Cette affaire est simple. L'auteur ou l'éditeur va saisir la Justice, et le Juge dira s'il y a eu abus de pouvoir.
le plaignant saisit la justice et le juge dit le droit, s'il y a libelle l'expression est envoyée à la poubelle et le contrevenant sanctionné; dans le cas contraire, le plaignant est débouté.
Dans notre cas: le ministre se fait justicier, sans respect de la séparation entre le pouvoir politique et le pouvoir exécutif qui est la justice ici. Tout comme ça se passe dans tout état de non-droit.
Affirmer le contraire relève de la plus parfaite mauvaise foi.
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