il est révoltant de constater, que dans la question de l'agression d'Israel sur Ghaza, que l'agresseur est traité comme une victime alors que le peuple agressé est traité comme l'opresseur. pourtant les chiffres sont là pour montrer clairement qui est l'agresseur (Israèl qui cause plus de 500 morts et 3000 blessés dans le camp palestinien) alors que l'agressé n'est autre que le peuple palestinien même s'il soutient HAMAS qui n'est arrivée en fin de compte à causer que quelques blessés dans le camp israélien (une dizaine de bléssés au total).
le plus beau , c'est quand on voit toute une communauté internationale soutenir l'agresseur au dépend de la victime et qu'on constate les différents médias ne diffuser que les images qui choquent le moins alors que celles qui peuvent se révéler déterminantes pour l'arrêt de ce génocide et qui peuvent transformer la position de l'opinion internationale ont été soigneusement dissimulées.
dans toute cette foulée, il est heureux de constater des hommes d'honneur qui font partie de l'autre camps rapporter la vérité sur les exactions de l'armée israélienne:
il a également rédigé plusieurs articles sur l'injustice de cette armée qui a oublié qu'elle a en face d'elle des humains (hommes, femmes et vieillards) et non des poupées. voici les liens de quelques uns d'entre eux:
http://www.alencontre.org/page/Pales...tz17_12_04.htm
ancien et toujours d'actualité, le plus merveilleux plaidoyer contre l'occupation de la Palestine que j'ai jamais lu. Voir aussi cet article :
http://europalestine.com/article.php3?id_article=2316 (article publié à l'origine dans Haaretz).
Kamal
le plus beau , c'est quand on voit toute une communauté internationale soutenir l'agresseur au dépend de la victime et qu'on constate les différents médias ne diffuser que les images qui choquent le moins alors que celles qui peuvent se révéler déterminantes pour l'arrêt de ce génocide et qui peuvent transformer la position de l'opinion internationale ont été soigneusement dissimulées.
dans toute cette foulée, il est heureux de constater des hommes d'honneur qui font partie de l'autre camps rapporter la vérité sur les exactions de l'armée israélienne:
"Gideon Lévy a écrit dans LE MONDE du 04.09.06 : une épine dans le flanc d'Israël
J'ai suffisamment tapé sur les juifs dans ce blog pour pouvoir en mettre un à l'honneur, dit Christian LABORDE en parlant de Gideon Lévy. Lisons-le :
Devenu journaliste, durant la première Intifada (1987-1993), son photographe lui dit qu'une Palestinienne, partie accoucher dans une maternité de Jérusalem-Est, avait été refoulée par trois barrages différents. "Je n'y ai pas cru. Des sadiques à un barrage, c'était possible. Trois barrages, non." Il enquête. C'était vrai. Au troisième barrage, la femme avait accouché dans le taxi, puis supplié les soldats de la laisser là mais d'emmener son bébé à l'hôpital. "Ça aussi, ils l'ont refusé." Elle a fait le parcours à pied. A l'arrivée, l'enfant était mort.
"Là, j'ai compris que quelque chose d'épouvantable nous arrivait. Nos jeunes ne sont pas des monstres. La plupart mettraient la main à la poche pour les victimes d'un séisme au Mexique. Pourquoi, dès qu'ils font face aux Palestiniens, se déshumanisent-ils ? Parce que la routine de l'occupation les pourrit, les amène à cesser de voir dans les Arabes des hommes comme eux." Depuis, il raconte, sans relâche, "ce cancer qui nous ronge, plus menaçant que tous les terrorismes : l'occupation d'un autre peuple".
J'ai suffisamment tapé sur les juifs dans ce blog pour pouvoir en mettre un à l'honneur, dit Christian LABORDE en parlant de Gideon Lévy. Lisons-le :
Devenu journaliste, durant la première Intifada (1987-1993), son photographe lui dit qu'une Palestinienne, partie accoucher dans une maternité de Jérusalem-Est, avait été refoulée par trois barrages différents. "Je n'y ai pas cru. Des sadiques à un barrage, c'était possible. Trois barrages, non." Il enquête. C'était vrai. Au troisième barrage, la femme avait accouché dans le taxi, puis supplié les soldats de la laisser là mais d'emmener son bébé à l'hôpital. "Ça aussi, ils l'ont refusé." Elle a fait le parcours à pied. A l'arrivée, l'enfant était mort.
"Là, j'ai compris que quelque chose d'épouvantable nous arrivait. Nos jeunes ne sont pas des monstres. La plupart mettraient la main à la poche pour les victimes d'un séisme au Mexique. Pourquoi, dès qu'ils font face aux Palestiniens, se déshumanisent-ils ? Parce que la routine de l'occupation les pourrit, les amène à cesser de voir dans les Arabes des hommes comme eux." Depuis, il raconte, sans relâche, "ce cancer qui nous ronge, plus menaçant que tous les terrorismes : l'occupation d'un autre peuple".
http://www.alencontre.org/page/Pales...tz17_12_04.htm
ancien et toujours d'actualité, le plus merveilleux plaidoyer contre l'occupation de la Palestine que j'ai jamais lu. Voir aussi cet article :
http://europalestine.com/article.php3?id_article=2316 (article publié à l'origine dans Haaretz).
Kamal
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