Il n’y a pas qui, parmi nous, ne connait pas de blagues ou n’ayant pas été acteur ou/et témoin d’une scène originale et marrante. Alors, pourquoi ne pas les partager dans ce topic? Je crois que ça enchantera tout le monde.
Je me porte volontaire pour commencer.
Pour la blague, je vous propose cette vidéo de Fellag ayant pour titre : La blague de Chadli.
Pour l’anecdote, elle se présente comme suit :
J’avais un collègue de travail qui est natif de la région d’Azazga. Il s’appelle Boudjemâ. Bien qu’exerçant depuis pas mal de temps dans une région arabophone, il n’a pas réussi à maîtriser la langue arabe et, jusqu’à aujourd’hui, il confond toujours "anta" avec "anti" et va jusqu’à glisser dans son parler en arabe, des mots kabyles.
L’histoire s’est déroulée en campagne. Nous étions un petit groupe à faire une promenade en fin de journée. Nous discutions de tout et de rien et le temps passait sans que nous nous apercevions. A un moment donné alors que la lumière du jour commençait à diminuer, une personne parmi nous nous montra une silhouette en nous disant qu’il s’agit de quelqu’un qui est assis. Que fait-il là-bas à cette heure-ci ? Et Boudjemâ de dire qu’il s’agit non pas d’un homme, mais d’un tronc d’arbre. Homme ou arbre ? Un pari a été vite ouvert entre Boudjemâ et l’autre. Comment vérifier ? C’était tout simple : Boudjemâ a pris une pierre qu’il a lancée en direction de la silhouette. Touché ! L’homme, vieux qu’il était, se retourna en disant : wa3la8, we3la8 ! Et Boudjemâ de répondre : S’ma7ni, ma7sabtekch radjel!! Cette expression nous a tués de rire et nous nous la racontons toujours.
Je me porte volontaire pour commencer.
Pour la blague, je vous propose cette vidéo de Fellag ayant pour titre : La blague de Chadli.
Pour l’anecdote, elle se présente comme suit :
J’avais un collègue de travail qui est natif de la région d’Azazga. Il s’appelle Boudjemâ. Bien qu’exerçant depuis pas mal de temps dans une région arabophone, il n’a pas réussi à maîtriser la langue arabe et, jusqu’à aujourd’hui, il confond toujours "anta" avec "anti" et va jusqu’à glisser dans son parler en arabe, des mots kabyles.
L’histoire s’est déroulée en campagne. Nous étions un petit groupe à faire une promenade en fin de journée. Nous discutions de tout et de rien et le temps passait sans que nous nous apercevions. A un moment donné alors que la lumière du jour commençait à diminuer, une personne parmi nous nous montra une silhouette en nous disant qu’il s’agit de quelqu’un qui est assis. Que fait-il là-bas à cette heure-ci ? Et Boudjemâ de dire qu’il s’agit non pas d’un homme, mais d’un tronc d’arbre. Homme ou arbre ? Un pari a été vite ouvert entre Boudjemâ et l’autre. Comment vérifier ? C’était tout simple : Boudjemâ a pris une pierre qu’il a lancée en direction de la silhouette. Touché ! L’homme, vieux qu’il était, se retourna en disant : wa3la8, we3la8 ! Et Boudjemâ de répondre : S’ma7ni, ma7sabtekch radjel!! Cette expression nous a tués de rire et nous nous la racontons toujours.
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