Annonce

Réduire
Aucune annonce.

La Minurso n’a plus rien à faire au Sahara occidental

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • N'est-ce as le Maroc qui avait imposé les visas aux algélriens, alors que la mesure devait concerner les Français par réciprocité que l'Hexagone requiert le visa aux Marocains?

    En l'espèce, comme lors de l'invasion de l'île Persil par les FAR(ces), force de reconnaître que le Maroc avait commis une nouvelle gaffe...comme toujours.

    Et l'Algérie est en position de force, car elle peut ouvrir les frontières terrestres et en contre-partie imposer la dotation de visas aux Marocains désireux de se rendre sur son territoire et dont elle n'en a pas besoin car trop indigents!

    Commentaire


    • Le Maroc vend surtout le corps de ses ressortissantes femmes

      Mouhnacid

      ...................................



      Ce genre d'insultes et de généralités venant du sieur Mouahnacid commence à bien faire .

      Il est demandé au modérateur d'intervenir.

      Merci !

      Commentaire


      • N'est-ce as le Maroc qui avait imposé les visas aux algélriens, alors que la mesure devait concerner les Français par réciprocité que l'Hexagone requiert le visa aux Marocains?
        Alors que l'Algerie est en pleine guerre civile, un algerien vient s'exploser au Maroc, pour se proteger et proteger le tourisme qui y a une grande place dans l'economie il est normal que le Maroc impose le VISA aux algériens.
        Manquerait plus que vous importiez votre terrorisme chez nous !

        Commentaire


        • Ce genre d'insultes et de généralités venant du sieur Mouahnacid commence à bien faire .

          Il est demandé au modérateur d'intervenir.

          Merci !
          mais non, laisse dire !
          Tant qu'il y a des gens qui réagissent de la sorte, le Maroc peut dormir sur ses deux oreilles.

          Commentaire


          • Ce genre d'insultes et de généralités venant du sieur Mouahnacid commence à bien faire .

            Il est demandé au modérateur d'intervenir.

            Merci
            il ne savent pas encore ce qu'est une insulte? c'est une nation encore enfant né en 1962 pas encore bien éduqué, il confondent insulte et argument.

            Commentaire


            • Je ne dis que la vérité et si elle te blesse alors exige de ton suzerain-roi le maladroit M6 qui fasse changer l'étiquette marcaine. Mais bon, tu délires en l'occasion et déjà le nif algérien prend le dessus!
              _____________________________

              Dans ces Etats, après l’essor du tourisme de masse, le secteur informel de la prostitution s’est développé avec l’arrivée plus importante de touristes individuels. On peut désormais établir une sorte de cartographie du tourisme sexuel : les femmes vont à Goa, en Inde, en Jamaïque, en Gambie ; tandis que les hommes préfèrent les pays du Sud-Est asiatique, le Maroc, la Tunisie,

              http://www.monde-diplomatique.fr/2006/08/MICHEL/13831

              Commentaire


              • C'est le tourisme que veux tu, on a pas tous la chance d'avoir du petrole et du gaz, concédé par mama franca pour se permettre de cracher sur l'argent qu'ils apportent (6 milliards de $/an)
                Et le Maroc, n'est pas le seul dans ce cas dans le Maghreb, tu as la tunisie aussi de citée !
                Sans le petrole et le gaz, vous seriez beaucoup pire que nous, apprend a dire El hamdoulilah

                Commentaire


                • Je ne dis que la vérité et si elle te blesse alors exige de ton suzerain-roi le maladroit M6 qui fasse changer l'étiquette marcaine. Mais bon, tu délires en l'occasion et déjà le nif algérien prend le dessus!
                  T'es un rigolo, tu penses que nous dire que cela existe au Maroc nous blesse alors qu'a 2 pas de chez toi vers st georges, y a des travestis dont on ne parle jamais juste parce que c'est du "local" et que ca se passe dans un cadre "en famille". Le nif algerien, il sent 2 choses: le petrole qu'il ne voit jamais, il le "chem" uniquement. et la brise de mer avant de se jeter dans la mer pour tenter de fuir son pays, voila a quoi s'est reduit le nif algerien, apres 50 ans de mediocrité.

                  Commentaire


                  • L'Algérie-seul Etat indépendant du Maghreb central- avait gagné son conflit contre la France et il est logique qu'elle en retire les fruits de sa victoire.

                    En revanche, tu admettras aussi que ce pays-l'Algérie- est la seule nation à exiger des visas aux ressortissants français ce qui est interdit au Maroc et à la Tusinie, car ces deux pays sont toujours colonisés par la France ("l'indépendance dans l'interdépendance"!)

                    Commentaire


                    • L'Algérie-seul Etat indépendant du Maghreb central- avait gagné son conflit contre la France et il est logique qu'elle en retire les fruits de sa victoire.

                      Et sa vient du pays le plus colonisé de l'histoire maghrebinne !

                      Commentaire


                      • apres 50 ans de mediocrité.
                        Qalha ayoub 7

                        ça se voit chez le voisin 1200 ans enchanté et le pays est encore archaïque d une médiocrité qui n a pas son nom ...
                        1200ans c est a dire plus en avance que la monarchie espagnol ou anglaise ! !
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                        Commentaire


                        • Je ne dis que la vérité et si elle te blesse alors exige de ton suzerain-roi le maladroit M6 qui fasse changer l'étiquette marcaine. Mais bon, tu délires en l'occasion et déjà le nif algérien prend le dessus!

                          Mouahnacid

                          ......................................


                          On peut aisément te sortir des vérités que verrait ton ridicule nif fondre comme neige au soleil mais ce genre de stupidités et d'enfantillage ne nous mènera à rien sinon à dévaluer le niveau des discussions.

                          Je réitère ma demande au modérateur pour mettre fin ces "agressions" car pour cent fois moins que ça on se retrouve mis en quarantaine.

                          Commentaire


                          • T'es un rigolo, tu penses que nous dire que cela existe au Maroc nous blesse alors qu'a 2 pas de chez toi vers st georges, y a des travestis dont on ne parle jamais juste parce que c'est du "local" et que ca se passe dans un cadre "en famille". Le nif algerien, il sent 2 choses: le petrole qu'il ne voit jamais, il le "chem" uniquement. et la brise de mer avant de se jeter dans la mer pour tenter de fuir son pays, voila a quoi s'est reduit le nif algerien, apres 50 ans de mediocrité.
                            Bonne lecture :


                            LA PROSTITUTION SÉVIT MASSIVEMENT


                            Drame et misère
                            dimanche 28 août 2005.

                            On les croise partout : devant les hôtels, les grands boulevards, aux alentours des résidences universitaires et dans toutes les boîtes de nuit. A force de les voir, on finit par retenir leurs emplacements. Elles sont devenues tellement nombreuses qu’elles font partie de notre décor quotidien. Ce sont les prostituées.

                            La population algérienne vit, en effet, dans la misère économique dans ses manifestations les plus dégradantes. On l’a entraînée, en l’espace de quelques années, vers les abysses de la pauvreté et de l’insuffisance. Le taux de chômage avoisine les 20 % (année 2004). Près de 8 millions (année 2002), soit 7 778 000, sont des célibataires de plus de 20 ans et n’ont aucune perspective de pouvoir fonder un foyer, à cause notamment de la crise du logement et du problème de l’emploi. Environ 600 000 élèves sont exclus, chaque année, du système scolaire ou l’abandonnent par manque de moyens. Tout cela a fini par créer cet environnement propice à la prolifération des maux sociaux avec un accroissement et une brutalité inégalées, comme le divorce, les conflits familiaux, le suicide, la drogue, la mendicité, la prostitution. Nul ne peut nier que la misère économique est le terreau fertile sur lequel se développe la prostitution.

                            Cette prostitution qui sévit massivement dans toutes nos villes et même nos petits villages - qui ont du mal à la dissimuler - est l’un des résultats de la catastrophe sociale et de la ruine économique qu’impliquent les politiques d’ajustement structurel, les privatisations, le libre-échange à sens unique ; bref, la mondialisation et ses effets sur l’accroissement des inégalités sociales. Désormais, aujourd’hui, ces malheureuses font partie de la mosaïque des gens de la rue. Elles y passent la plus grande partie de leur temps, elles disent qu’elles y travaillent. Les scènes de contact et les palabres entre la fille de joie et son client sont repérables à vue d’œil, même s’ils sont attablés dans un café.

                            Il ne faut pas plus de quelques minutes pour que le marché soit conclu ou, dans le cas contraire, le présumé client s’en aille poursuivre sa chasse ailleurs. Ces femmes ont un quotidien qui n’a rien de commun avec le nôtre et leur vie a des lois et des codes différents de ceux que nous connaissons. Parmi les sept femmes qui ont bien voulu nous parler, nous vous livrons le témoignage de trois d’entre elles. Fifi (Fatima), à peine vingt ans, campe face à un hôtel. Cheveux taillés courts et teintés blonds, habillée d’un jean moulé à taille basse, tee-shirt blanc très court faisant apparaître son nombril et une bonne partie de son ventre. Hypermaquillée, elle scrute les automobilistes de ses grands yeux noirs. Fifi a bien voulu nous parler de son histoire, après s’être assurée de notre personne et de notre objectif. Son regard à la fois grave et morose donne l’impression que cette jeune femme voudrait vider tout ce qu’elle a sur le cœur. Elle nous confie que son moral est rarement bon. Elle est pessimiste, a du mal à se concentrer et, comme le veut son âge, veut tout et tout de suite. Malgré son énergie, elle a souvent envie de pleurer, est inquiète et nerveuse, se fait des reproches, se sent déprimée et désespérée en pensant à l’avenir.

                            D’ailleurs, elle pense tout le temps au suicide et en a fait deux tentatives. Elle avoue avoir souvent des excès de colère, elle crie fort, frappe et casse. Quand elle parle de santé, elle évoque son mal de tête et les troubles du sommeil (endormissement difficile, réveil nocturne, fatigue accumulée) et ajoute qu’elle n’a jamais consulté de médecin. « Je n’ai pas choisi de vivre dans la rue ni de vendre ma chair. C’est le seul lieu où j’ai trouvé refuge lorsque j’ai été forcée de quitter la maison familiale. ça fait maintenant plus de 4 ans que j’exerce ce métier. » Elle ne dit rien sur les motivations de sa décision de quitter la maison familiale. Son corps frêle a appris à résister aux nuits glaciales de l’hiver. Son regard profond et les cernes qu’elle arrive à peine à camoufler par un épais maquillage sont les témoins de ces longues années d’errance et de souffrance. « Il est difficile pour moi de tolérer le regard des autres qui est plein de mépris. J’aurais souhaité une autre vie. » « Au quotidien, j’ai du mal à me regarder dans la glace, je me déteste, je ne sais pas de quoi sera fait demain. Ce que je fais ici, ça me ronge intérieurement, de la même manière qu’une maladie, ça me bouffe physiquement et ça m’enfonce dans la détresse. De temps en temps, il m’arrive de rigoler, d’avoir le sourire, mais on ne l’a pas vraiment au fond de soi. » Elle nous a affirmé être là (face à l’hôtel) depuis plus de deux heures et avoir déjà accompli trois passes et récolté 3400 DA.

                            Commentaire


                            • Le prix qu’elle prend pour chaque passe varie entre 500 DA et un plafond qui peut atteindre 2000, voire 3000 DA, selon les circonstances et les clients. La liaison sexuelle se déroule le plus souvent dans la voiture du client. Quant aux clients, elle affirme qu’ils sont de toutes les professions, de tous âges et de tous les horizons. Ils disent payer pour assouvir leurs fantasmes, sans égard ni scrupules. Ils ne sont pas nécessairement « étrangers » à la ville, nous confient la plupart des filles interviewées. On trouve, parmi eux, des maçons qui vivent dans leur chantier de travail, loin de leur famille, de plus en plus de Chinois, des quinquagénaires, des marchands ambulants et quelques amateurs de l’acte rapide. Le client tourne, regarde, choisit, discute les prix. Toujours à propos des clients, elle dit qu’« ils sont toujours avides de nouveauté. Lorsqu’une nouvelle personne arrive sur le trottoir, elle a un succès immédiat. Ils veulent plus de beauté, plus de jeunesse et ils veulent tous l’essayer ».

                              En ce qui concerne la peur, elle dit : « Avec certains clients, on ne sait jamais ce qui peut nous arriver. C’est tous les jours. Quand on monte dans un véhicule, quand on se retrouve attachée pour satisfaire les fantasmes des hommes. Le type peut faire ce qu’il veut. » La peur est toujours omniprésente. D’abord, celle du client et de sa toujours possible violence, celle de la police et celle, surtout, d’être reconnue par des parents, voisins, amis. Peur de l’avenir enfin. Qui souhaite vieillir dans la prostitution ? Le second témoignage est celui de Zouzou (Zohra) rencontrée dans un cabaret du littoral de l’Ouest algérois. « J’avais 16 ans quand j’ai commencé à me prostituer. Après, c’est devenu une habitude. Je ne pourrais pas dire pourquoi. » A l’époque, Zouzou ne vivait plus chez ses parents. « J’étais partie de chez moi pour être libre. » Zouzou n’en dira pas plus. Elle ne veut pas parler de ce qu’elle a vécu dans sa famille. « Quand on est jeune et qu’on a envie d’acheter des robes, on voit qu’on va gagner de l’argent. On ne sait pas que c’est destructeur. On le saura après, mais on ne veut pas l’admettre. Et quand le pli est pris, on continue.

                              Le problème, c’est l’argent. On se laisse manger par l’argent. On parle de la drogue. Mais l’argent, c’est de la drogue. » Zouzou lâche ses réflexions par bribes. « Vous en connaissez, vous, une p... qui ne prend pas d’alcool, pas de drogue ou de cachetons ? » « Contrairement à la clientèle de la prostitution de la rue, quand ils sont là (les clients), il faut les faire boire au maximum. Un verre de whisky à 600 DA, une bouteille à 5000 DA. Le verre de whisky, il faut le descendre et vite demander au client de nous en reverser un autre. Pour aider, on peut enlever le soutien-gorge et tolérer une caresse. Pendant tout ce temps, on boit aussi, évidemment, une fois que le type est bien gai, on peut demander autant de bouteilles qu’on veut. Quand on sature, on amène une autre fille pour nous aider à boire.

                              Le patron donne un pourcentage sur chaque bouteille consommée par le client. » « Les clients, on leur dit les choses qu’ils ont envie d’entendre. Des mensonges. En réalité, ils sont moches. Ils nous racontent leur vie. Ils sont mariés. Et quand ils veulent aller plus loin, la passe est rarement inférieure à 3000 DA. L’acte se déroule dans l’une des 4 chambres situées au-dessus et qui nous servent également de lieu d’hébergement (pour les filles qui y travaillent). Les hommes, ce qu’ils ne peuvent faire avec leur femme, ils viennent nous le demander. Ils croient qu’ils peuvent nous faire ce qu’ils voient dans les films pornos. On gagne de l’argent, mais à quel prix ! On perd sa dignité, on n’a plus envie d’hommes. Parmi les clients, il y a les obsédés, mais pas tant que ça. On a de tout. Des cadres, des médecins, des militaires. Enormément de types qui aiment les gamines. Nous travaillons le soir et nous dormons toute la matinée. De ce fait, notre vie est forcément différente des autres personnes dites normales. » Enfin, le troisième témoignage, celui de Hassiba, l’une des victimes des réformes économiques, cette jeune mère de deux enfants, avec ses mèches blondes toujours dans les yeux, raconte sans haine comment elle a commencé à tapiner : « J’étais très heureuse avec mon mari et mes deux enfants.

                              La fermeture de l’entreprise a été le début des problèmes. Le salaire, notre seule ressource, nous avait permis de vivre décemment. Puis ce fut la cassure. Aux problèmes financiers se sont ajoutés ceux liés à l’environnement, avec au bout le divorce. En charge de mes deux enfants, je devais subvenir à leurs besoins essentiels. Ce qui m’a contrainte à vendre mon corps malgré le dégoût que j’éprouve. Préalablement, j’avais cherché du travail, mais partout où je me présentais, la seule réponse était des propositions malhonnêtes. N’étaient mes deux filles, il y a longtemps que je me serais suicidée. Cela a été très dur, bien sûr, mais je n’avais pas le choix. Et même en prenant la pilule pour ne pas avoir d’enfant, je me suis retrouvée enceinte deux fois. J’ai pratiqué à chaque fois une IVG dans une clinique privée, la seconde fois, j’ai failli y passer. Cela a été très dur, bien sûr, mais je ne pouvais pas les garder. J’avais trop de problèmes. Etre une prostituée me répugne mais, Allah ghaleb, c’est mon destin. » C’est dans ce même décor que vivent d’autres prostituées, même si leur histoire diffère.

                              Livrées à elles-mêmes, elle parviennent tant bien que mal à créer un environnement qui leur est familier. La rue ou les boîtes de nuit sont devenues leur refuge. Et si elles arrivent plus ou moins à supporter leur métier, cela ne les empêche pas de se sentir humiliées. Aujourd’hui, personne ne peut dire quel est le nombre des prostituées de la rue ou tout autre, même approximativement, encore moins celui des clients. Plutôt plurielle, non organisée, la prostitution en Algérie ne peut entrer dans un cadre clairement défini : de luxe, de rue, de boîte de nuit, de cité universitaire, de fin de journée, de fin de semaine, de fin de mois, de temps à autre, seulement la prostitution a pris des proportions alarmantes.

                              Personne (à notre connaissance) n’a effectué une recherche sur l’aspect humain de ces personnes, sur leurs véritables besoins et sur les alternatives qui pourraient leur être proposées. La plupart ne voient en elles qu’un seul aspect : elles défigurent le visage des villes. Plus vieux métier du monde, métier tout court, mal nécessaire, esclavage... les affrontements idéologiques et moraux sont innombrables autour de la prostitution. Mais, de vrai débat public, il n’y en a point.

                              Okba Khiar

                              El Watan

                              Commentaire


                              • Et sa vient du pays le plus colonisé de l'histoire maghrebinne !
                                Qalha , ça vient du pays qui lui reste que le drapeau qui flotte « post/protectorat à bouffé tout le Maroc ….. »
                                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X