Faut s'intéresser à la psychologie de masse.
Imaginons une fille qui se fait violer. Les premiers instants sont très violents pour que le violeur ait une totale emprise. Au bout d'un moment, la jeune fille choquée, à bout de force va moins se débattre et le violeur pour l'amadouer va même se mettre à faire des câlins plus doux. Mais un viol reste un viol.
Imaginons une fille qui se fait violer. Les premiers instants sont très violents pour que le violeur ait une totale emprise. Au bout d'un moment, la jeune fille choquée, à bout de force va moins se débattre et le violeur pour l'amadouer va même se mettre à faire des câlins plus doux. Mais un viol reste un viol.
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