La Bourse de Casablanca, qui avait enregistré vendredi à mi-séance sa plus forte baisse depuis au moins l'an 2000, s'est redressée à la clôture et l'indice général (MASI) n'a cédé que 0,35%.
En milieu de séance il avait perdu 4,52% alors que l'indice boursier des principales valeurs de cette Bourse, le Madex, a terminé avec une perte de 0,31% après avoir atteint -4,79%.
Le 14 mai 2007, la bourse de Casablanca avait essuyé une sévère correction de -4,45% du MASI.
Jeudi, le ministre des Finances, Salah Eddine Mezouar, avait estimé qu'il ne fallait pas se laisser emporter par les analyses qui incitent à la vente (des actions) à la bourse de Casablanca.
"Si nous perdons confiance, nous perdons tout", avait-il souligné, lançant un "avertissement" en direction de "ceux qui se jouent de la confiance des citoyens".
Par ailleurs, le gouverneur de la banque centrale marocaine, Bank Al-Maghrib, a indiqué que le Maroc pouvait offrir une zone de repli pour les investisseurs touchés par la crise financière internationale.
"Je pense que le Maroc a des atouts pour offrir une base de repli dans cette conjoncture difficile", a déclaré M. Jouahri dans un entretien au quotidien Le Matin (pro-ouvernemental) publié vendredi.
Pour cela, "il faut que nous puissions continuer à agir comme régulateurs dans les règles les plus rigoureuses possibles", a-t-il dit.
© 2008 AFP.
En milieu de séance il avait perdu 4,52% alors que l'indice boursier des principales valeurs de cette Bourse, le Madex, a terminé avec une perte de 0,31% après avoir atteint -4,79%.
Le 14 mai 2007, la bourse de Casablanca avait essuyé une sévère correction de -4,45% du MASI.
Jeudi, le ministre des Finances, Salah Eddine Mezouar, avait estimé qu'il ne fallait pas se laisser emporter par les analyses qui incitent à la vente (des actions) à la bourse de Casablanca.
"Si nous perdons confiance, nous perdons tout", avait-il souligné, lançant un "avertissement" en direction de "ceux qui se jouent de la confiance des citoyens".
Par ailleurs, le gouverneur de la banque centrale marocaine, Bank Al-Maghrib, a indiqué que le Maroc pouvait offrir une zone de repli pour les investisseurs touchés par la crise financière internationale.
"Je pense que le Maroc a des atouts pour offrir une base de repli dans cette conjoncture difficile", a déclaré M. Jouahri dans un entretien au quotidien Le Matin (pro-ouvernemental) publié vendredi.
Pour cela, "il faut que nous puissions continuer à agir comme régulateurs dans les règles les plus rigoureuses possibles", a-t-il dit.
© 2008 AFP.
Commentaire