan II.[/b]


              Lyautey a-t-il « créé » la monarchie ?Le Maroc indépendant a largement puisé dans l'héritage lyautéen. D'ailleurs, si l'on devait retenir une influence majeure des quarante-quatre années de Protectorat français, l'action de Hubert Lyautey, en tant que Résident général (1912-1925), aura certainement été la plus forte. Monarchiste revendiqué, le grand Maréchal n'a jamais caché son admiration pour le système makhzénien. Il a même inscrit son action de sorte que le Makhzen et ses pratiques soient maintenus et perpétués. Lors d'une allocution à l'adresse des Chefs Indigènes venus le saluer à Fès le 9 octobre 1916, il déclara : " Avant toute chose, la puissance chérifienne a été rétablie dans son éclat (…) Le Makhzen fortuné, les chefs héréditaires et les pachas forment autour de lui comme une éclatante couronne de joyaux précieux, et vous savez tous avec quel soin je m'attacherai toujours, ainsi que tous ceux qui collaborent avec moi, à ce que les rangs et les hiérarchies soient conservés et respectés, à ce que les gens et les choses restent à leurs places anciennes, à ce que ceux qui sont les chefs naturels commandent, et à ce que les autres obéissent ". La méthode de Lyautey consistait à préserver les coutumes et les règles makhzéniennes. Il s'attacha à maintenir au mieux les institutions traditionnelles de l'Empire chérifien. Ainsi a-t-il peut-être sauvé la dynastie alaouite, sur le déclin, le trône, voire même l'unité du Maroc.

              [.....]

              Abdelkrim voulait-il une « république du Rif » ?
              Une République au sein de notre vieux royaume chérifien. Voilà le pari que s'était lancé l'un des Marocains les plus charismatiques de notre Histoire, Mohamed Ben Abdelkrim El Khattabi. On l'ignore trop souvent mais le Maroc, à travers l'action du grand leader rifain, a indirectement initié plusieurs des mouvements nationalistes du XXème siècle. La cause ? La fondation, en janvier 1923, de la République du Rif. Cette initiative, audacieuse en pleine ère coloniale, est la principale conséquence de la victoire rifaine d'Anoual contre les troupes espagnoles, en juillet 1921. L'indépendance territoriale du Rif acquise, Abdelkrim concrétisa son souhait de fédérer l'ensemble des tribus rifaines au sein d'un même Etat. L'expérience dura plus de trois ans. Dirigée par Abdelkrim ainsi que par plusieurs membres de sa famille, la République du Rif avait une capitale (Ajdir), des institutions, une armée, une monnaie, un drapeau et surtout un territoire acquis grâce à une victoire prestigieuse et historique. Proclamant sa modernité et son attachement à l'Islam, la République d'Abdelkrim était une menace pour les puissances occidentales colonisatrices, parmi lesquelles la France et l'Espagne, mais aussi pour le Makhzen, inquiet de voir son autorité sérieusement remise en cause sur le sol marocain. Les autorités françaises ont donc convenu d'une action commune avec l'Espagne pour éliminer la résistance rifaine. La capitulation d'Abdelkrim El Khattabi, le 27 mai 1926, signifia la fin de la République du Rif.

              [....]



              Le Journale Hebdo , Maroc
              " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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              • #22
                Va direct au but et dis nous ce que tu entends par tout sa

                Tu ne va pas m'apprendre l'histoire de cet region.

                Les FAR et les membres de l'ALS (son chef était brahim tizniti un chelh istiklalien) se sont rencontrés dans la region de TANTAN.
                Les FAR voulaient que l'ALS rejoignent les FAR, mais ces derniers avaient des conditions, ils ne se sont pas entendus et allaient meme se battre, le rendez vous a pris fin, chaqun a fait son chemin.

                L'ALS a continué son travail de liberation du sud marocain.

                L'opération ecouvillion a empeché l'ALS de passer en Mauritanie et a fais reprendre le controles aux espagnols au sahara.

                Les FAR y ont eu un role, c'était d'empecher les combattants de l'ALS de se replier sur le nord du sahara sous controle marocain, les civils passaient mais les combattants devaient rester dans le sahara.

                Beaucoup d'anciens de l'ALS ont vu cet acte comme de la traitrise !

                Une partie de l'ALS faisait toujours le siége a Sidi Ifni au nord du sahara.

                Il n'y a pas eu de participation militaire marocaine pendant l'opération ecouvillion et c'est pour cela que l'espagne a rendu la region de Tarfaya au Maroc.

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                • #23
                  "En mars 1958, le sultan crée une commission d'études consultatives sur les questions sahariennes présidée par Ben Barka avec El Fassi et Maa el Aïnin, le cheik de Smara - Rio de Oro et Saguiet el Hamra - comme membres."

                  C'est pour cela que hassan 2 s'allie a la France et l'Espagne pour aneantir l'ALS, qui risquaient de faire tomber le trône alaouite.

                  Tu es formaté, et complétement , pourtant c'est un journal marocain qui parle.

                  Mais que fait-on devant des formatés?
                  " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                  • #24
                    Asaka

                    Si ce la ne te suffit pas voila autre chose, et je pourrais t'en poster d'autre, pour que tu apprennes l'histoire de ton pays .

                    des années 50 représente un tournant dans l'histoire de la région avec la maturation des mouvements d'indépendance africains et arabes. L'Espagne qui est en train de consolider sa présence, notamment avec le début de l'exploitation économique, se trouve ainsi confrontée à un double problème: la reprise de la lutte du peuple sahraoui et les revendications étrangères.
                    Le 2 mars 1956 le Maroc accède à l'indépendance. Sous l'impulsion du parti de l'Istiqlal, qui a élaboré un an auparavant une carte du "Grand Maroc" allant de la Méditerranée jusqu'au fleuve Sénégal en passant par une partie de l'Algérie, le Maroc commence à réclamer officiellement les territoires sous occupation espagnole et française. Continuant le combat entrepris au sein de l'Armée de Libération Marocaine, les Sahraouis effectuent une série d'attaques jusqu'en Mauritanie. Cette continuation de la lutte armée pour libérer la région met en difficulté l'Espagne. Le Maroc retire alors son appui, mais il faut une opération combinée des armées françaises et espagnoles, pour rétablir l'ordre au Sahara: c'est l'opération "Ecouvillon" de février 1958.
                    Un décret espagnol du 10 janvier de la même année établit deux provinces séparées: Ifni et le Sahara Occidental. La zone de Tarfaya est "rétrocédée" au Maroc. Administré comme une province métropolitaine, le Sahara est représenté aux Cortès, le parlement espagnol, par trois députés. Le pouvoir est attribué à un gouverneur général dépendant du président du gouvernement, le général Franco. Des élections établies sur une base assez réduite et corporatiste, désignent des conseils provinciaux.
                    La décision de la France de créer la République Islamique de Mauritanie, le 28 novembre 1958, réanime les ambitions marocaines. La proclamation de son indépendance, le 28 novembre 1960, déclenche une longue querelle entre le Maroc et la Mauritanie qui, à son tour, commence à revendiquer des droits sur le Sahara. Les ambitions marocaines n'épargnent pas l'Algérie engagée dans sa lutte de libération. Après l'indépendance le gouvernement algérien est immédiatement confronté au problème et l'intransigeance marocaine conduit à l'affrontement armé d'octobre 1963.
                    Les revendications marocaines maintiennent une tension jusqu'en 1970. Après un règlement bilatéral avec l'Algérie puis avec la Mauritanie la rencontre de Nouadhibou, le 14 septembre, permet d'arriver, entre autres, à un accord commun sur la question du Sahara. Chacun admet le principe de l'autodétermination sur la base de la résolution de l'Assemblée générale de l'O.N.U du 16 décembre 1965. Le Maroc semble donc abandonner ses prétentions, un accord avec l'Espagne lui ayant permis d'obtenir en 1969 l'enclave d'Ifni. En échange, l'Espagne maintient sa présence à Ceuta, Melilla et aux îles Jafarines
                    La question du Sahara, entre temps, est portée à l'attention des instances internationales, et notamment des Nations Unies. L'Espagne, elle, prépare l'exploitation des mines de phosphates de Bou Craa.
                    Le 16 octobre 1964 le comité de décolonisation de l'O.N.U. adopte une résolution demandant à l'Espagne d'appliquer pour Ifni et le Sahara Occidental, la résolution du 14 décembre 1960 sur l'octroi de l'indépendance aux pays sous domination coloniale. Mais aucune mention n'est faite des revendications du Maroc et de la Mauritanie, ce qui n'engage pas Madrid à traiter avec ces pays. L'année suivante, le 16 décembre, l'Assemblée Générale adopte une résolution qui demande à l'Espagne de prendre des mesures en vue de décoloniser les deux territoires.
                    Le 20 décembre 1966, l'Assemblée générale de l'O.N.U. approuve une nouvelle résolution invitant l'Espagne à organiser un référendum, sous le contrôle des Nations Unies, de manière à permettre à la population autochtone de s'exprimer librement, et de prévoir le retour des exilés.
                    Cette même année l'Algérie est appelée à discuter de la question devant le comité de décolonisation de l'O.N.U. en tant que partie intéressée. Elle souligne qu'elle n'a pas de revendications territoriales mais que seule la préoccupe la décolonisation d'un pays limitrophe qui fait l'objet, comme une partie de son territoire d'ailleurs, des convoitises d'un autre pays voisin.
                    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                    • #25
                      Bizzare dans ton 1er article tu as posé la source et maintenant tu ne met pas de source

                      le Maroc commence à réclamer officiellement les territoires sous occupation espagnole et française. Continuant le combat entrepris au sein de l'Armée de Libération Marocaine, les Sahraouis effectuent une série d'attaques jusqu'en Mauritanie. Cette continuation de la lutte armée pour libérer la région met en difficulté l'Espagne.
                      Sahraoui qui combatent dans l'arme de liberation MAROCAINE pour l'indépendance du Maroc !
                      Tu nous explique là que les sahraoui sont des marocains et se considerent comme tel a cet époque !

                      Ce qui me géne c'est que tout tes articles ne parlent pas des delegations recus par Hassan 2 venues de Bechar, Tindouf et de Mauritanie presenter leur allégeance au roi du Maroc.

                      Pourquoi ?

                      Il faut expliquer que les habitants de ces regions se consideraient comme marocains et qu'elles étaient marocaines avant la colonisation, d'où cet envie de les liberer et de les rendre marocaines.

                      Commentaire


                      • #26
                        "Ce qui me géne c'est que tout tes articles ne parlent pas des delegations recus par Hassan 2 venues de Bechar, Tindouf et de Mauritanie presenter leur allégeance au roi du Maroc."

                        pôvre de toi.

                        On parle operation ecouvillon , et toi tu sorts de soit-disantes delegations, qui n'existent que dans ta petite cervelle,pour detouner le sujet et faire du HS .

                        Je croyais discuter avec un homme sensé, mais je me rends compte que j'ai affaire à un gamin qui n'a rien dans le crâne.

                        Ici s'arrête notre discussion .


                        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

                        Commentaire


                        • #27
                          "Pourquoi ?

                          Il faut expliquer que les habitants de ces regions se consideraient comme marocains et qu'elles étaient marocaines avant la colonisation, d'où cet envie de les liberer et de les rendre marocaines." (Asaka)

                          Absolument. Seulement le projet de l'ALNL marocaine était de porter main forte aux résistants algériens et une fois cette affaire réglée, en découdre avec la monarchie marocaine.

                          D'où la raison que les FAR s'étaient ralliées à l'Espagne et la FRance lors de l'opération Ourafan-Ecouvillion sur ordre du prince qui deviendra Hassan II qui avait très vite flairé le danger. Et d'où d'ailleurs sa qualité de visionnaire unanimement reconnue.

                          Commentaire


                          • #28
                            pôvre de toi.

                            On parle operation ecouvillon , et toi tu sorts de soit-disantes delegations, qui n'existent que dans ta petite cervelle,pour detouner le sujet et faire du HS .

                            Je croyais discuter avec un homme sensé, mais je me rends compte que j'ai affaire à un gamin qui n'a rien dans le crâne.

                            Ici s'arrête notre discussion .

                            Ahahahahahahahahahahaha je savais bien que tu allais réagir comme sa

                            Aujourd'hui je peux le dire, vous avez une 3o9da vous n'assumez pas le passé.

                            Vous faites un GROS COMPLEXE sur votre passé.

                            "Ainsi a la suite d'un déplacement de membres de tribus de la region de Colomb-Bechar et de Tindouf avec a leur tete le caid Abdallah Ould Senhouri pour presenter leur actes d'allégeance au roi du Maroc, des forces marocaines de moghazni ont devoir réoccuper des postes marocains démilitarisés pendant la guerre pour ne gener ni l'ALN algerienne ni l'armée francaise."

                            http://books.google.fr/books?id=atQO...dallah&f=false
                            Guerres et paix au Maroc: reportages, 1950-1990 Par Attilio Gaudio
                            Page 121.


                            Pauvre (et non pôvre) de toi qui fait un complexe sur ton passé.

                            Commentaire


                            • #29
                              Absolument. Seulement le projet de l'ALNL marocaine était de porter main forte aux résistants algériens et une fois cette affaire réglée, en découdre avec la monarchie marocaine.

                              D'où la raison que les FAR s'étaient ralliées à l'Espagne et la FRance lors de l'opération Ourafan-Ecouvillion sur ordre du prince qui deviendra Hassan II qui avait très vite flairé le danger. Et d'où d'ailleurs sa qualité de visionnaire unanimement reconnue.
                              Si je suis ce que tu dis, on peut dire que c'est de bonne guerre, la monarchie se sentant menacée a tout fait pour supprimer son ennemi.
                              N'importe qui en aurait fait de meme

                              Maintenant, encore faut-il que ce soit vrai

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                              • #30
                                "Maintenant, encore faut-il que ce soit vrai" (Asaka).

                                La version que les FAR se seraient rangées du côté ispano-français est fortement vraisemblable.

                                Sinon comment expliquer que Tarfaya ait été rétrocédée au Maroc et non l'entité du Sahara Occidental, sinon qu'en guise de cadeau en remerciements pour l'apport des FAR consentit aux forces occupantes?

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