"Sa c'est ce que tu pense toi mais les francais ne plaisantaient pas, ils avaient vraiment l'intention de le faire, d'ailleurs ils avaient déja commencé a le faire au niveau de la region de Merzouga avaient rendu des terres." (Asaka).
La moindre des choses est de connaître l'histoire de mon pays n'est-ce pas?
Cela dit, il faut savoir que la proposition bidon d'une rectification des frontières avait été faite à MV.
Il n'empêche que l'on est en droit de se demander pourquoi ladite rectification ne s'était pas faite avant le règlement du problème algérien? Ce d'autant plus qu'il était quasiment certain que la France allait vivre un Diên Biên Phu bis en Algérie prouvé de suite au renvoi "à la maison" des envahisseurs du canal du Suez (France et Angleterre) par les deux grandes puissances.
Quant à de Gaulle, son désir était de faire de la zone sud-algérienne une région devant profiter à tous les pays limitrophes, ce qui privilégiait la France du contrôle, à long terme, cette zone de par le concours de ses sbires. Et, si le projet gaullien avait fonctionné, il est certain que les compagnies françaises d'hydrocarbures n'auraient été nationalisées, comme tel elles le furent par l'Algérie.
La moindre des choses est de connaître l'histoire de mon pays n'est-ce pas?
Cela dit, il faut savoir que la proposition bidon d'une rectification des frontières avait été faite à MV.
Il n'empêche que l'on est en droit de se demander pourquoi ladite rectification ne s'était pas faite avant le règlement du problème algérien? Ce d'autant plus qu'il était quasiment certain que la France allait vivre un Diên Biên Phu bis en Algérie prouvé de suite au renvoi "à la maison" des envahisseurs du canal du Suez (France et Angleterre) par les deux grandes puissances.
Quant à de Gaulle, son désir était de faire de la zone sud-algérienne une région devant profiter à tous les pays limitrophes, ce qui privilégiait la France du contrôle, à long terme, cette zone de par le concours de ses sbires. Et, si le projet gaullien avait fonctionné, il est certain que les compagnies françaises d'hydrocarbures n'auraient été nationalisées, comme tel elles le furent par l'Algérie.
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