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Avec cette malheureuse affaire, maintenant on est fiché chez les Kangourous. 
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La police australienne a découvert des manuels pour la fabrication de bombes.
Un imam algérien et six fidèles ont été condamnés à des peines de prison ferme, après avoir été reconnus coupables de complot terroriste, en Australie. Bien que le groupe n’ait perpétré aucun attentat, le juge a estimé que la tentative d’un attentat est condamnable. Il faut savoir que l’imam inculpé est d’origine algérienne, et que selon la source, il avait demandé aux fidèles de préparer des attaques contre des lieux fréquentés, en Australie. Des endroits tels que les stades de football et les gares.
Les raison de ce complot, selon une source judiciaire, est de faire pression sur l’Australie pour qu’elle retire ses soldats d’Afghanistan. Il y a lieu de souligner que l’investigation diligentée par la police australienne chez les accusés, a permis la découverte des manuels pour la fabrication de bombes ainsi que des vidéos contenant des messages d’Oussama Ben Laden.
A cet effet, la cour de l’Etat de Victoria, avait condamné l’imam algérien à 15 ans de prison, dont 12 incompressibles, tandis que les six fidèles inculpés pour les mêmes faits ont eut des peines s’échelonnant de quatre à sept ans et demi de prison. Notons que ce chef religieux nommé Abdul Nacer Benbrika, avait incité les fidèles à faire le djihad au nom de l’Islam pour soutenir leurs frères en Afghanistan. Le juge Bernard Bongiorno avait déclaré devant la Cour suprême de l’Etat du Victoria que «l’organisation a encouragé ses membres à s’engager dans la guerre sainte et à mener des actions terroristes». Il a ajouté que, «ces hommes se sont qualifiés de moujahidine et ont affirmé que la guerre sainte faisait partie de leurs obligations religieuses».
D’autre part, l’avocat de Benbrika, avait tenté de faire disculper son client en précisant qu’aucune n’attaque n’a été vraiment perpétrée. Il a essayé de justifier l’imam qu‘il s’était seulement borné à parler du djihad sans jamais passer à l’acte. En somme, ce procès dont la condamnation est un peu plus sévère a pour but de donner une leçon aux militants et à ceux qui veulent s’engager dans la guerre sainte.
Chahinez BENZAGHOU
L'Expression
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La police australienne a découvert des manuels pour la fabrication de bombes.
Un imam algérien et six fidèles ont été condamnés à des peines de prison ferme, après avoir été reconnus coupables de complot terroriste, en Australie. Bien que le groupe n’ait perpétré aucun attentat, le juge a estimé que la tentative d’un attentat est condamnable. Il faut savoir que l’imam inculpé est d’origine algérienne, et que selon la source, il avait demandé aux fidèles de préparer des attaques contre des lieux fréquentés, en Australie. Des endroits tels que les stades de football et les gares.
Les raison de ce complot, selon une source judiciaire, est de faire pression sur l’Australie pour qu’elle retire ses soldats d’Afghanistan. Il y a lieu de souligner que l’investigation diligentée par la police australienne chez les accusés, a permis la découverte des manuels pour la fabrication de bombes ainsi que des vidéos contenant des messages d’Oussama Ben Laden.
A cet effet, la cour de l’Etat de Victoria, avait condamné l’imam algérien à 15 ans de prison, dont 12 incompressibles, tandis que les six fidèles inculpés pour les mêmes faits ont eut des peines s’échelonnant de quatre à sept ans et demi de prison. Notons que ce chef religieux nommé Abdul Nacer Benbrika, avait incité les fidèles à faire le djihad au nom de l’Islam pour soutenir leurs frères en Afghanistan. Le juge Bernard Bongiorno avait déclaré devant la Cour suprême de l’Etat du Victoria que «l’organisation a encouragé ses membres à s’engager dans la guerre sainte et à mener des actions terroristes». Il a ajouté que, «ces hommes se sont qualifiés de moujahidine et ont affirmé que la guerre sainte faisait partie de leurs obligations religieuses».
D’autre part, l’avocat de Benbrika, avait tenté de faire disculper son client en précisant qu’aucune n’attaque n’a été vraiment perpétrée. Il a essayé de justifier l’imam qu‘il s’était seulement borné à parler du djihad sans jamais passer à l’acte. En somme, ce procès dont la condamnation est un peu plus sévère a pour but de donner une leçon aux militants et à ceux qui veulent s’engager dans la guerre sainte.
Chahinez BENZAGHOU
L'Expression
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