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un caillou dans la chaussure !!!!!!!ALM

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  • #16
    L’Algérie traîne, désormais, l’affaire du Sahara comme un boulet. L’âme en peine. Une nostalgie morbide. Elle perd, sans résultat, une énergie folle au détriment des nécessités de son propre développement. Vraiment, le caillou a changé de chaussure
    Khalil HACHIMI IDRISSI se rassure comme il peut , l' Algérie ne traine aucun boulet , elle aide les indépendantistes sahrawis dans leur combat contre le colonialisme marocain et le boulet c'est le Maroc qui le traine ,il ne faut pas inverser les rôles car c'est bien le gouvernement marocain qui négocie avec le Front Polisario sous l'égide de l'ONU , l' Algérie de par sa position , n'est qu'observateur ; etre soutenu par les Us ,la France et avoir un statut avancé avec l'UE ne change en rien les données du conflit sahrawi qui est toujours inscrit à la Quatrième Commision des Nations-Unies.

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    • #17
      Excellente qualité

      Jawzia tu me casses les *******s. Tu croiskoi ? ke je me ferais passer pour un algerien ? ben kasse toi et pense ce que tu veux. jmen bas les *******s fhemti.

      Si tu te crois aussi forte que ca, je te lance 6 dates anniversaires de 6 presidents algeriens a me trouver en 2007 :
      Ben Bella : 25 décembre
      Boumediene: 23 aout
      Chadli : 14 avril
      Boudiaf : 23 Juin
      Zeroual:3 juillet
      Bouteflika : 2 mars

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      • #18
        Donne une date Bennis
        disant avril-mai-juin 2007 .... ça te va ???

        allez trouve moi un artcile marocain sur l'algerie où il n'yaurait pas : sahra, poliz ..bonne chance tu en auras fort besoin

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        • #19
          disant avril-mai-juin 2007 .... ça te va ???

          allez trouve moi un artcile marocain sur l'algerie où il n'yaurait pas : sahra, poliz ..bonne chance tu en auras fort besoin

          Putain je sais pas de kel cote je dois me mettre
          Bon on va essayer

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          • #20
            et si tru veux que je te cherche moi un article algerien sur Maroc où il n'y pas sahra, poliz ..tu n'as qu'à me tenir au courant de la date que tu preferes

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            • #21
              avec un baril à 10 dollars, sa va souffrir à tindouf

              il faut payer les diplomates africains, peruviens et des iles pacifiques. comment va faire el mouradia??

              Et si Boutef et les généraux s'occupaient enfin de la population algérienne? je sais cela parait impossible mais bon on peut esperer

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              • #22
                Khalil HACHIMI IDRISSI se rassure comme il peut , l' Algérie ne traine aucun boulet , elle aide les indépendantistes sahrawis dans leur combat contre le colonialisme marocain et le boulet c'est le Maroc qui le traine ,il ne faut pas inverser les rôles car c'est bien le gouvernement marocain qui négocie avec le Front Polisario sous l'égide de l'ONU , l' Algérie de par sa position , n'est qu'observateur ; etre soutenu par les Us ,la France et avoir un statut avancé avec l'UE ne change en rien les données du conflit sahrawi qui est toujours inscrit à la Quatrième Commision des Nations-Unies.
                c'est pour sa le maroc a ete claire, si il y a une attaque de l'algerie sur le maroc a le droit de fraper tindouf.

                le chois c'est le votre. oubien laisser ces gens quiter le territoire algerien oubien vous etes responsable s'il y a une attaque sur le maroc.
                la guerre froide c'est fini et le maroc a gagne la guerre.

                heureusement que quand le maroc a fait l'annonce le president algerien a rependue le soir meme en disant que que l'algerie ne fera jamais la guerre pour les polizabals.

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                • #23
                  en 7 mn

                  Prenons le mois de Mai 2007 et une recherche sur un seul quotidien ALM

                  le 4/5/2007 http://www.aujourdhui.ma/internation...ails54216.html

                  Passé le week-end dominical, ALM s'y remet le lundi
                  Le 7/5/2007 http://www.aujourdhui.ma/instantanes-details54242.html

                  et en rajoute une couche le mardi
                  Le 8/5/2007 http://www.aujourdhui.ma/couverture-details54296.html

                  Bon , je m'arrête là. Maintenant s'il faille inclure le SO et tutti quanti, ... C'est à la pelle !
                  Dernière modification par jawzia, 20 décembre 2008, 23h46.

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                  • #24
                    ALGÉRIE Nouvel attentat à l'explosif Publié le : 24.07.2007 | 15h08 Un militaire tué et neuf autres blessés
                    Un militaire algérien a été tué et neuf autres ont été blessés, lundi, dans l'explosion d'une bombe visant un convoi de l'armée au lieu-dit Bouchakour entre les communes des Issers et Chaâbat El Amer (wilaya de Boumerdès-50 km à l'est d'Alger), rapporte jeudi la presse algérienne.

                    Deux blessés graves ont été enregistrés parmi les soldats qui s'apprêtaient à regagner leur caserne située dans les environs, précise la même source. Par ailleurs, des sources de presse font état de la poursuite des opérations de l'armée contre les retranchements du "Groupe salafiste de la prédication et du combat" (GSPC), dans la région boisée de la commune de Yakouren (wilaya de Tizi Ouzou) où des positions de la gendarmerie et de la garde communale ont été attaquées la semaine dernière, par un important groupe armé au moyen de roquettes, d'explosifs et d'armes automatiques.

                    L'opération de traque de ce groupe s'était poursuivie dimanche, avec force recours à l'artillerie et aux moyens héliportés. Selon des sources sécuritaires citées par la presse, une vingtaine d'éléments armés parmi une soixantaine qui seraient encerclés depuis le 13 juillet, ont été neutralisés.

                    Toutefois, aucun corps de terroriste n'a été récupéré, rapporte le journal "Liberté", faisant état du repérage des cadavres à l'aide d'équipements sophistiqués dont des caméras numériques et de vision nocturne. D'autre part, il est rapporté de sources sécuritaires, la présence d'un important groupe armé dans les monts du Mizzab (wilaya de Tlemcen-580 km à l'ouest d'Alger).

                    Il serait la cible d'une opération d'encerclement des forces de sécurité, appuyée par d'intenses bombardements, selon le journal "Liberté", qui indique que de nombreux stocks de vivres et d'effets vestimentaires abandonnés par ce groupe armée ont été récupérés par les éléments de l'armée algérienne. Des caches et du matériel traditionnel servant à la fabrication de "bombes artisanales" ont été également découverts.


                    Par | MAP

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                    • #25
                      Le correspondant du figaro devant la justice

                      Le correspondant du journal français «Le Figaro» en Alger, Arezki Aït-Larbi, fait l’objet d’une poursuite en justice pour diffamation. Pourtant, l’affaire remonte à plus de 10 ans.


                      Une nouvelle répression à l’encontre de la liberté d’expression en Algérie. Désormais, le président algérien Abdelaziz Bouteflika n’hésite pas à persécuter les journalistes. Cette fois ci, c’est le correspondant du journal «Le Figaro» à Alger, Arezki Aït-Larbi, qui en est la victime. Il a été convoqué, mercredi, devant le tribunal correctionnel d'Alger Sidi M’hamed pour répondre d'une affaire de diffamation. Le procès a été reporté au 23 mai en raison de l’absence du plaignant. Cette affaire est qualifiée de caduque par «Le Figaro», puisqu'elle remonte à plus d'une douzaine d'années». Le quotidien français avance même que cette poursuite est incompréhensible : «Pour avoir tenté de faire son métier, Aït-Larbi, également, correspondant en Algérie du journal «Ouest-France» se retrouve, aujourd'hui, victime d'un imbroglio kafkaïen». Alors que reproche-t-on au juste à ce journaliste ? Selon le journal français, le fait faisant l’objet de la poursuite en justice remonte à 1994. En cette année-là, Aït-Larbi avait publié un article sur les conditions carcérales au pénitencier de Tazoult-Lambèze. Et faisant rapportant les faits, le journaliste a explicitement mis en cause le directeur de l'application des peines au ministère de la Justice, Abdelkader Sallat.
                      Trois ans après la publication de l’article, le mis en cause porte plainte pour diffamation. Le juge d'instruction prend acte de la plainte et délivre un mandat d'arrêt contre Arezki Aït-Larbi. Pourtant, dans ce cas précisément, souligne le journal français, une simple convocation serait suffisante. Plus que cela, le journaliste algérien n’est même pas informé. Ce n’est que l’an dernier où il apprend le verdict. Et ce, au moment où la police a bloqué le renouvellement de son passeport qui ne lui a été restitué que six mois plus tard à la suite d’une pétition.
                      Une mise en liberté immédiate du journaliste a été prononcée par la magistrate en charge du dossier, après avoir fait état de la mise en exécution du mandat d’arrêt au moment où Aït-Larbi s’apprêtait à se rendre en France, jeudi dernier. La décision de la magistrate a été violée purement et simplement, puisque le journaliste a été transféré à la prison de Serkadji, où il a été écroué avant d’être libéré quelques heures plus tard, rapporte «Le Figaro».
                      Pour ce dernier, il est légitime de se demander, à en juger de la situation, s’il s’agit là d’une procédure d’exception ou s’il fallait l’interpréter comme étant «un simple dysfonctionnement d'une bureaucratie aussi pesante que tatillonne», ou plutôt comme un règlement de compte politique lié à sa couverture du récent procès du milliardaire Rafik Khalifa. Dans cette affaire «emblématique de la corruption des élites dirigeantes» en Algérie, Arezki Aït-Larbi mettait en cause, avec documents à l'appui, divers responsables de premier plan, précise la publication. Et de souligner, en conclusion, que «la presse libre a la vie dure en Algérie» et que depuis 2005, pas moins de 18 journalistes ont encouru des peines d'emprisonnement dans divers procès en diffamation. Arezki Aït-Larbi assimile, pour sa part, son arrestation à un viol de son droit à la libre circulation. Une arrestation et une entrave d'autant plus injustifiables qu'il y a prescription des faits, en plus de la double amnistie (mai et juillet 2006) accordée par le président Abdelaziz Bouteflika pour les journalistes condamnés pour des délits de presse. Cette nouvelle affaire vient de prouver le contraire.


                      Leïla Hallaoui (avec agences)




                      Le 4-5-2007

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                      • #26
                        le premier parle du figaro, le dernier rapporte dela presse algerienne, où est le malheur
                        cherchez nous un article qui condamnera plutot l'algerie en quoique ce soit, sans qu'il n'y ait de poliz+ sahra

                        on vous a pas demandé de nous chercher un article ou figure le mot clé "algerie".. nom de dieu ..un peu d'intelligence basique quand meme
                        Dernière modification par Bennis, 20 décembre 2008, 23h54.

                        Commentaire


                        • #27
                          Ne reflechis pas trop. Vas sur ALM et tape Alger ds la barre de recherche tu verras kil ya presque un article ts les jours (que ds ce journal).

                          Commentaire


                          • #28
                            cherchez nous un article qui condanera plutot l'algerie en quoique ce soit, sans qu'il n'y ait de poliz+ sahra
                            Pchhhhit !!!!

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                            • #29
                              Gaz : L’Algérie s’aligne sur la Russie

                              La tension est montée d’un cran entre l’Algérie et l’Espagne sur le dossier du gaz. Pour faire valoir ses droits, Sonatrach, l’entreprise algérienne des hydrocarbures, a saisi la Commission espagnole de l’énergie (CNE).


                              Dernier épisode en date dans le litige hispano-algérien sur le gaz, le refus de l’entreprise algérienne Sonatrach des conditions espagnoles sur l’augmentation de sa part dans le capital du futur gazoduc sous-marin. En réponse, Sonatrach conditionne sa participation dans le gazoduc. L’Algérie a menacé de liquéfier une partie du gaz du gazoduc Medgaz devant la relier à l’Espagne en 2009, pour le vendre directement, si Madrid persistait à lui refuser d’en avoir 36% des actions, a affirmé le ministre algérien de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil. «Si les blocages venaient à persister, Sonatrach (société publique d’hydrocarbures) opterait pour l’alternative de la liquéfaction de son gaz pour le vendre sur d’autres marchés dans le monde, ce qui rendrait le gazoduc Medgaz économiquement peu rentable», a t-il souligné lors d’une rencontre sur le gaz à Alger. La situation est d’autant plus difficile que le marché du gaz naturel liquéfié (GNL) est en plein essor et l’Europe du Sud et plus particulièrement l’Espagne n’a pas vraiment le choix pour s’approvisionner en gaz dans un contexte marqué par des tensions énergétiques entre l’Europe et la Russie. Par ailleurs, il faut souligner que Sonatrach a introduit, vendredi 8 juin, un recours auprès de la Commission nationale de l’énergie (CNE, organisme régulateur du secteur en Espagne). Il est inutile de rappeler que dans sa première décision, la CNE avait limité Sonatrach à ne vendre directement qu’un milliard de mètres cubes de gaz sur les trois qu’elle détient dans le projet. En même temps, les autorités espagnoles voulaient un engagement de Sonatrach pour ne pas descendre en dessous de 80% dans ses acheminements de gaz à travers le nouveau gazoduc. M. Khelil, qui voit cela comme une contrainte, n’a pas manqué de montrer du doigt la disproportion avec laquelle l’autorité de régulation espagnole traite les dossiers. Il faut dire que ce lourd dossier des relations énergétiques entre l’Espagne et l’Algérie n’est pas une situation nouvelle. L’Algérie avait déjà sanctionné le gouvernement espagnol pour son soutien au projet d’autonomie du Sahara en augmentant le prix du gaz naturel qu’Alger exporte vers l’Espagne. Quelle que soit la décision adoptée par la CNE espagnole, l’Algérie compte camper sur la sienne : Sonatrach ne contibuera au projet qu’ à hauteur de 26% , ce qui risque inévitablement de retarder le projet Medgaz . «A chaque fois qu’il y aura une demande de fonds, nous contribuerons à hauteur de 26% , ce qui représente des risques pouvant retarder l’achèvement du projet», a affirmé Chakib Khelil.




                              Le 12-6-2007
                              Par : Bachir HAJJAJ

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                              • #30
                                Algérie : Pour Ali Belhaj, le boycott des élections législatives dénote le rejet du système


                                L’ampleur du boycott par le peuple algérien des élections législatives du 17 mai dernier, « exprime clairement le rejet par le peuple algérien du système politique en place », a affirmé l’ex-numéro deux du Front Islamique du salut (FIS-dissous), Ali Belhaj.
                                Dans une déclaration publiée jeudi par le journal "El Khabar", l’ex-dirigeant du FIS souligne que le scrutin s’est déroulé « dans des conditions extrêmement mauvaises, marquées par le verrouillage du champ politique, la persistance à occulter les solutions politiques à la crise sécuritaire et la négligence de la réforme économique ». Selon Ali Belhaj, le boycott par l’électorat de ce scrutin « exprime sans détour le refus du système politique et démontre l’échec de la réconciliation nationale décrétée unilatéralement et dont les dispositions n’ont pas reçu d’application sur le terrain».

                                Le 8-6-2007

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