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Le roi du Maroc et le judaisme

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  • #31
    Car, ensemble, ils sèmeront la corruption et vont être puni comme la première fois.
    Et les arabes, qu'ont-ils apportés a l'humanité ces cinquante dernieres années?
    Ta religion te dit que les juifs sèment la corruption sur terre, mais ce sont les musulmans et non les juifs qui sont majoritaires dans les prisons françaises.
    Israel a plus de prix Nobels et de brevets scientifiques et techniques que tout les pays arabes réunis. C'est ce que vous appelez: "semer la corruption sur terre"?

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    • #32
      (suite) Le roi du Maroc et le judaisme

      Abdel Latif Laabi
      Né en 1942 à Fès, la capital spirituelle et culturelle du Maroc, Abdelatif Laabi, prix Goncourt de la Poésie 2009, compagnon de détention de Abraham Sarfaty, est un des cou fondateurs de la Revue Souffles.
      Après des études à l’université, à Rabat, à la section des lettres françaises, il participe en 1963, à la création du Théâtre universitaire marocain et enseigne alors le français dans un lycée de Rabat.
      En 1966, débute la revue Souffles où collaborent plusieurs intellectuels marocains de gauche et notamment Tahar Ben Jelloun, Mohammed Khaïr-Eddine et Moustafa Nissaboury.
      Cette revue, qui comptera vingt-deux numéros en français et huit en arabe sous le nom d’Anfas, a eu une grande influence sur la formation de l’intelligentsia marocaine de gauche.
      Abdel Latif Laabi est titulaire des insignes de Docteur honoris causa de l’Université Rennes 2 Haute Bretagne.(30 novembre 2007)
      Abraham Sarfaty, la problématique du judaïsme marocain et le sionisme
      Né à Casablanca (Maroc), en1926, Abraham Sarfaty, issu d’une famille juive de Tanger, est un indépendantiste marocain qui s’illustra par son double emprisonnement tant sous le protectorat français que sous le règne du roi Hassan II et son témoignage sur ce qu’il y a vécu.
      Militant communiste marocain dès 1944, il s’engage ardemment pour l’indépendance de son pays, ce qui lui vaut d’être emprisonné en 1950, et placé en résidence surveillée en 1956. Ingénieur des mines de formation, il participe ensuite à la mise en place des institutions de l’État marocain, à des postes plus techniques que politiques, dont celle de l’enseignement à l’École Mohammadia d’Ingénieurs. En 1970, il rompt avec un parti communiste marocain qu’il juge sclérosé et fonde l’organisation d’extrême gauche Ila A Amame (en avant) (actuelle La Voie démocratique, An-nahj Ad-dimoukrati).
      Arrêté et torturé par le régime de Hassan II en 1972, il entre ensuite dans la clandestinité. Sa nouvelle arrestation en 1974, durera jusqu’en septembre 1991, date à laquelle Sarfaty est privé de sa nationalité marocaine en raison de sa position à l’égard de la « marocanité » du Sahara. En soutenant l’autodétermination du peuple sahraoui, il a été expulsé du territoire marocain après avoir purgé dix-sept ans de prison ferme. En septembre 1999, il est autorisé par le nouveau roi Mohamad VI à rentrer au Maroc et sa nationalité marocaine reconnue officiellement.
      Abraham Sarfaty tout comme le mathématicien Sion Assidon ou Ilan Halévy, représentant de l’OLP auprès de l’Internationale socialiste, sont des Juifs séfarades qui ne se reconnaissent pas dans le sionisme, comme par le passé le communiste égyptien Henri Curien, ou plus récemment comme les membres de l’Union Juive française pour la paix.
      Pages: 24-37
      On me dira, on m’a dit, pourquoi, aujourd’hui, se préoccuper encore du judaïsme marocain? Laissons se réduire à sa plus simple expression, par les départs, cette communauté, les quelques irréductibles (a) ne poseront alors plus de problème.
      En fait, cette étude vise le judaïsme marocain dans son entier, celui qui subsiste ici, celui qui, est dispersé et déraciné en Occident, celui qui s’est trouvé transplanté dans un Etat dont le nom était si chargé de symbole pour tout juif et qui y découvre, actuellement, que sous ce nom se cache une entreprise de prolétarisation, d’anéantissement culturel et une aventure militariste et raciste
      Cette entreprise qui a ainsi mystifié le judaïsme marocain, dans le cadre d’une mystification générale du judaïsme, a couronné l’oeuvre coloniale de déracinement commencée il y a un siècle.
      A travers la synthèse de ce processus, nous voulons faire partager notre conviction, qui n’a été que renforcée par l’étude des documents tant du passé que du présent, que la prise de conscience de cette mystification est inéluctable, que le judaïsme dans le monde arabe, prisonnier du sionisme, prendra conscience de sa solidarité profonde avec la révolution arabe et contribuera ainsi à faire éclater la dernière entreprise historique du capitalisme à enfermer les juifs dans un ghetto, et quel ghetto… à l’échelle mondiale
      Pour contribuer à cette prise de conscience, la recherche rigoureuse de la vérité est indispensable. L’auteur de ces lignes ne prétend pas y être plus apte que d’autres. Mais l’appui sur les critères et les principes du socialisme scientifique peut permettre d’échapper, autant que faire se peut, au subjectivisme. Ce qui ne veut pas dire que cette démarche ne doive pas tenir compte, au contraire, des facteurs super structurels, de culture, d’idéologie, de religion. Mais l’histoire même du sionisme montre, par ses impasses qui se dessinent et se développent, que l’on ne peut isoler et déformer indéfiniment ces facteurs
      Par ailleurs, nous nous efforcerons, dans cette étude, de citer le moins de noms possible. Non que l’Histoire n’ait un jour à régler ses comptes avec certains. L’heure en sonnera lorsque les chemins d’une nouvelle symbiose judéo arabe seront retrouvés. Mais nous n’hésiterons pas à fustiger ceux qui continuent aujourd’hui, y compris au sein de l’Etat sioniste, leur travail de mensonge.
      Pour accélérer cette prise de conscience, le mouvement national doit, en ce qui le concerne, critiquer ses propres démarches de nationalisme bourgeois plus ou moins tenté d’interpréter le sionisme comme un phénomène isolé et lié aux seuls facteurs religieux. Dans le monde arabe, El Fath a montré la voie, et dès avant juin 1967.
      Saluons le fait, lourd de conséquences pour l’avenir, que les hommes politiques qui furent longtemps seuls, ici, à se placer sur ce terrain soient maintenant rejoints par l’ensemble des organisations nationales. Il reste à en faire une réalité dans la vie quotidienne, à retrouver ainsi et à reconstruire la réalité nationale.
      I – LE JUDAISME MAROCAIN AVANT SON DERACINEMENT
      Précisons. Le déracinement n’est pas daté. C’est un processus. Aujourd’hui, ce qui subsiste du judaïsme marocain, ici, vit replié sur lui-même, de plus en plus concentré sur Casablanca, ville typique du déracinement. Mais l’époque de communautés florissantes et vivantes est encore toute récente.
      Les fêtes des mellahs de Fès, de Sefrou, de Salé, et bien d’autres, la symbiose des communautés de l’Atlas et du Sud, éclataient encore il y a dix ans. Malgré un siècle d’effort colonial relayé et développé par le sionisme!

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      • #33
        va expliqué ta these aux derniers massacres en palestine ou 1900 civils on eté executés beaucoup dans le dos , quand au prix nobel acheté et offert par les grandes instances

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        • #34
          @AAnis

          Et les arabes, qu'ont-ils apportés a l'humanité ces cinquante dernieres années?
          Ta religion te dit que les juifs sèment la corruption sur terre, mais ce sont les musulmans et non les juifs qui sont majoritaires dans les prisons françaises.
          Israel a plus de prix Nobels et de brevets scientifiques et techniques que tout les pays arabes réunis. C'est ce que vous appelez: "semer la corruption sur terre"?
          Si ce n'est pas a cause des petroles bons marches, tu feras des voyages Israel-France-Algerie en 6 mois.


          Mais bon, les amerindiens d'amerique ont une creature diabolique qui s'appelle le weedego qui ne serait jamais satisfaite de ses crimes.
          A toi de mediter.

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          • #35
            AAnis

            Pourquoi n'avoues-tu pas que tu travail pour la cause juive tout simplement? Je viens de relire tout tes posts,et tous vont dans le meme sens ;Israel.Mais tu n'est pas le(la) seul,il y en d'autres,comme celui qui dit que le roi(dealer VI)a le droit de recevoir qui il veut.On ne reçoit pas quelqu'un qui a déclenché un massacre(Tzipi Livni)a l'encontre de civils 1400 morts .Cette fasciste en jupons que meme la justice britannique ,et la moitie de la justice européenne ,a l'ordre de jeter en prison.la justice marocaine serait-elle au dessus de celle de pays netements plus évolués? <<Israël vit une situation schizothymique: Un état de Droit, certes, mais exclusivement à l’égard de ses citoyens de confession juive, un état d’apartheid à l’égard de la composante palestinienne de sa population, une zone de non droit et de passe droit dans ses colonies et sur la scène régionale, au point que bon nombre d’observateurs, pas uniquement arabes, pas uniquement musulmans, tendent à le considérer comme l’état voyou N°1 sur la scène internationale.>> Ce n'est pas de moi,mais c'est beaucoup mieux exprime.

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            • #36
              Pourquoi n'avoues-tu pas que tu travail pour la cause juive tout simplement? Je viens de relire tout tes posts,et tous vont dans le meme sens ;Israel.Mais tu n'est pas le(la) seul,il y en d'autres,comme celui qui dit que le roi(dealer VI)a le droit de recevoir qui il veut.On ne reçoit pas quelqu'un qui a déclenché un massacre(Tzipi Livni)a l'encontre de civils 1400 morts
              Blablabla.
              On ne doit avoir une éthique que vis a vis des sionistes? Les Russes, Chinois, Américains et autres tyrans de la planète qui ont plus que 1400 morts musulmans dans leur compteur on peut leur dérouler le tapis rouge sans problème?

              Les sionistes ont incontestablement la palme mondiale de la perfidie mais désolé ils ne sont pas les seuls et je supporte pas cette focalisation arabo-arabe sur les uniques sionistes alors que la planète entière regorge d'ennemis des musulmans.
              Dernière modification par Badis, 13 février 2010, 12h34.

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              • #37
                Sinon Aaanis, la réussite juive peut être attrayante effectivement, et combinée à une arabophobie parfois justifiée (oui, oui j'assume) ça fait beaucoup de Maghrébins qui semblent fascinés par Israël, j'en ai rencontré plusieurs. Mais crois-moi tu restes qu'un goy, un sous-homme, et les moyens utilisés par les sionistes ne peuvent pas être justifiés si on a un minimum de principes et de valeurs

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                • #38
                  L'arabe est ma langue maternelle, par conséquent, je suis arabe.

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                  • #39
                    Et en tant qu'arabe que va t'apporter Israël?
                    Tu défends cet Etat pour quelle raison?
                    Dernière modification par Badis, 13 février 2010, 13h12.

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                    • #40
                      Et en tant qu'arabe que va t'apporter Israël?
                      Rien, pas plus que la Palestine.
                      Tu défens cet Etat pour quelle raison?
                      C'est un pays que j'aime pour x raisons.

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                      • #41
                        Rien, pas plus que la Palestine.
                        Tu te considères arabe, ça ne te fait rien alors de voir tes "frères" chassés de leurs terres et parqués dans des camps comme des animaux ?

                        C'est un pays que j'aime pour x raisons.
                        Tu aimes ce pays soit, mais est-ce que ce pays t'aime toi l'Arabe dont la région entière est soumise à sa politique expansionniste et belliqueuse?

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                        • #42
                          Je me considere d'abord comme algérien, et Israël n'a rien fait a l'Algérie, c'est plutot l'Algerie qui a envoyé ses armées au Moyen-Orient combattre Israël.

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                          • #43
                            AAnis

                            Je ne vous aime pas,parce que vous nous aimez pas. Je ne vous aime pas parce que vous vous conduisez comme les même nazis qui vous ont persécuté. Je ne vous aime pas parce que vous êtes des spoliateurs Je ne vous aime pas parce que je n'ai de cesse d'entre le cris du peuple palestinen que vous avez dépossédé de leur terre Je ne vous aime pas.....mais ce serait trop long a expliquer

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                            • #44
                              Akhenaton44,vous avrez deja pri la place !!!

                              Le cas du Maroc: Ben Barka enlevé avec l’aide du Mossad
                              Le journal Libre Belgique a fait paraître en date du 25 janvier 2008 une recension d’un livre d’un journaliste israélien dans lequel l’écrivain détaille les liens très étroits entre Israël et le Maroc, notamment la collaboration entre le Maroc et le Mossad, le service israélien des renseignements, dans l’enlèvement et la disparition de l’opposant marocain Mehdi Ben Barka.
                              Le journaliste Shmouel Seguev, ancien capitaine des renseignements militaires, puis correspondant à Paris du quotidien Maariv, assure que le Mossad a indirectement permis aux services secrets marocains de repérer l’opposant socialiste, puis de le piéger: «Ben Barka, qui voyageait beaucoup à travers le monde, se servait d’un kiosque à journaux à Genève comme d’une boîte postale où il venait récupérer son courrier, et le Mossad a donné cette information à Dlimi», écrit-il.
                              « Le 29 octobre 1965, Ben Barka est arrivé à Paris en provenance de Genève, avec un passeport diplomatique algérien. Il a déposé ses valises chez son ami Jo Ohanna, un juif marocain, et s’est rendu à pied à la brasserie Lipp pour y rencontrer un journaliste français, quand deux policiers français en civil l’ont interpellé et conduit dans une voiture de location jusqu’à une villa au sud de Paris. Nous savons avec certitude que Ben Barka était encore en vie le 1er novembre (…) Dlimi ne voulait pas le tuer, mais lui faire avouer son intention de renverser le roi Hassan II, a-t-il ajouté. Ben Barka avait les chevilles entravées et les mains nouées dans le dos, et Dlimi lui a plongé la tête dans un bac rempli d’eau. A un moment donné, il a pressé trop fort sur ses jugulaires, l’étranglant ainsi à mort « , a-t-il poursuivi. « Le ministre marocain de l’Intérieur, le général Mohammed Oufkir, chef de la police secrète, est ensuite arrivé à Paris pour organiser l’enterrement, qui s’est déroulé à Paris, quelques jours après le décès, sur une aire en construction, où il y avait du béton et du ciment, aux abords de l’autoroute du Sud », a-t-il précisé.
                              Le colonel Ahmad Dlimi était à l’époque l’assistant du général Mohamad Oufkir, ministre de l’intérieur. Patron de la Sûreté, présent au tribunal, il sera acquitté. Le général Oufkir est condamné, lui, par contumace à la réclusion criminelle à perpétuité. Pourtant, les mêmes charges avaient été retenues contre les deux responsables marocains. Mais l’arrêt de la cour d’assises de la Seine jugeant l’Affaire Ben Barka, tombe le 5 juin 1967, jour du déclenchement la 3me guerre israélo-arabe de juin 1967. Du coup, ce qu’il y avait d’incohérent, voire de choquant dans cette disparité de jugement, passera alors pratiquement inaperçu.
                              Mais tout autre aura été l’épilogue de cette ténébreuse affaire. Comparable par son raffinement sadique aux moeurs des cours florentines, il fera date dans les annales du royaume chérifien pour son machiavélisme achevé, illustration symptomatique du comportement d’un royaume pourtant coutumier de telles pratiques, rarement égalées dans les pays arabes.
                              Leur forfait accompli, les deux tortionnaires seront expédiés ad patres, manu militari, à onze ans d’intervalles, instrumentalisés l’un contre l’autre dans une opération d’autodestruction mutuelle, dans un rejet généralisé de l’opinion marocaine, soulagée par l’élimination de ces deux funestes personnages de sinistre mémoire.
                              Fidèle à Hassan lors des deux tentatives de coups d’état de 1971 et 1972, Ahmad Dlimi passe pour avoir personnellement exécuté son supérieur, sur les ordres du roi, suspectant le général Oufkir dans la mise en œuvre du coup d’État de 1972.
                              Son parricide assumé, le général Dlimi sera promu commandant en chef de la zone Sud (Sahara) et patron de tous les services secrets marocains, avant de connaître un sort identique à celui de son mentor. Il décédera de mort violente, onze ans plus tard, écrasé le 25 janvier 1983, par un camion fou à Marrakech, selon la version officielle, à la veille de la visite officielle du président français François Mitterrand au Maroc.
                              Selon une version ayant eu cours à l’époque, jamais confirmée ni démentie, le général Dlimi aurait été sacrifié sur l’autel de la raison d’état, victime de la rivalité entre la France et les Etats Unis et de la volonté de l’officier marocain de s’ouvrir sur l’Algérie et la Libye pour mettre un terme à la guerre du Sahara occidental, alibi du régime, pointé du doigt par l’administration conservatrice de Ronald Reagan peu désireuse de lâcher du lest devant le camp soviétique et ses alliés arabes.
                              Quoiqu’il en soit, l’élimination brutale d’un des principaux protagonistes de l’affaire Ben Barka a entraîné du même coup l’élimination du principal exécutant des basses œuvres royales, en même temps qu’elle prémunissait le trône de tout éventuel chantage de ce témoin de premier plan désormais encombrant, assurant à la dynastie chérifienne un silence éternel sur l’un des méfaits les plus sinistres de son histoire pourtant riche en ce domaine.
                              Le livre de Seguev, préfacé par un ancien chef du Mossad, le service d’espionnage israélien, Ephraïm Halévy, a été publié en hébreu par les éditions « Matar » sous le titre « Le lien marocain ». Il fourmille de détails sur les relations secrètes entre Israël et le Maroc.
                              Ainsi, écrit-il, lors déclenchement en 1963 de la guerre entre le Maroc et l’Algérie, le chef du Mossad, Meir Amit, doté d’un faux passeport, a rencontré à Marrakech le roi Hassan II pour lui déclarer: «Nous pouvons, et nous voulons vous aider». Les instructeurs d’Israël ont ensuite entraîné des officiers marocains, formé des aviateurs au pilotage de Migs-17 soviétiques, organisé ses services secrets, surveillé la construction de la barrière entre le Maroc et l’Algérie, vendu des armes, y compris des chars AMX-13 français via Téhéran, et équipé des embarcations de pêche avec des radars pour les transformer en gardes côtes.
                              De même en 1965, Israël a pu suivre le sommet arabe de Casablanca et a ainsi découvert l’impréparation des armées arabes bien avant la guerre de juin 1967, a-t-il poursuivi. Seguev consacre aussi dans son livre une place importante aux pourparlers du Mossad avec le roi Hassan II, qui ont préludé à la rencontre secrète au Maroc du ministre israélien des Affaires étrangères Moshé Dayan avec le vice-Premier ministre égyptien Hassan al Touhami, puis au voyage historique du président égyptien Anouar Sadate à Jérusalem en 1977.
                              Le Maroc constituait, il est vrai, une pièce maîtresse du dispositif occidental contre le bloc communiste. Paris avait aménagé à l’époque de la guerre froide soviéto-américaine (1945-1990) une importante ambassade à Rabat de mille personnes, la plus importante après celle de Washington, en vue de servir de base de repli au haut commandement politique et militaire français en cas d’invasion de Paris par les troupes communistes dans le cadre de la stratégie du «Stand Behind». Le Royaume abritait par ailleurs la plateforme opérationnelle du Strategic Air Command américain de l’aéroport Mohammed V de Casablanca (Maroc), relié par un câble coaxial directement à Bizerte (Tunisie), la base navale qui faisait office du temps du protectorat français de centre d’écoute radar pour le compte de l’Otan. Commandant le canal de Sicile sur la route reliant Gibraltar à Suez, Bizerte, au même titre que Brest, Toulon, et Mers el Kébir (Algérie), représentait un maillon de la chaîne des bases nécessaires à la défense française et à son dispositif atomique, et, au delà, à l’OTAN.
                              Et ceci pouvait expliquer cela…..Que le Roi Hassan II inflige un camouflet au prestigieux président français de l’époque, le Général Charles De Gaulle, en bafouant la souveraineté française, -l’enlèvement d’un opposant marocain en plein Paris avec la complicité d’agents français– en toute impunité, sans craindre des représailles.u

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                              • #45
                                y a peut etre une difference entre juif et israelite....le maroc donne l'impression d'etre sous le courant judéo-chretien....vous n'avez pas remarqué que MEDI1 appelle et nomme le marocain dans les publicité Toyota du matin paysan '' aaaa el 3arbi'' en judeo-chretien ''' ehhhh toi l'arabe'''
                                mais l'algerie est plus proche du courant isarelien qui sot proche du courant de la gauche europeenes c'etait dans l'histoire nos amis qui nous on soutenues contre les colons français et turque a revoir l'histoir peut etre je me trompe ou je divague

                                Commentaire

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