Bonsoir, tout cela commence à devenir intéressant, la super puissance qui s'en est pris à un pays désarmé et anémié par 10 ans d'embargo, oseront-ils s'en prendre à un pays en bonne santé ?
La Syrie vient de signer un accord l'engageant à stocker les armes nucléaires et les missiles iraniens.
Jane's Defence Weekly, l'hebdomadaire d'informations stratégiques et militaires londonien, rapporte que l'Iran et la Syrie ont signé un accord stratégique [d'assitance mutuelle] dont l'objectif et de protéger les deux pays contre les pressions internationales concernant leurs programmes d'armement. Le magazine, citant des sources diplomatiques, affirme que la Syrie a accepté de stocker du matériel iranien et des armes si Téhéran tombait sous le coup de sanctions des Nations Unies.
L'Iran s'est aussi engagé à garantir l'asile aux officiers des renseignements syriens qui seraient inculpés par les Nations Unies ou le Liban. Cinq officiers syriens ont été interrogés par la commission d'enquête des Nations Unies concernant l'assassinat de Rafic Hariri, rapporte Middle East Newsline.
"Le chapitre stratégique de l'accord comprend l'engagement de la Syrie à autoriser l'Iran à mettre à l'abri des armes, du matériel hautement sensible ou même du matériel nocif sur le sol syrien si l'Iran se voyait dans la nécessité d'avoir recours à une telle aide en temps de crise," affirme l'hebdomadaire londonnien.
L'accord oblige aussi la Syrie à poursuivre ses fournitures en armes, munitions et moyens de communication au Hezbollah, mouvement paraînné par l'Iran. Ce dernier, principal fournisseur d'armes du Hezbollah, a mis à sa disposition environ 15.000 missiles et roquettes le long de la frontière israélo-Libanaise. L'accord, dont la négociations à commencé en 2004, a été signé le 14 novembre 2005 et vise à préparer les deux pays aux sanctions économiques qui pourraient s'abattre sur chacun d'eux. Selon les termes de cet accord, affirme l'hebdomadaire londonnien, l'Iran transférerait une aide financière à la Syrie dans le but d'adoucir les sanctions occidentales prises dans le sillage de l'établissement par l'ONU de la responsabilité de Damas dans l'assassinat de l'ancien premier ministre Libanais Rafic Hariri.
La suite...
La Syrie vient de signer un accord l'engageant à stocker les armes nucléaires et les missiles iraniens.
Jane's Defence Weekly, l'hebdomadaire d'informations stratégiques et militaires londonien, rapporte que l'Iran et la Syrie ont signé un accord stratégique [d'assitance mutuelle] dont l'objectif et de protéger les deux pays contre les pressions internationales concernant leurs programmes d'armement. Le magazine, citant des sources diplomatiques, affirme que la Syrie a accepté de stocker du matériel iranien et des armes si Téhéran tombait sous le coup de sanctions des Nations Unies.
L'Iran s'est aussi engagé à garantir l'asile aux officiers des renseignements syriens qui seraient inculpés par les Nations Unies ou le Liban. Cinq officiers syriens ont été interrogés par la commission d'enquête des Nations Unies concernant l'assassinat de Rafic Hariri, rapporte Middle East Newsline.
"Le chapitre stratégique de l'accord comprend l'engagement de la Syrie à autoriser l'Iran à mettre à l'abri des armes, du matériel hautement sensible ou même du matériel nocif sur le sol syrien si l'Iran se voyait dans la nécessité d'avoir recours à une telle aide en temps de crise," affirme l'hebdomadaire londonnien.
L'accord oblige aussi la Syrie à poursuivre ses fournitures en armes, munitions et moyens de communication au Hezbollah, mouvement paraînné par l'Iran. Ce dernier, principal fournisseur d'armes du Hezbollah, a mis à sa disposition environ 15.000 missiles et roquettes le long de la frontière israélo-Libanaise. L'accord, dont la négociations à commencé en 2004, a été signé le 14 novembre 2005 et vise à préparer les deux pays aux sanctions économiques qui pourraient s'abattre sur chacun d'eux. Selon les termes de cet accord, affirme l'hebdomadaire londonnien, l'Iran transférerait une aide financière à la Syrie dans le but d'adoucir les sanctions occidentales prises dans le sillage de l'établissement par l'ONU de la responsabilité de Damas dans l'assassinat de l'ancien premier ministre Libanais Rafic Hariri.
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