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Arctic Sea : les pirates accusent le capitaine du cargo
Le mystère s'épaissit encore autour de l'étrange odyssée de l'Arctic Sea, le cargo étrangement disparu pendant près de trois semaines entre la mer Baltique et le Cap vert. Mercredi et pour la première fois, les autorités russes ont reconnu que le cargo avait pu transporter autre chose que du bois.
Vendredi, l'avocat de l'un des huit pirates présumés de l'Arctic Sea, Alexandre Samodaïkine, a affirmé que son client et ses sept acolytes «ne reconnaissent pas leur culpabilité». Ils ont accosté le cargo uniquement pour demander de l'aide. Les assaillants seraient en fait des écologistes partis à bord d'un petit bateau sur la Baltique. Ils se seraient retrouvés à court de carburant et auraient accosté l'Arctic Sea pour demander de l'aide.
«Mon client dit qu'une fois sur le navire (Arctic Sea), ils ont attendu qu'on leur donne du carburant, ce que leur a promis le capitaine (ndlr : russe). Ils ne pouvaient pas partir. En fait, ils ont été retenus, dans la mesure où le capitaine n'a rien fait pour les aider», a expliqué l'avocat.
Selon les Russes, les pirates réclamaient une rançon
Selon un autre avocat de la défense, les pirates présumés auraient abordé l'Arctic Sea en raison de mauvaises conditions météorologiques.
«Le 24 juillet, mon client et ses amis sont partis du port estonien de Parnu à bord d'un bateau à moteur et ont été pris dans une tempête avant de demander de pouvoir monter sur le cargo» Arctic Sea, a déclaré l'avocat Omar Akmedov au quotidien russe Kommersant de vendredi.
Parti le 23 juillet de Finlande, l'Arctic Sea et ses 15 membres d'équipage russes avait été détournés le lendemain par huit pirates, selon le parquet général russe, chargé de l'enquête. Selon le ministère russe de la Défense, les pirates avaient menacé de faire exploser le bateau s'ils n'obtenaient pas la rançon exigée.
Le vraquier avait été libéré à la mi-août par la marine russe au large du Cap-Vert, dans l'océan atlantique. Les huit pirates présumés ont été transférés à Moscou à bord d'un avion militaire et placés en détention provisoire.
Le mystère s'épaissit encore autour de l'étrange odyssée de l'Arctic Sea, le cargo étrangement disparu pendant près de trois semaines entre la mer Baltique et le Cap vert. Mercredi et pour la première fois, les autorités russes ont reconnu que le cargo avait pu transporter autre chose que du bois.
Vendredi, l'avocat de l'un des huit pirates présumés de l'Arctic Sea, Alexandre Samodaïkine, a affirmé que son client et ses sept acolytes «ne reconnaissent pas leur culpabilité». Ils ont accosté le cargo uniquement pour demander de l'aide. Les assaillants seraient en fait des écologistes partis à bord d'un petit bateau sur la Baltique. Ils se seraient retrouvés à court de carburant et auraient accosté l'Arctic Sea pour demander de l'aide.
«Mon client dit qu'une fois sur le navire (Arctic Sea), ils ont attendu qu'on leur donne du carburant, ce que leur a promis le capitaine (ndlr : russe). Ils ne pouvaient pas partir. En fait, ils ont été retenus, dans la mesure où le capitaine n'a rien fait pour les aider», a expliqué l'avocat.
Selon les Russes, les pirates réclamaient une rançon
Selon un autre avocat de la défense, les pirates présumés auraient abordé l'Arctic Sea en raison de mauvaises conditions météorologiques.
«Le 24 juillet, mon client et ses amis sont partis du port estonien de Parnu à bord d'un bateau à moteur et ont été pris dans une tempête avant de demander de pouvoir monter sur le cargo» Arctic Sea, a déclaré l'avocat Omar Akmedov au quotidien russe Kommersant de vendredi.
Parti le 23 juillet de Finlande, l'Arctic Sea et ses 15 membres d'équipage russes avait été détournés le lendemain par huit pirates, selon le parquet général russe, chargé de l'enquête. Selon le ministère russe de la Défense, les pirates avaient menacé de faire exploser le bateau s'ils n'obtenaient pas la rançon exigée.
Le vraquier avait été libéré à la mi-août par la marine russe au large du Cap-Vert, dans l'océan atlantique. Les huit pirates présumés ont été transférés à Moscou à bord d'un avion militaire et placés en détention provisoire.
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