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Kadhafi va demander devant l'ONU le démantèlement de la Suisse

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  • #31
    avouez quand même que personne n'as eu le courage de le faire ...même les suisses

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    • #32
      prodz

      avouez quand même que personne n'as eu le courage de le faire ...même les suisses
      Quand je pense que se mec comme tout les dirigeants arabe sans exeption est rentrer en coup d'etat avec des tueries...

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      • #33
        hihi si khadafi veut demanteler la suisse, qu'il n'aille pas brayer comme un enfant à la tribune de l'ONU, qu'il vienne en personne le dire, face à face



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        • #34
          hihi si khadafi veut demanteler la suisse, qu'il n'aille pas brayer comme un enfant à la tribune de l'ONU, qu'il vienne en personne le dire, face à face

          Tolkien


          Tu lui fais trop d'honneur ; le petit pays voisin le Tchad lui a fait mordre la poussière en 1987 malgré ses pétrodollars


          http://www.**********/Tchad-Un-ancie...sept_a774.html
          Dernière modification par chicha51, 04 septembre 2009, 14h30.

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          • #35
            Tchad: Un ancien prisonnier de guerre libyen s'explique (Cinquième partie) 01 sept

            (Par Dabio) Traduction Ahmat M. Yacoub Dabio pour le compte de "Liberté Sans Frontières"

            J'étais dans une sorte de Tour de contrôle, une petite pièce bourrés de matériels sophistiqués de communication et de transmission. Avec un collègue dont j'ignore s'il est encore vivant, on s'occupait de ce Tour de contrôle. Nous étions en état d'alerte maximum à cause de la situation dans la zone. Chacun de nous a droit à un repos toutes les quatre heures.

            Le 1er janvier 1987, j'étais en pose (en plein sommeil) quand subitement je suis réveillé par un bruit étrange. J'ai compris que quelque chose se passait. J'ai posé la question à mon collègue qui me remplaçait, le lieutenant Ahmed Algalib. "Il semble que l'ennemi a attaqué nos positions", m'a t-il répondu. Au départ, j'étais envahi par la peur mais peu de temps après, je me suis remis à Dieu et au destin réservé. J'ai repris mes activités. Pendant que mon collègue communiquait avec les différentes bases avancées d'opérations, je suis entré en contact avec les bases arrières et les pilotes. J'ai demandé à nos pilotes de décoller pour déterminer la position exacte de l'ennemi. Mais les informations qui nous parviennent sont totalement erronées. Nos pilotes ont fait le tour pour ne s'en prendre qu'à quelques gros porteurs des commerçants. Pour eux la mission c'était une mission réussie. Ils sont retournés à leurs bases alors que l'ennemi se dirigeait vers le Sud non loin de la position 17 après avoir détruit toutes nos positions avancées.

            A la demande du commandant Fatahallah, j'ai demandé le décollage des avions des nos bases à Sara et Kouffra. Mais à chaque fois que je relance la demande, on me promet qu'ils vont décoller après une heure sans jamais arriver pendant que l'ennemi avançait en détruisant nos positions l'une après l'autre. Nous sommes restés dans ces conditions de 5 heures jusqu'à midi. Puis la base de Sara demande au commandant Fatahallah de donner la position exacte de l'ennemi. Malheureusement, le commandant l'ignorait puisque le service de renseignement fournissait des fausses informations sur le déroulement des affrontements. On nous disait que l'ennemi est défait et poursuivi alors que c'était le contraire.

            L'ennemi se rapprochait de la plus grande base militaire de Wadi Doum et nos forces étaient en débandade. C'est en ce moment que le commandant Fatahallah a décidé de venir en personne au poste 17 pour constater la situation. Après un quart d'heure, nous avons tenté de rentrer en vain en contact avec le commandant Fatahallah qui est allé constater la situation au poste 17. Après mult tentatives pour joindre notre commandant, quelqu'un nous a répondu en ces termes " tais toi fils de ****". Là, nous avons compris qu'il s'est passé quelque chose pour notre commandant. Il est soit capturé soit tué. J'ai tenté de rappeler pour faire écouter la réponse de l'ennemi à nos bases arrières afin de découvrir la réalité de la situation sur le terrain. C'est en ce moment qu'un avion Antonov est arrivé de Koufra pour nous fournir des vivres. A bord de l'avion se trouvait le colonel Aldi-eki qui est venu inspecter les bases aériennes. Mais quand il a su « la disparition » de notre commandant Fatahallah, il a décidé de rester avec nous pour nous soutenir.

            L'ennemi se rapprochait et j'ai demandé au pilote de l'Antonov de décoller. Le pilote a réussi à décoller sous une pluie d'obus provenant de l'ennemi. Nous avons eu l'ordre de faire décoller les petits avions pour les mettre à l'abri mais il était déjà trop tard. Nos pilotes ont pris la poudre d'escampette. J'ai demandé à mon collègue de transmission de quitter les lieux mais il a refusé. j'ai décidé de quitter pour se refugier sous la pièce d'opération où j'ai été surpris de trouver les militaires libyens chargés de la défense aérienne se cacher.

            Deuxième partie
            Quand j'ai constaté qu'une colonne ennemi se rapprochait de nous, j'ai couru à la recherche d'une cachette sous "une dune" . Quelle n'était ma surprise de découvrir l'ennemi juste en face. J'ai tenté d'utiliser mon fusil mais il n'a pas fonctionné puisqu'il était plein de sable. Finalement, je me suis rendu à l'ennemi. A qui appartient ce sable ? me demandait un soldat ennemi. « Ce sable appartient bien au Tchad », ai-je répondu. Ligoté et « jeté » dans un de véhicules ennemis avant de prendre une destination inconnue pour moi. Me voilà prisonnier du Tchad.

            Brusquement nous tombons sur une colonne de chars libyens. Tous les combattants ennemis ont sauté des véhicules pour prendre position et dénicher les chars. Je me rappelle encore de cet instant dont j'étais témoin oculaire. Les soldats tchadiens ont détruit tous les chars qui ont pris feu avec à bord des soldats libyens qui étaient pourtant vivant !! Au départ, je croyais qu'un des chars libyens va détruire le véhicule dans lequel je m'y trouvait ligoté. Je pensais vraiment que je vais périr sur place mais mon véhicule n'a pas été touché. Après avoir détruit la colonne des chars, nous avons poursuivi par rouler jusqu'au commandement général des opérations militaires. Là, j'ai rencontré le chef d'état major de l'armée tchadienne le colonel Hassan Djamouss accompagné du capitaine Dagache qui m'a tout de suite reconnu. Avant de me serrer la main,,Daguache s'est entretenue en dialecte avec le colonel Djamouss. Puis il m'a rassuré que je n'ai rien à craindre. Le capitaine Dagache dirigeait les forces amis de Acyl Ahmat Akhbach avant de rallier au gouvernement tchadien. Il nous fréquentait à l'aéroport et connaît tous ceux qui s'y trouvaient .


            Brusquement nous tombons sur une colonne de chars libyens. Tous les combattants ennemis ont sauté des véhicules pour prendre position et dénicher les chars. Je me rappelle encore de cet instant dont j'étais témoin oculaire. Les soldats tchadiens ont détruit tous les chars qui ont pris feu avec à bord des soldats libyens qui étaient pourtant vivant !! Au départ, je croyais qu'un des chars libyens va détruire le véhicule dans lequel je m'y trouvait ligoté. Je pensais vraiment que je vais périr sur place mais mon véhicule n'a pas été touché. Après avoir détruit la colonne des chars, nous avons poursuivi par rouler jusqu'au commandement général des opérations militaires. Là, j'ai rencontré le chef d'état major de l'armée tchadienne le colonel Hassan Djamouss accompagné du capitaine Dagache qui m'a tout de suite reconnu. Avant de me serrer la main,,Daguache s'est entretenue en dialecte avec le colonel Djamouss. Puis il m'a rassuré que je n'ai rien à craindre. Le capitaine Dagache dirigeait les forces amis de Acyl Ahmat Akhbach avant de rallier au gouvernement tchadien. Il nous fréquentait à l'aéroport et connaît tous ceux qui s'y trouvaient .

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            • #36
              Troisième partie
              On se connaissait avec le capitaine Dagache. Avant de nous quitter pour rejoindre l'ennemi, il nous rendait visite à l'aéroport de Fada où on passait notre temps à jouer aux cartes. Dagache connaissait tout le monde. Bref, il m'a rassuré.

              Le lendemain, nous avons été embarqués à Oumchaloba d'où un avion militaire nous attendait. Pour être embarqués dans l'avion, un gaillard nous ligotait. C'était sans pitié. Une fois dans l'avion, nous avons été détachés par un officier qui n'a pas apprécié ce traitement inhumain. Arrivés à l'aéroport de N'djamena, nous avons été accueillis par des cadres tchadiens très gentils. Ils nous ont rassuré. Un des cadres nous a demandé de ne pas paniquer car les deux peuples sont des frères et nous n'avons rien à craindre. En détention, les choses ont changé. C'était un lieu exigüe (...) Au début, les interrogatoires étaient musclés à tel point qu'un de mes collègues a été sévèrement giflé par l'inspecteur qui semble être libanais ou irakien. A la surprise, il a été rappelé à l'ordre par un officier tchadien qui suivait l'interrogatoire. " Ton rôle est d'interroger et non de torturer", lui a t-il dit. L'inspecteur a été remplacé le lendemain et je crois bien que c'était pour cette raison.

              La déclaration du colonel libyen nous a étonné. Il refuse de reconnaître la présence des soldats libyens sur le sol tchadien. Pour lui, nous sommes des mercenaires. Les soldats tchadiens nous font écouter par la fenêtre la déclaration de Kadhafi. Lorsqu'il a dit que les prisonniers n'étaient pas des libyens mais peut être des mercenaires, nous avons eu de vertige et tout notre espoir d'être défendus voire libérés - grâce à notre pays- était dissipé. Pour prouver que nous sommes bien des soldats libyens, le gouvernement tchadien nous a exposés dans les rues devant la presse, face aux passants qui nous lançaient des pierres, qui hurlaient en scandant des slogans. Quelle honte! J'aurai souhaité que la terre s'ouvre pour s'enterrer. Je ne peux pas oublier cet instant.

              Quatrième partie
              Une fois « la parade terminée », après toutes les humiliations subies, nous sommes reconduits en prison. Un matin, nos geôliers nous remettent des habits neufs, nous ordonnant de les porter. Croyant à notre libération, la joie nous a envahi. De temps à autres nous guettions l'arrivée de la croix rouge. Mais quelle n'était notre surprise de recevoir la visite d'un opposant libyen se présentant au nom de Kheis Abdelmajid SeifalNasr, secrétaire général adjoint du Front du Salut libyen. Kheis vit pendant des années à l'étranger. Il a commencé par tenir un langage politique (démocratie, droit de l'homme…) auquel nous ne sommes pas habitué en Libye. Un tel langage en Libye, envoi tout droit à la pendaison. Nous nous sommes demandés comment allons nous répondre une fois en Libye de notre rencontre avec un responsable de l'opposition ? Après cette visite, nos gardiens ont changé de comportement à notre égard. Ils ont commencé par être moins agressifs. Quelques jours après, nous avons reçu la visite d'un autre opposant au nom de Jaballah Matar, un ancien officier de l'armée libyenne. Il a reconnu qu'il ne peut rien faire pour nous mais que notre situation en prison va s'améliorer compte tenu de ses rapports avec le gouvernement tchadien. Ces visites nous ont réconfortées et nous avons eu le sentiments qu'il existe encore des libyens qui pensent à nous.

              La surprise provient de la visite discrète à N'djamena du colonel Mas-oud Abdelhafiz dans le cadre d'une négociation avec le gouvernement tchadien. Il n'a reçu qu'un seul des prisonniers proche de lui. Le prisonnier reçu est revenu avec des sous, des habits, des pates dentifrices. Il remettait des sous à nos geôliers pour lui acheter des cigarettes Bastoz (marque tchadienne) . Quand à nous autres, on se contente de sentir la fumée !!

              En prison, nous nous sommes liés une amitié avec le colonel Abdelsalam Charfadine, un pilote dont l'avion a été abattu dans le désert. Il m'expliquait comment son avion a été abattu. Après avoir atteint son cible, il est revenu à basse attitude s'enquérir du dégât qu'il a occasionné. C'est là où son avion a été abattu par un missile portatif. Il a pu s'éjecter de son avion pour se retrouver en plein désert. Il dit regretter que l'armée libyenne n'a pas fait un effort pour le récupérer pourtant il n'était pas loin des bases militaires. Il a passé une semaine de faim, de soif et de fatigue avant d'être capturé sur dénonciation de la population locale. Il se souvient de l'humiliation et des tortures qu'ils a subies vue qu'il était le premier prisonnier libyen haut gradé.

              Un soir, nous apprenons via la presse tchadienne que des violents combats à Waddi Namouss ont fait plusieurs morts du côté de nos soldats libyens et qu'un nombre important a été fait prisonniers sans compter l'annonce d'une quantité importante d'armes et des chars détruits ou saisis. Je me suis rappelé tout de suite de la scène qui s'est passée sous mes yeux où nos soldats gisaient dans des chars détruits par l'ennemi. Quelques jours après l'annonce et pour libérer les lieux aux nouveaux arrivants, nous avons été transférés vers une autre prison plus « confortable » car nous avons la possibilité de voir le soleil et de prendre quotidiennement une douche. Sauf que dans la nouvelle prison, notre ration alimentaire était réduite en raison des vols de nos vivres par les soldats tchadiens. Nous faisons nos besoins dans une sorte de fût. Tous les soirs, nous sommes attachés en groupe de dix personnes avec une grosse chaine très lourde. Si tu veux aller aux toilettes, tu es obligé de tirer « trainer » tous les neufs personnes jusqu'aux toilettes (le fut) et qu'ils sont obligés d'attendre en position debout. N'oublions pas aussi que d'autres attendent et vous demandent de faire vite !! Je ne vous dis pas la douleur et les plaies que ces chaînes provoquent en nous. Je me rappelle du défunt Mabrouk transféré dans notre prison. Blessé au quatrième degré, il dégageait une odeur insupportable qui attirait des rats. Toutes les nuits, le défunt Mabrouk envahi par les rats qui le dévoraient. Il hurlait, nous suppliant de lui venir au secours. Il criait toute la nuit sans que personne ne lui vienne au secours puisque nous sommes tous attachés. Le pauvre est resté dans cet état pendant une semaine avant de décéder. Que Dieu lui bénisse. Il a été purifié « lavé » et enterré par nos gardiens qui pleuraient. Nous avons été affectés par le comportement humains de nos gardiens. Voilà la différence entre les tchadiens qui entèrent humainement les morts en les respectant contrairement à nos responsables libyens qui entèrent nos morts (soldats) avec des bulldozers.

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              • #37
                Cinquième partie:
                Je pense aussi aux deux ingénieurs européens (un allemand et un Yougoslave) arrêtés à Wadi Doum. Ils sont arrivés à WadiDoum à la demande des autorités libyennes, pour construire un aéroport croyant naïvement qu'ils sont dans les territoires libyens. Le prisonnier allemand n'est resté avec nous en prison que deux semaines avant d'être libéré grâce à une rançon que son pays avait versé aux autorités tchadiennes. Quant au Yougoslave, il est plongé dans la dépression et a tenté plusieurs suicides en raison du refus de son gouvernement d'intervenir. Après deux mois de détention, il fut libéré par l'Allemagne grâce aux démarches effectuées par son ami allemand. Parmi les prisonniers de guerre, des mauritaniens, des commerçants et chauffeurs des poids lourds qui n'étaient pas concernés par cette guerre se trouvaient avec nous. Ils ont été interceptés par les autorités tchadiennes et mis en prison. Je me rappelle de certaines personnes originaires de Koufra (Libye) que je connaissais bien. Ils étaient accompagnées de leurs enfants Saleh 9 ans et Nasser 9 ans. Les deux enfants sont malheureusement restés enfermés avec nous. Une fois, nous avons eu la visite d'un Idriss Déby; il était furieux et a commencé par s'en prendre à Ghadafi. Il a demandé au colonel Abdelsalam Sahbane d'insulter Ghadafi mais celui-ci a refusé. « êtes vous prêt à insulter votre président », lui a répondit le colonel Sahbane. Le colonel Idriss Déby s'est mis à le frapper puis il a ordonné son transfert vers une autre prison. Peu après la chute de Hissène Habré le colonel libyen est mystérieusement décédé !!
                Défaite de l'armée libyenne par le Tchad et des milliers des libyens faits prisonniers, nous avons espéré un soulèvement populaire voire militaire contre le régime du colonel libyen. Peine perdu, notre espoir de regagner la Libye est dissipé, notre détention perdure. Pourtant les prisonniers appartenaient à toutes les couches sociales de tous les coins de Libye !
                Alors les officiers prisonniers concoctent un plan intelligent et le proposent au président Hissène Habré. Il s'agit de former un mouvement armé pour combattre le régime libyen. Hissène Habré soutient l'idée avec pour condition d'intégrer le mouvement du salut que dirige le Dr. Mohamed AlMougaryif. Informé, celui-ci s'est précipité pour se rendre au Tchad.
                Enfin, nous changeons de statut.
                Libérés, nous sommes présentés comme des héros lors de la célébration de l'événement en présence du colonel Idriss Déby représentant du Président Hissène Habré. Déby nous a transmis les salutations de Hissène Habré lequel a promis de soutenir notre lutte armée jusqu'à la victoire finale.
                Nous voilà enfin libres, débarrassés d'un cauchemar, d'une guerre injustifiée qui s'est refermée contre nous, d'une guerre déclenchée juste parce que le colonel Gadhafi hait Hissène Habré. D'une guerre qui a laissé en plein désert des centaines de cadavres libyens que les loups, les corbeaux ont dévorés. Nous voilà enfin libérés grâce à l'idée de combattre le régime libyens, nous voilà gâtés par la réception des médicaments, des habits, des armes et des munitions ; rejoints par plusieurs jeunes libyens vivant à l'étranger. Nous avons construit notre nouveau camps militaire avec un garage de maintenance pour les armes et les véhicules de type Toyota que nous avons réceptionnés du Tchad et du président irakien Sadam Hussein. Après la défection du colonel Idriss Déby et son opposition à Hissène Habré, les choses ont commencé par se compliquer. Une personne qui prenait des photos de notre camps et de la résidence de notre chef le colonel Khalifa Haftar a été arrêté par les autorités tchadiennes. Il s'agit de Ahmat Adam Ganaye Belge d'origine tchadienne (…) Devant l'avancée des rebelles dirigés par le colonel Idriss Déby, le président Hissène Habré prend la fuite en direction du Cameroun laissant derrière lui la capitale au pillage. Des instructions nous ont été donnés pour prendre des positions de défense afin de se protéger de toute mauvaise surprise.

                Sixième partie
                Pour se défendre, nous avons pris possession des chars récupérés des libyens et avons renforcé nos positions avancées. En orientant les canons sur N'djamena, il nous était possible de détruire une bonne partie de la capitale voire même la destruction de la base française…….A suivre


                Samedi 22 Novembre 2008 - 11:53
                Ahmat Yacoub-Dabio
                Lu 7672 fois

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                • #38
                  Envoyé par DZmes Bond
                  Heureusement que Khadafi est là pour mettre l'ambiance !
                  kHADAFI est musulman, il ne peut pas croire au Père Noél.

                  Par contre, il est le seul `croire encore à l'ONU! ... tout ça pour dire qu'il n'a pas les pieds sur Terre.
                  L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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