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Une blague et ... bonjour ou au revoir
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"La hiérarchie d'une entreprise, c'est comme un arbre plein de singes, tous sur des branches différentes à des niveaux différents. Certains des singes montent, d'autres descendent. Les singes d'en haut regardent les singes d'en bas et voient un arbre avec plein de visages souriants. Les singes d'en bas regardent en haut et ne voient rien d'autre que des trous du c....""La suprême élégance se confond avec la suprême simplicité."
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y a un peu de poussière la !
Galek wahed voyage beaucoup pour son travail, un jour il rentre chez lui, et trouve sa femme avec son petit bébé métisse, tout content mais ça l'intrigue quand même
Lui : comment ça se fait qu'on est blancs tous les deux et l'enfant est métisse ?
Elle : un jour quand wahed y bi3 fe zitoun, j'ai regardé par la fenêtre c'etait un noir alors twahamt 3lih et voila le resultat !
Lui : Saha ma fiha walou !
Deux jour après la belle mère (mère du gars) arrive et choquée elle demande à son fils comment c'est possible ? il lui raconte l'histoire elle lui répond :
La mère : Ihh Sa7 menha hadi, ana teni 9bel ma tzid reguebt mel balcon twahamt 3la 7mar kan fayet !Pour faire la gueule vous faites travailler 65 muscles, pour sourire 10 suffisent. Alors souriez ...
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Asma nti khatik el bola
On reste toujours m3a notre ami 7mar,
Gallek hmar we hmara tzewjou
ils rentrent après le mariage chez eux, 7mara voit une photo d'un zébre sur un cadre et lui demande qui s'est, il lui répond "ça c'est moi quand je jouais pour la Juventus"Pour faire la gueule vous faites travailler 65 muscles, pour sourire 10 suffisent. Alors souriez ...
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Tous les passagers d’un avion sont à bord, prêts à décoller. Arrive le pilote, il traverse l’avion avec des lunettes noires et une canne blanche. Les passagers estomaqués commencent à rire nerveusement et à faire des commentaires du genre :
Pas possible, ça doit être une blague…
Quand arrive le copilote avec un chien d’aveugle. Les passagers commencent à s’inquiéter sérieusement.
Les pilotes s’installent dans la cabine, quelques minutes se passent, les moteurs s’allument et l’avion prend de la vitesse sur la piste. Muets d’angoisse tout le monde aux hublots regarde pour voir comment ils vont décoller.
L’ avion prend de plus en plus de vitesse et ne décolle pas, le bout de la piste n’est plus qu’à quelques mètres et les passagers poussent tous ensemble un immense cri de désespoir…
les roues se détachent alors du sol juste à quelques millimètres du bout de la piste.
Dans le poste de pilotage, le pilote commente au copilote :
– J’ai l’impression que le temps était plus long pour décoller cette fois-ci
– Tu vas voir qu’un de ces jours on va se planter tout ça parce qu’ils n’auront pas crier assez tôt…
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