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Après une guerre injuste et particulièrement destructrice en Irak, Georges BUSH peut prendre sa retraite avec la conscience tranquille. Au moins , deux des objectifs de la guerre ont été atteints. Il a réussi à éliminer un « dictateur » et à installer définitivement « la démocratie » au pays du Tigre et de l’Euphrate.
Sa visite d’adieu à ses amis de Baghdad ( EL-MALIKI et EL-HAKIM) a été réellement couronnée de succès grace au « courage et à la bravoure d’EL-MOUNTADHAR, journaliste de la chaine EL-BAGHDADIA ». C’est ainsi qu’a été qualifié le geste de ce SALAH-EDDINE du XXI Siècle par la totalité des médias Arabes.
S’agit-il d’une grossière opération de désinformation en direction d’un public Arabe supposé naîf ?
Ont-ils tout simplement cru à cette mise en scène d’une qualité plus que médiocre ? Si tel est le cas, c’est extrêmement grave pour les masses populaires qu’ils sont sensés éclairer.
Pourtant, la mise en scène était tellement médiocre qu’un gosse d’une douzaine d’années aurait relevé les insuffisances qui ont permis à un présumé journaliste de lancer sa paire de chaussures à la figure du Président des Etats-Unis d’Amérique.
En effet, est-il concevable :
-Que le Président qui piétine les règles protocolaires d’usage en refusant , pour des raisons de sécurité, de communiquer à son homologue Irakien la date de sa visite à Baghdad accorde une conférence de presse à laquelle assistent des dizaines de journalistes venus de n’importe où ?
- Que malgré la menace réelle, la protection rapprochée du Président des USA se trouvait étrangement en dehors de la salle permettant ainsi au « Héros National » d’ajuster et de lancer la première puis la deuxième chaussure sans être inquiété ? Dois-je rappeler que lors de la tournée des popotes et à l’intérieur de zones partculièrement sécurisées des Bases Américaines en Irak, le Président est constamment entouré de sa protection rapprochée.
Pour renforcer ce faible scénario, le service de propagande n’a pas hésité à exploiter le rapport d’enquête sur l’assassinat du Président Algérien Mohamed BOUDIAF , car il semble que comme BOUMAARAFI, EL-MOUNTADHAR n’était pas affecté à la couverture de la conférence de presse. Son nom aurait été ajouté à la dernière minute.
Conscient des « progrès enregistrés par la justice Irakienne grace à la coopération Américaine dans ce domaine », le Président des Etats-Unis se dit très confiant en cette institution qui ne manquera pas de juger l’auteur de l’outrage, cette même institution a laquelle il dénie le droit d’interpeller un agent quelconque des sociétés de sécurité qui pullulent à Baghdad et qui sont à l’origine de centaines de meurtres d’Irakiens.
Pour le reste, le service savait qu’il pouvait compter sur :
- Le célèbre avocat DOULAIMI et d’autres collectifs constitués à travers les pays Arabes de l’Océan au Golfe pour défendre notre SALAHEDDINE des temps modernes et empêcher cette fois-ci sa pendaison pour services rendus.
-BEN LADEN ou son bras droit AIMEN qui ne manquera pas de diffuser un communiqué félicitant EL-MOUNTADHAR et lui promettant une loge au paradis aux cotés d’illustres prédecesseurs qui ont servi la politique Américaine parfois à leur insu.
-Le choix de la date du 14 Décembre ( anniversaire de la mort de Saddam le sunnite ) et du prénom du « héros », EL-MOUNTADHAR ( allusion au MEHDI, dernier Imam Chiite disparu).
Sa visite d’adieu à ses amis de Baghdad ( EL-MALIKI et EL-HAKIM) a été réellement couronnée de succès grace au « courage et à la bravoure d’EL-MOUNTADHAR, journaliste de la chaine EL-BAGHDADIA ». C’est ainsi qu’a été qualifié le geste de ce SALAH-EDDINE du XXI Siècle par la totalité des médias Arabes.
S’agit-il d’une grossière opération de désinformation en direction d’un public Arabe supposé naîf ?
Ont-ils tout simplement cru à cette mise en scène d’une qualité plus que médiocre ? Si tel est le cas, c’est extrêmement grave pour les masses populaires qu’ils sont sensés éclairer.
Pourtant, la mise en scène était tellement médiocre qu’un gosse d’une douzaine d’années aurait relevé les insuffisances qui ont permis à un présumé journaliste de lancer sa paire de chaussures à la figure du Président des Etats-Unis d’Amérique.
En effet, est-il concevable :
-Que le Président qui piétine les règles protocolaires d’usage en refusant , pour des raisons de sécurité, de communiquer à son homologue Irakien la date de sa visite à Baghdad accorde une conférence de presse à laquelle assistent des dizaines de journalistes venus de n’importe où ?
- Que malgré la menace réelle, la protection rapprochée du Président des USA se trouvait étrangement en dehors de la salle permettant ainsi au « Héros National » d’ajuster et de lancer la première puis la deuxième chaussure sans être inquiété ? Dois-je rappeler que lors de la tournée des popotes et à l’intérieur de zones partculièrement sécurisées des Bases Américaines en Irak, le Président est constamment entouré de sa protection rapprochée.
Pour renforcer ce faible scénario, le service de propagande n’a pas hésité à exploiter le rapport d’enquête sur l’assassinat du Président Algérien Mohamed BOUDIAF , car il semble que comme BOUMAARAFI, EL-MOUNTADHAR n’était pas affecté à la couverture de la conférence de presse. Son nom aurait été ajouté à la dernière minute.
Conscient des « progrès enregistrés par la justice Irakienne grace à la coopération Américaine dans ce domaine », le Président des Etats-Unis se dit très confiant en cette institution qui ne manquera pas de juger l’auteur de l’outrage, cette même institution a laquelle il dénie le droit d’interpeller un agent quelconque des sociétés de sécurité qui pullulent à Baghdad et qui sont à l’origine de centaines de meurtres d’Irakiens.
Pour le reste, le service savait qu’il pouvait compter sur :
- Le célèbre avocat DOULAIMI et d’autres collectifs constitués à travers les pays Arabes de l’Océan au Golfe pour défendre notre SALAHEDDINE des temps modernes et empêcher cette fois-ci sa pendaison pour services rendus.
-BEN LADEN ou son bras droit AIMEN qui ne manquera pas de diffuser un communiqué félicitant EL-MOUNTADHAR et lui promettant une loge au paradis aux cotés d’illustres prédecesseurs qui ont servi la politique Américaine parfois à leur insu.
-Le choix de la date du 14 Décembre ( anniversaire de la mort de Saddam le sunnite ) et du prénom du « héros », EL-MOUNTADHAR ( allusion au MEHDI, dernier Imam Chiite disparu).