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L'effet ventouse
L'effet ventouse
C'est un monsieur qui appelle le docteur :
- "Allô, docteur, ma femme nettoyait le sol du salon en tenue légère. Elle a glissé et fait le grand écart. Maintenant, euh... Elle est collée, comment dire ? Ça fait ventouse...-... ?"
Le docteur ne sait pas quoi faire et la situation n'évolue pas. Désespéré, le monsieur appelle le carreleur. Celui-ci vient constater en urgence, se gratte la tête longuement et propose :
- "Je ne vois qu'une solution : je vais découper un mètre du sol en marbre tout autour de votre femme, comme ça nous pourrons soulever le tout. On fera ensuite un petit trou par dessous avec une perceuse, l'air va rentrer et votre femme sera libérée..."
Le mari rétorque :
- "Ah mais oui, mais dites donc, c'est que le marbre, ça vaut 500 euros du m2, vous en avez de bonnes ! Moi je suis pas d'accord, trouvez quelque chose de moins cher..."
Le carreleur réfléchit, réfléchit et puis il dit : "Si on peut la faire glisser jusqu'à la cuisine, vous avez du carrelage bon marché, là-bas... "
Henri Thoa
C'est un monsieur qui appelle le docteur :
- "Allô, docteur, ma femme nettoyait le sol du salon en tenue légère. Elle a glissé et fait le grand écart. Maintenant, euh... Elle est collée, comment dire ? Ça fait ventouse...-... ?"
Le docteur ne sait pas quoi faire et la situation n'évolue pas. Désespéré, le monsieur appelle le carreleur. Celui-ci vient constater en urgence, se gratte la tête longuement et propose :
- "Je ne vois qu'une solution : je vais découper un mètre du sol en marbre tout autour de votre femme, comme ça nous pourrons soulever le tout. On fera ensuite un petit trou par dessous avec une perceuse, l'air va rentrer et votre femme sera libérée..."
Le mari rétorque :
- "Ah mais oui, mais dites donc, c'est que le marbre, ça vaut 500 euros du m2, vous en avez de bonnes ! Moi je suis pas d'accord, trouvez quelque chose de moins cher..."
Le carreleur réfléchit, réfléchit et puis il dit : "Si on peut la faire glisser jusqu'à la cuisine, vous avez du carrelage bon marché, là-bas... "
Henri Thoa
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