Un Cluster «Clean Tech» à Casablanca
L’étude réalisée avec le soutien financier du conseil de la région, a permis d’identifier
« l’industrie des équipements de production de l’énergie renouvelable » comme un
secteur porteur avec une potentiel de 30 000 emplois à horizon 2020.
Ce potentiel est soutenu par :
- La forte croissance mondiale de la demande en énergies renouvelables que ce soit pour des exigences
de développement durable ou pour la réduction de la dépendance vis-à-vis du pétrole.
- La très forte tension sur les unités de fabrications installées en Europe et aux USA ou le délai de livraison pour
les éoliennes dépasse 30 mois.
- La capacité des challengers asiatique a bouleversé le classement dominé par les européens et les américains,
cristallisée par l’achat de l’allemand REPOWER par l’indien SUZLON.
- Les besoins de l’économie nationale que va générer la réforme en cours d’élaboration du secteur de l’énergie
et l’objectif de 10% de contribution de l’énergie renouvelable au bouquet énergétique national.
Ce potentiel, le Grand Casablanca a souhaité le transformer en positionnement comme plateforme compétitive
de production et de RD dans le secteur de l’éolien, du solaire et de l’économie d’énergie, de dimension
mondiale. Ce positionnement se justifie par :
- L’engagement des élus de la région et de la ville a contribuer à la valorisation du foncier de 120 ha identifié
à cet effet pour en faire le plus grand parc « Clean Tech » d’Afrique.
- Les expériences réussies dans l’aéronautique, ou le travail des matériaux composites est assez similaire à celui
des pales d’éoliennes ; et dans les équipements électriques, ou des entreprises casablancaises exportatrices
ont développés un savoir faire capitalisable dans les convertisseurs d’éoliennes et dans l’assemblage de
panneaux solaire.
- L’implication des universités de Casablanca et de Mohammedia dans l’élaboration de cette stratégie de Cluster
qui ont développé depuis plusieurs années des filières de formation et de RD que ce soit dans l’éolien ou dans
le solaire.
- La proximité logistique notamment avec le marché européen et africain qui pourrait être alimenté soit à partir
du port de Casablanca ou du port de Tanger Med grâce à la connexion autoroutière directe.
- La centra lité du Grand Casablanca qui permettra de réduire les couts logistiques importants pour les éoliennes
et qui permet d’alimenter aussi bien le nord que le sud du Maroc.
La nature a doté notre pays d’un potentiel d’énergies renouvelables exceptionnel. Le Cluster «Clean Tech» du
Grand Casablanca souhaite transformer ce potentiel de production d’énergie propre en opportunité
d’industrialisation nouvelle pour un territoire ou l’enjeu emploi a été estimé par le SDAU à 1 000 000 sur la
période 2005-2030.
Hamid BEN ELAFDIL
Directeur du Centre Régional d’Investissement
du Grand Casablanca
directeur@**************
L’étude réalisée avec le soutien financier du conseil de la région, a permis d’identifier
« l’industrie des équipements de production de l’énergie renouvelable » comme un
secteur porteur avec une potentiel de 30 000 emplois à horizon 2020.
Ce potentiel est soutenu par :
- La forte croissance mondiale de la demande en énergies renouvelables que ce soit pour des exigences
de développement durable ou pour la réduction de la dépendance vis-à-vis du pétrole.
- La très forte tension sur les unités de fabrications installées en Europe et aux USA ou le délai de livraison pour
les éoliennes dépasse 30 mois.
- La capacité des challengers asiatique a bouleversé le classement dominé par les européens et les américains,
cristallisée par l’achat de l’allemand REPOWER par l’indien SUZLON.
- Les besoins de l’économie nationale que va générer la réforme en cours d’élaboration du secteur de l’énergie
et l’objectif de 10% de contribution de l’énergie renouvelable au bouquet énergétique national.
Ce potentiel, le Grand Casablanca a souhaité le transformer en positionnement comme plateforme compétitive
de production et de RD dans le secteur de l’éolien, du solaire et de l’économie d’énergie, de dimension
mondiale. Ce positionnement se justifie par :
- L’engagement des élus de la région et de la ville a contribuer à la valorisation du foncier de 120 ha identifié
à cet effet pour en faire le plus grand parc « Clean Tech » d’Afrique.
- Les expériences réussies dans l’aéronautique, ou le travail des matériaux composites est assez similaire à celui
des pales d’éoliennes ; et dans les équipements électriques, ou des entreprises casablancaises exportatrices
ont développés un savoir faire capitalisable dans les convertisseurs d’éoliennes et dans l’assemblage de
panneaux solaire.
- L’implication des universités de Casablanca et de Mohammedia dans l’élaboration de cette stratégie de Cluster
qui ont développé depuis plusieurs années des filières de formation et de RD que ce soit dans l’éolien ou dans
le solaire.
- La proximité logistique notamment avec le marché européen et africain qui pourrait être alimenté soit à partir
du port de Casablanca ou du port de Tanger Med grâce à la connexion autoroutière directe.
- La centra lité du Grand Casablanca qui permettra de réduire les couts logistiques importants pour les éoliennes
et qui permet d’alimenter aussi bien le nord que le sud du Maroc.
La nature a doté notre pays d’un potentiel d’énergies renouvelables exceptionnel. Le Cluster «Clean Tech» du
Grand Casablanca souhaite transformer ce potentiel de production d’énergie propre en opportunité
d’industrialisation nouvelle pour un territoire ou l’enjeu emploi a été estimé par le SDAU à 1 000 000 sur la
période 2005-2030.
Hamid BEN ELAFDIL
Directeur du Centre Régional d’Investissement
du Grand Casablanca
directeur@**************
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