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Fadela Amara: "Statut de la femme : Le Maroc, une référence"

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  • #16
    j'ai plutôt dit que pour être crédible il ne faudrait pas systématiquement dénigrer ou chercher à déligitimer (quand ce n'est pas lyncher) toute personne qui exprime une opinion qui n'arrange pas nos "affaires"!
    J'ai meme mieux. Pour gagner en credibilité il faudrait que tu souhaites pour les autres ce que tu souhaites pour toi meme. Comme tu interviens pour les personnes critiquant le Maroc à outrance, j'espere que tu en feras de meme pour ceux critiquant l'Algerie sans fondement (et ils sont beaucoup aussi).
    J'attends donc avec impatience que tu mettes en oeuvre ta credibilité quand tu tomberas sur un topic critiquant de maniere subjective l'Algerie. En attendant bienvenu sur FA.
    Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
    "L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants." Thomas Mann
    Cette citation me vient de mon cousin chaoui Adhrhar

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    • #17
      Maroc : le statut de la femme tarde à entrer dans les mœurs
      par Christelle Marot, 06-03-2009

      Cinq ans après la promulgation du nouveau Code de la famille au Maroc, son application laisse à désirer, surtout en zone rurale. Le mariage des mineures et la survie matérielle des femmes divorcées restent les points faibles. En cause : un déficit de sensibilisation et la résistance des magistrats.

      La condition féminine laisse encore à désirer au Maroc, cinq ans après l’entrée en vigueur, en 2004, du nouveau code de la Moudawana, véritable révolution pour les droits de la femme. Au plan juridique, les transformations se poursuivent : le roi Mohamed VI a levé, fin 2008, toutes les réserves marocaines à la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard de la femme. Mais sur le terrain, l’application de certaines des nouvelles dispositions du Code de la famille tarde.

      Selon le rapport de la Ligue démocratique des droits de la femme (LDDF), les demandes de dérogation pour les mariages de mineures, en principe interdits, ont augmenté de plus de 50 % dans le monde rural en 2007. Les magistrats y répondent favorablement dans 86% des cas. Globalement, près de 10,3 % des actes de mariage concernent encore des mineures.

      "Le législateur a échoué en considérant que fixer l’âge légal du mariage à 18 ans serait dissuasif. Dans la pratique, les dérogations qui devaient être l’exception sont accordées trop facilement", estime Fouzia Assouli, secrétaire générale de la LDDF. En cause : un déficit d’information et de sensibilisation de l’État à l’endroit notamment des magistrats, la pauvreté et la non-scolarisation des filles, mais aussi l’attitude d’extrémistes qui encouragent le mariage des mineures. En septembre 2008, le cheikh salafiste Al-Maghraoui, influent sur une trentaine d’écoles coraniques, mettait en ligne une fatwa (un décret religieux, Ndlr) autorisant le mariage d’une fillette de 9 ans.

      La pratique ne suit pas la loi

      "En milieu rural, il n’y a pas beaucoup d’évolution sur cette question (…). À 14-15 ans, quand les filles ne sont pas scolarisées, on leur donne peu d’alternatives au mariage, rappelle Malika Ben Mahi, présidente de l’Association marocaine pour la promotion de la femme rurale. Il y a également des problèmes dans les bidonvilles, là où émigrent les familles rurales venues chercher du travail". Pour la LDDF, la solution serait de fixer un âge minimum au mariage, en dessous duquel aucune dérogation n’est possible. Autre revendication des associations féministes : l’abrogation du paragraphe de l’article 475 du Code pénal, qui annule la peine d’un violeur d’une mineure, s’il épouse sa victime.

      Sur la question de la polygamie, en baisse constante, la situation s’améliore, conviennent toutefois les associations. Mais le même problème surgit à chaque fois : l'écart entre le texte légal et sa mise en pratique. La loi autorise ainsi la polygamie pour des motifs objectifs et exceptionnels, comme la stérilité d’une femme qui refuserait le divorce. Dans la pratique, c’est surtout l’aisance financière du mari qui est prise en compte.
      De même pour le divorce : le nouveau code prévoit qu’il doit être demandé en justice, la répudiation ne suffisant plus.

      En 2007, plus de 49 000 actes de divorce (sur 297 000 actes de mariage la même année) ont été prononcés au Maroc, contre 43 000 environ en 2006. Mais la création d’un fonds de solidarité pour le versement des pensions alimentaires se fait toujours attendre, alors qu’il a été promis dès avant la promulgation de la loi. Ce qui rend le droit des femmes au divorce aléatoire : "Dans la majorité des cas, le divorce est une catastrophe financière pour les femmes et les enfants", souligne Fouzia Assouli.

      Des magistrats trop religieux

      "La Moudawana a suscité beaucoup d’attentes. Il y a eu des avancées, mais le résultat est mitigé", indique de son côté Youssef El Falah, conseiller juridique à l’American Bar Association (ABA), une organisation américaine qui œuvre en faveur de l’État de droit. Pour l’ABA, la non-application des principales clauses de la Moudawana s’explique par la formation et une certaine résistance des magistrats.

      "La majorité des juges ont un savoir juridique très imprégné de culture religieuse ; beaucoup sont lauréats d’un cursus théologique avant d’intégrer l’Institut de la magistrature. Leur référentiel est plus religieux que juridique", explique Youssef El Falah. En cas de doute, les magistrats, dont le pouvoir d’appréciation est élevé, recourent plus aux préceptes religieux qu'aux règles de droit. D’où l’importance de les sensibiliser, selon Youssef El Falah, ce que l’État marocain ne fait pas. Pas plus qu’il ne communique suffisamment avec les justiciables pour faire connaître la loi.

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      • #18
        Bah c'est normal avec la "Moudawana" achkoun eli lgaha b7alhom

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        • #19
          Oggy les jaloux vont maigriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir !!!

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          • #20
            *En lisant le post 17 / Oggy, donc Fadela Amara ? elle est loin de la réalité de prendre pour référence « le statut de la femme au Maroc »..
            a savoir , elle ignore ou bien poussé à faire une publicité politique ..??
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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            • #21
              mehdoche

              Comme tu interviens pour les personnes critiquant le Maroc à outrance, j'espere que tu en feras de meme pour ceux critiquant l'Algerie sans fondement (et ils sont beaucoup aussi).
              je suis d'accord avec ça!

              c'est vrai qu'il y'a aussi des personnes (marocaines ou pas) qui éxagèrent dans la critique de l'algérie!

              c'est en quelque sorte un derby : tjrs éxagéré.

              mais il faut dire que bcp le font un par réaction aux topics nombreux sur FA qui dénigrent systématiquement le Maroc sans en connaître grand chose!

              personnellement j'essaie de me modérer autant que possible et me tenir au minimum d'objectivité et de courtoisie, et il m'arrive même d'appeller à la retenue dans les deux bords!

              maintenant c'est comme ça, on peut pas changer les gens. disons que moins on a d'arguments crédibles, moins on est serein et courtois!

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              • #22
                Le statut de la femme n'est pas la priorité de cette association de béni oui-oui dégénérés,
                Ils veulent détruire la famille musulmane en s'attaquant à sont coeur

                Malheureusement un nombre incalculable de "touristes" comme le journaliste belge philipe servaty ont testé en profondeur le statut de la femme au Maroc.

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                • #23
                  Fadela Amara: "Statut de la femme : Le Maroc, une référence"
                  Ah oui ! La moudawana est impec du point de vue théorique mais,dans la réalité ,la situation de la femme c'est tout autre : ça n'a pas évolué d'un iota.

                  C'est difficile de changer un mentalité et les textes n'ont pas de pouvoir magique pour changer une situation du tac au tac.Le musulman a une conception particulière de la femme....

                  Pauvre Fadéla !

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                  • #24
                    Bien dit, pauvre fadela !
                    tous ces compatriotes algeriens la traiteront dés aujourd'hui de traitre et/ou p.ute.

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                    • #25
                      les temoiganges de toutes parts affirment, assurent, attestent que l'experience du maroc dans ce domaine est audacieuse et reussie ; tu campes toujours sur ta position de doute , de suspicion et carrement du deni !

                      a toi s'applique ce vers de la Fontaine dans le loup et l'agneau : le loup devant manger l'agneau , il fallait trouver une raison pour le faire ( bien sur en dehors de la faim !) il fit signifer à l'agneau qu'il etait victilmes des moutons (!) , l'agneau lui repondit : ce n'etait pas moi , le loup lui dit :

                      si ce n'est pas toi , c'est donc ton frere !

                      pour toi tout ce que le maroc est mauvais, absurde, retrograde voué à l'echec !

                      alors que dit on de ce cas ?
                      A part que tu me pointes d'un doigt accusateur, je ne vois vraiment pas une quelconque avancee dans le debat de ta part.

                      En guise de reponse, je te propose de lire l'article suivant :

                      Moudawana. Quatre ans pour rien ?

                      Entré en application en février 2004, le nouveau Code de la famille souffle sa quatrième bougie. L’occasion de revenir sur le bilan de cette réforme emblématique.

                      En ce lundi 11 février, l’agitation est palpable aux alentours de l’Institut supérieur de la magistrature à Rabat. Le petit monde des juristes s’est donné rendez-vous pour fêter le quatrième anniversaire du nouveau Code de la famille. Outre les officiels, les ONG féministes et les associations de droits de l’homme sont bien sûr présentes et en nombre. “Le combat n’est pas terminé, c’est pour ça qu’on est là”,

                      explique une étudiante à l’entrée du bâtiment. Si la réforme du Code de la famille est généralement considérée comme une avancée importante, les défenseurs des droits des femmes n’entendent pas rester muets sur ce qu’ils pointent comme insuffisances. Mais pour l’heure, dans l’amphithéâtre où crépitent les flashes des photographes, la parole est à Abdelouahed Radi. Pendant vingt minutes, le ministre de la Justice se prête au prévisible exercice d’autosatisfaction. Pourtant, le ton n’y est pas, et le cœur non plus : la parole est lente, le discours emprunté. En guise de conclusion : “Ce bilan prouve de manière palpable les grands efforts consentis au niveau de la justice de la famille et de la part de l’ensemble des intervenants dans ce domaine”. En résumé, beaucoup de chiffres (voir encadré), mais déjà un doute bien palpable : la nouvelle Moudawana répond-elle vraiment à tous les espoirs qu’elle a suscités ?

                      SUITE

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                      • #26
                        Fadéla est sous l'influence de son copain-coquin l'escroc marocain Abdi.

                        Ni *****, ni soumises
                        Un escroc à la tête de NPNS

                        Mohamed Abdi est définitivement condamné pour escroquerie
                        dimanche 25 novembre 2007
                        Article publié dans NOUVELOBS.COM le15.11.2007
                        Dans son édition de mercredi 14 novembre, Le Parisien rapporte que le conseiller spécial de Fadela Amara est définitivement condamné à 18 mois de prison, dont 12 avec sursis, pour escroquerie à la formation professionnelle entre 1994 et 1997.
                        Mohammed Abdi, qui épaule la secrétaire d’Etat à la Politique de la ville et est toujours secrétaire général de l’association "Ni ***** ni soumises", a vu sa condamnation de mai 2006 confirmée, après un rejet de son ultime recours devant la Cour de Cassation. Cette dernière a rendu son arrêt pendant la semaine du 5 novembre, affirme le quotidien qui précise que sa peine de prison est assortie d’une mise à l’épreuve de 3 ans avec obligation de rembourser le préjudice, avec le coauteur des faits, Jean Bousige.
                        Fausses attestations de formation
                        L’affaire remonte à 1992. A cette époque, Mohammed Abdi est directeur des ressources humaines dans une société de gardiennage, FBL-services, basée dans le Puy-de-Dôme.
                        Employant des jeunes en contrat de qualification, l’entreprise est tenue de leur assurer une formation, en interne ou non, qui lui est remboursée. Ce système permet également à l’employeur d’être exonéré de certaines charges. La fraude montée par FBL-services fut de produire des fausses attestations de formation et des fausses feuilles de présence pour bénéficier des avantages financiers, explique Le Parisien.
                        Mohammed Abdi assure avoir la "conscience hyper-tranquille" et "que de "nombreux jeunes recrutés ont trouvé un travail permanent". De son côté, Fadela Amara, n’a pas voulu commenter, conclut le quotidien.
                        Démissions en bloc à "Ni ***** ni soumises"
                        Mohammed Abdi a déjà déclenché une crise, début novembre, au sein de "Ni ***** ni soumises", entraînant la démission en bloc de plusieurs de la cinquantaine de comités de l’association.
                        Dans un communiqué initialement signé par 26 comités, des membres dénonçaient le fait que Mohammed Abdi ait été maintenu à son poste de secrétaire général du mouvement, alors qu’il est conseiller spécial de Fadela Amara. La polémique et le flou ont perduré plusieurs jours pendant lesquels des signataires ont dénoncé les "tentatives d’intimidations et les coups de pression de la direction nationale exercés à l’intérieur et à l’extérieur du mouvement".

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