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Le rapport intitulé "le fils fait également son ascension : le conflit autour de la succession en Egypte pointe à l’horizon", a souligné que les Etats-Unis et la communauté internationale espèrent que la succession au pouvoir en Egypte ne contreviendra pas à l’idée de la légitimité au pouvoir et ne créera pas une dynamique de déstabilisation".
Il a poursuivi que les Etats-Unis et la communauté internationale opterait plutôt pour la neutralité dans cette affaire.
Ce rapport de 50 pages dont l’agence de presse "Amarica in Arabic" a obtenu une copie, a indiqué que "les Etats-Unis et d’autres ont une occasion en vue d’influencer cette transition sensible préélectorale, qui va décider du successeur de Hosni Moubarak".
Le rapport a exhorté l’administration américaine de Barack Obama "d’axer ses déclarations publiques sur le besoin pour des élections transparentes, toute en fixant des limites aux mandats présidentiels".
Le rapport a indiqué, dans son édition de l’automne 2009, que "la fixation de telles limites est de nature à garantir un minimum de stabilité en créant un climat de stabilité pour les membres, désabusés, de l’opposition et pour la société égyptienne en général".
Cette démarche est susceptible, a-t-il encore mentionné, "d’apaiser les craintes que Jamal Moubarak ne devienne Président à vie. Ce qui constitue un facteur de désappointement en ce sens que le fils de Hosni Moubarak n’a que 43 ans".
La fixation de limites représente un premier pas, a-t-il relevé, en vue de la création d’un cadre plus fort favorisant l’action politique, et à même de rétablir la confiance dans les institutions politiques du pays et le processus électoral.
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