ils avoir le droit de nous insulter et insulter notre religion !!!!!!!!
Durban I : la première conférence contre le racisme, les discriminations raciales, la xénophobie et l’intolérance organisée par l’ONU en 2001 à Durban en Afrique du Sud, avait été prise en otage par les ONG d’extrême-gauche et les musulmans, qui l’avaient transformé en véritable foire anti-israël et anti-juive d’une virulence jamais vue depuis la seconde guerre mondiale, avec caricatures et slogans antisémites.
La seconde conférence du même type, qui doit avoir lieu à Genève en Avril 2009, prendra pour cible notre liberté de parler et de critiquer l’islam.
Durban II : La deuxième session préparatoire du comité des 20 états organisateurs -présidée par la Libye avec Cuba, le Pakistan et l’Iran à la vice-présidence - s’est tenue à Genève du 6 au 17 0ctobre 2008. Le projet du texte de clôture de la conférence est maintenant disponible sur le site du Conseil des droits de l’Homme des Nations Unies (CDH) ici.
Il apparait déjà clairement dans ce document et par ce qui émane des réunions de l’Assemblée Générale de L’ONU que le point focal de la conférence de Durban II sera “l’islamophobie”. Les organisateurs entendent présenter l’islamovigilance comme une nouvelle forme de racisme.
Selon le projet de déclaration finale, Les musulmans seraient en face d’une terrible menace d’”holocauste racial” (sic) à cause de cette ” nouvelle forme de racisme” - “l’islamophobie” - incitée par le biais de la “diffamation de l’islam”.
Le texte recommande que les autorités locales, nationales et internationales revoient et modifient leurs lois et les Droits de l’Homme si nécessaire afin que «la diffamation de l’islam» devienne une infraction pénale, et perde la protection, dont il a depuis longtemps bénéficié du “prétexte” de “la liberté de d’expression, de la lutte contre le terrorisme ou de la sécurité nationale “. Il recommande encore que des mesures juridiques soient mises en place pour punir les coupables - qui sont ceux qui «diffament», en associant l’islam à la violence, aux atteintes aux droits humains et au terrorisme.
“C’est vraiment la mise en place d’une guerre des idées, qui aura des implications graves, dans les relations entre les États islamiques et tous les autres. Durban I était une attaque contre Israël, Durban II sera une attaque contre notre liberté d’expression et nos libertés et autres droits démocratiques essentiels ” explique Anne Bayeksky avocate spécialiste des droits de l’Homme.
Le Canada a d’ores et déjà annoncé qu’il ne participerait pas à la conférence.

Durban I : la première conférence contre le racisme, les discriminations raciales, la xénophobie et l’intolérance organisée par l’ONU en 2001 à Durban en Afrique du Sud, avait été prise en otage par les ONG d’extrême-gauche et les musulmans, qui l’avaient transformé en véritable foire anti-israël et anti-juive d’une virulence jamais vue depuis la seconde guerre mondiale, avec caricatures et slogans antisémites.
La seconde conférence du même type, qui doit avoir lieu à Genève en Avril 2009, prendra pour cible notre liberté de parler et de critiquer l’islam.
Durban II : La deuxième session préparatoire du comité des 20 états organisateurs -présidée par la Libye avec Cuba, le Pakistan et l’Iran à la vice-présidence - s’est tenue à Genève du 6 au 17 0ctobre 2008. Le projet du texte de clôture de la conférence est maintenant disponible sur le site du Conseil des droits de l’Homme des Nations Unies (CDH) ici.
Il apparait déjà clairement dans ce document et par ce qui émane des réunions de l’Assemblée Générale de L’ONU que le point focal de la conférence de Durban II sera “l’islamophobie”. Les organisateurs entendent présenter l’islamovigilance comme une nouvelle forme de racisme.
Selon le projet de déclaration finale, Les musulmans seraient en face d’une terrible menace d’”holocauste racial” (sic) à cause de cette ” nouvelle forme de racisme” - “l’islamophobie” - incitée par le biais de la “diffamation de l’islam”.
Le texte recommande que les autorités locales, nationales et internationales revoient et modifient leurs lois et les Droits de l’Homme si nécessaire afin que «la diffamation de l’islam» devienne une infraction pénale, et perde la protection, dont il a depuis longtemps bénéficié du “prétexte” de “la liberté de d’expression, de la lutte contre le terrorisme ou de la sécurité nationale “. Il recommande encore que des mesures juridiques soient mises en place pour punir les coupables - qui sont ceux qui «diffament», en associant l’islam à la violence, aux atteintes aux droits humains et au terrorisme.
“C’est vraiment la mise en place d’une guerre des idées, qui aura des implications graves, dans les relations entre les États islamiques et tous les autres. Durban I était une attaque contre Israël, Durban II sera une attaque contre notre liberté d’expression et nos libertés et autres droits démocratiques essentiels ” explique Anne Bayeksky avocate spécialiste des droits de l’Homme.
Le Canada a d’ores et déjà annoncé qu’il ne participerait pas à la conférence.
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