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La chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris a ordonné, mercredi 4 février, la remise en liberté de Karim Achoui, l'avocat condamné à sept ans de prison pour complicité dans l'évasion d'Antonio Ferrara. Me Achoui sera remis en liberté après le versement d'une caution de 50 000 euros, selon ses avocats.
"C'est une décision normale car Karim Achoui a toujours dit qu'il était innocent et il sera jugé devant la cour d'assises d'appel en se présentant libre face à ses juges", a estimé Me Francis Szpiner, un de ses défenseurs. Cette "formalité" devrait être accomplie d'ici à jeudi, et M. Achoui pourrait alors quitter la prison de Nanterre (Hauts-de-Seine) où il est incarcéré depuis le 15 décembre.
Après sa condamnation, Karim Achoui, qui avait comparu libre, a fait appel et clamé haut et fort son innocence. Il est allé jusqu'à engager une grève de la faim pour protester contre la décision de justice. Ses défenseurs réclamaient qu'il puisse être remis en liberté d'ici au second procès en appel, qui n'est pas prévu avant 2010. Connu pour avoir défendu plusieurs figures du grand banditisme français, Karim Achoui a été condamné définitivement dans une autre affaire de "complicité de faux" à un an de prison avec sursis, 20 000 euros d'amende et cinq ans d'interdiction d'exercer sa profession.
"C'est une décision normale car Karim Achoui a toujours dit qu'il était innocent et il sera jugé devant la cour d'assises d'appel en se présentant libre face à ses juges", a estimé Me Francis Szpiner, un de ses défenseurs. Cette "formalité" devrait être accomplie d'ici à jeudi, et M. Achoui pourrait alors quitter la prison de Nanterre (Hauts-de-Seine) où il est incarcéré depuis le 15 décembre.
Après sa condamnation, Karim Achoui, qui avait comparu libre, a fait appel et clamé haut et fort son innocence. Il est allé jusqu'à engager une grève de la faim pour protester contre la décision de justice. Ses défenseurs réclamaient qu'il puisse être remis en liberté d'ici au second procès en appel, qui n'est pas prévu avant 2010. Connu pour avoir défendu plusieurs figures du grand banditisme français, Karim Achoui a été condamné définitivement dans une autre affaire de "complicité de faux" à un an de prison avec sursis, 20 000 euros d'amende et cinq ans d'interdiction d'exercer sa profession.
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