Urgent : l’Etat algérien abandonne le dinar et met en place un système de troc
Par*La rédaction*sur 13/01/2016Économie
Nous apprenons avec stupeur que le gouvernement compte décréter, dans les prochaines heures, l’abandon du dinar et son remplacement par le troc.
Lors de la présentation de la note de conjoncture économique, M. Laksaci, gouverneur de la banque d’Algérie, avait tenu des propos des plus alarmants et alarmistes. La crise économique, la dévaluation du dinar, l’inflation, l’évasion fiscale et le commerce informel sont autant de facteurs que le gouvernement peine à contrôler, réguler ou à endiguer. C’est pour toutes ces raisons, et sur l’impulsion du premier sinistre, M. Abdelmalek Sellal, il a été décidé la suppression pure et simple de la monnaie nationale. Le ministre des finances, M. Benkhalfa, aurait déclaré en privé qu’avec une telle décision, au-delà du fait que les problèmes liés au dinar (dévaluation, fluctuation des cours de change, inflation…etc.) soient réglés, le génie est dans la suppression du problème lui-même. Le ministre s’attend, en toute logique, à ce que le gouvernement algérien obtienne le prix Nobel d’économie, ce qui lui permettra de faire un pied de nez à la Tunisie et sa révolution des jasmins qui a obtenu celui de la paix, l’année passée.
Par ailleurs, la nouvelle de l’abandon du dinar s’est répandue comme une trainée de poudre, notamment sur les réseaux sociaux. Les cours du change parallèle ont flambé. On apprend ainsi qu’un euro est échangé à plus de 280 DA et un dollar à 250 DA, en raison de la forte demande de ces dernières heures, induite principalement par les liquidités surabondante du commerce informel.
On apprend, selon certaines indiscrétions, que l’Etat algérien va établir des barèmes pour certains produits de première nécessité. Ainsi, un litre d’essence sans plomb sera échangé contre un kilo de semoule. Un litre de super contre une matlou3a. Rien n’a encore filtré pour le gasoil. Aussi, la population sera invitée, dans les prochains jours, à se rendre dans les banques afin d’échanger les dinars en divers objets, conformément au barème fixé et suivant une liste d’objets qui sera établie par le ministère de l’industrie et des mines.
Nous apprenons, d’autre part, que des informaticiens algériens comptent lancer Bitcoin Algérie, une monnaie numérique, plus stable et plus sûre que le dinar. Un partenariat avec le site algérien d’annonces *********, est actuellement en préparation, bien que d’après les créateurs de *********, les activités du site ne seront pas affectées par la suppression du dinar, étant donné que l’échange était déjà proposé aux utilisateurs.
Les pouvoirs publics espèrent que l’entrée du Bitcoin en Algérie permettra de développer le paiement en ligne qu’ils n’ont pas pu mettre en place et que la population et les acteurs économiques pourront enfin faire confiance à leur monnaie, aussi virtuelle soit-elle.
Par*La rédaction*sur 13/01/2016Économie
Nous apprenons avec stupeur que le gouvernement compte décréter, dans les prochaines heures, l’abandon du dinar et son remplacement par le troc.
Lors de la présentation de la note de conjoncture économique, M. Laksaci, gouverneur de la banque d’Algérie, avait tenu des propos des plus alarmants et alarmistes. La crise économique, la dévaluation du dinar, l’inflation, l’évasion fiscale et le commerce informel sont autant de facteurs que le gouvernement peine à contrôler, réguler ou à endiguer. C’est pour toutes ces raisons, et sur l’impulsion du premier sinistre, M. Abdelmalek Sellal, il a été décidé la suppression pure et simple de la monnaie nationale. Le ministre des finances, M. Benkhalfa, aurait déclaré en privé qu’avec une telle décision, au-delà du fait que les problèmes liés au dinar (dévaluation, fluctuation des cours de change, inflation…etc.) soient réglés, le génie est dans la suppression du problème lui-même. Le ministre s’attend, en toute logique, à ce que le gouvernement algérien obtienne le prix Nobel d’économie, ce qui lui permettra de faire un pied de nez à la Tunisie et sa révolution des jasmins qui a obtenu celui de la paix, l’année passée.
Par ailleurs, la nouvelle de l’abandon du dinar s’est répandue comme une trainée de poudre, notamment sur les réseaux sociaux. Les cours du change parallèle ont flambé. On apprend ainsi qu’un euro est échangé à plus de 280 DA et un dollar à 250 DA, en raison de la forte demande de ces dernières heures, induite principalement par les liquidités surabondante du commerce informel.
On apprend, selon certaines indiscrétions, que l’Etat algérien va établir des barèmes pour certains produits de première nécessité. Ainsi, un litre d’essence sans plomb sera échangé contre un kilo de semoule. Un litre de super contre une matlou3a. Rien n’a encore filtré pour le gasoil. Aussi, la population sera invitée, dans les prochains jours, à se rendre dans les banques afin d’échanger les dinars en divers objets, conformément au barème fixé et suivant une liste d’objets qui sera établie par le ministère de l’industrie et des mines.
Nous apprenons, d’autre part, que des informaticiens algériens comptent lancer Bitcoin Algérie, une monnaie numérique, plus stable et plus sûre que le dinar. Un partenariat avec le site algérien d’annonces *********, est actuellement en préparation, bien que d’après les créateurs de *********, les activités du site ne seront pas affectées par la suppression du dinar, étant donné que l’échange était déjà proposé aux utilisateurs.
Les pouvoirs publics espèrent que l’entrée du Bitcoin en Algérie permettra de développer le paiement en ligne qu’ils n’ont pas pu mettre en place et que la population et les acteurs économiques pourront enfin faire confiance à leur monnaie, aussi virtuelle soit-elle.
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