Menace sur la sécurité nationale
La décroissance de l'économie mondiale devrait se poursuivre jusqu'à fin 2009, l'Asie étant fortement imbriquée dans l'économie mondiale.Car la demande d'hydrocarbures risque d'être plus faible que prévu, selon un rapport de l'AIE,, la demande de pétrole aux Etats-Unis étant plus faible de 3,8% par rapport à l'année dernière et "la tendance baissière a des chances de se maintenir en raison des facteurs de moyen terme, comme le ralentissement de l'activité mondiale ".Une crise asiatique à l'instar des années 1998/1999 serait catastrophique, pur des pays reposant sur la rente à forte population comme l'Algérie ou l'Iran, (l'OPEP ne contrôlant que 40% de la production commercialisée expliquant que la dernière mesure de la réduction n'a pas eu les effets sur la tendance lourde s'échangeant à moins de 99 dollars le baril le 11/13 septembre 2008) et des pays hors OPEP comme laRussie qui tire sa puissance de Gazprom. Comme devront être tenu compte les économies d'énergie, le substitut progressif au pétrole/gaz qui ont une durée de réserves de 30/50 ans selon le vecteur prix (un gisement est rentable à 100 dollars le baril et non rentable à 60/70 dollars) du charbon dont la durée de vie est estimée au minimum à 200 ans (les techniques nouvelles anti-pollution permettant le recyclage du carbone), 100 ans pour l'uranium sans préjuger des nouvelles source d'énergie dont le solaire. Les spécialistes de l'énergie estiment que sur les réserves algériennes initiales prouvées d'environ 4600 milliards de mètres cubes de gaz, 80% d'entre elles sont récupérables alors que 15% ont déjà été exploitées. Environ 1000 milliards supplémentaires sont considérés comme réserves probables et qu'il faille inclure la consommation intérieure pour évaluer la durée de vie de nos réserves de gaz. Pour le pétrole la durée de vie serait de moitié. Nous estimerons la production journalière algérienne de pétrole à environ 1,4 millions de barils jours (en réalité 1.380.000, en 2007, l'Algérie allant au-delà de son quota de 200.000 barils jour) soit pour 365 jours, une moyenne de 500.110..000 barils. Pour le gaz (dont le prix est indexé sur celui du pétrole avec 62/64 milliards de mètres cubes gazeux) en équivalent barils pétrole, cela représente en moyenne un millions de barils jours l'Algérie allant vers 80 milliards de mètres cubes exportables soit allant en tendance, en volume physique, vers 1,2 à 1,4 millions de tonnes équivalent pétrole soit, le même niveau de production pétrole. Les recettes en gaz pour 2007 représente 40% des recettes globales, le physique pouvant ne pas correspondre à la valeur monétaire d'autant plus que le prix de cession du gaz au niveau mondial est actuellement sous évaluée (investissement lourd et marge bénéficiaire réduite), l'Algérie demandant une augmentation d'un dollar par million de BTU. Aussi, je ne rentrerai pas dans le détail des exportations de certains produits à valeur ajoutée (minimes) qui sont minimes dans la structure du montant des exportations, (et l'idée récente de la lancer vient peut être en retard, la concurrence étant vivace et les segments de marchés étant été déjà prix). Pour mes calculs, je prendrai la moyenne de 2,6 millions de barils/jour 2008/2009 (pétrole et gaz tenant compte de l'extension Medgaz, Galsi), donnant une quantité annuelle de 1000 millions barils/an. Pour la chute d'un dollar par baril, le manque à gagner annuel sera donc de 1 milliard de dollars pétrole plus gaz. Comme je prendrai la moyenne premier semestre 2007/premier semestre 2008, le cours de 140 dollars le baril et l'appréciation du dollar pour la même période de 10%. Partant de là , l'économie algérienne depuis des décennies reposant sur la rente, (plus de 98% des exportations, les discours d'exportation hors hydrocarbures datant de 1970 à nos jours sans résultats ) , j'émets trois hypothèses du manque à gagner pour l'Algérie en prenant comme base le programme de soutien à la relance économique estimée par la loi de fiances complémentaire à 200 milliards de dollars soit des dépenses annuelles uniquement pour ce programme de 33 milliards de dollars/an . En réalité il semblerait que le montant de ce programme serait supérieur, ce qui creuserait l'écart des besoins de financement.
Hypothèse1 cours plancher 100 dollar - appréciation du dollar de 10% .
Le manque à gagner pour la chute d'un dollar pondéré par l'appréciation du dollar de 10% serait de 990 millions de dollars de manque à gagner. Pour une chute moyenne annuelle de 40 dollars le manque à gagner globale serait de 39 milliards de dollars soit 109% du programme de soutien à la relance économique.
La décroissance de l'économie mondiale devrait se poursuivre jusqu'à fin 2009, l'Asie étant fortement imbriquée dans l'économie mondiale.Car la demande d'hydrocarbures risque d'être plus faible que prévu, selon un rapport de l'AIE,, la demande de pétrole aux Etats-Unis étant plus faible de 3,8% par rapport à l'année dernière et "la tendance baissière a des chances de se maintenir en raison des facteurs de moyen terme, comme le ralentissement de l'activité mondiale ".Une crise asiatique à l'instar des années 1998/1999 serait catastrophique, pur des pays reposant sur la rente à forte population comme l'Algérie ou l'Iran, (l'OPEP ne contrôlant que 40% de la production commercialisée expliquant que la dernière mesure de la réduction n'a pas eu les effets sur la tendance lourde s'échangeant à moins de 99 dollars le baril le 11/13 septembre 2008) et des pays hors OPEP comme laRussie qui tire sa puissance de Gazprom. Comme devront être tenu compte les économies d'énergie, le substitut progressif au pétrole/gaz qui ont une durée de réserves de 30/50 ans selon le vecteur prix (un gisement est rentable à 100 dollars le baril et non rentable à 60/70 dollars) du charbon dont la durée de vie est estimée au minimum à 200 ans (les techniques nouvelles anti-pollution permettant le recyclage du carbone), 100 ans pour l'uranium sans préjuger des nouvelles source d'énergie dont le solaire. Les spécialistes de l'énergie estiment que sur les réserves algériennes initiales prouvées d'environ 4600 milliards de mètres cubes de gaz, 80% d'entre elles sont récupérables alors que 15% ont déjà été exploitées. Environ 1000 milliards supplémentaires sont considérés comme réserves probables et qu'il faille inclure la consommation intérieure pour évaluer la durée de vie de nos réserves de gaz. Pour le pétrole la durée de vie serait de moitié. Nous estimerons la production journalière algérienne de pétrole à environ 1,4 millions de barils jours (en réalité 1.380.000, en 2007, l'Algérie allant au-delà de son quota de 200.000 barils jour) soit pour 365 jours, une moyenne de 500.110..000 barils. Pour le gaz (dont le prix est indexé sur celui du pétrole avec 62/64 milliards de mètres cubes gazeux) en équivalent barils pétrole, cela représente en moyenne un millions de barils jours l'Algérie allant vers 80 milliards de mètres cubes exportables soit allant en tendance, en volume physique, vers 1,2 à 1,4 millions de tonnes équivalent pétrole soit, le même niveau de production pétrole. Les recettes en gaz pour 2007 représente 40% des recettes globales, le physique pouvant ne pas correspondre à la valeur monétaire d'autant plus que le prix de cession du gaz au niveau mondial est actuellement sous évaluée (investissement lourd et marge bénéficiaire réduite), l'Algérie demandant une augmentation d'un dollar par million de BTU. Aussi, je ne rentrerai pas dans le détail des exportations de certains produits à valeur ajoutée (minimes) qui sont minimes dans la structure du montant des exportations, (et l'idée récente de la lancer vient peut être en retard, la concurrence étant vivace et les segments de marchés étant été déjà prix). Pour mes calculs, je prendrai la moyenne de 2,6 millions de barils/jour 2008/2009 (pétrole et gaz tenant compte de l'extension Medgaz, Galsi), donnant une quantité annuelle de 1000 millions barils/an. Pour la chute d'un dollar par baril, le manque à gagner annuel sera donc de 1 milliard de dollars pétrole plus gaz. Comme je prendrai la moyenne premier semestre 2007/premier semestre 2008, le cours de 140 dollars le baril et l'appréciation du dollar pour la même période de 10%. Partant de là , l'économie algérienne depuis des décennies reposant sur la rente, (plus de 98% des exportations, les discours d'exportation hors hydrocarbures datant de 1970 à nos jours sans résultats ) , j'émets trois hypothèses du manque à gagner pour l'Algérie en prenant comme base le programme de soutien à la relance économique estimée par la loi de fiances complémentaire à 200 milliards de dollars soit des dépenses annuelles uniquement pour ce programme de 33 milliards de dollars/an . En réalité il semblerait que le montant de ce programme serait supérieur, ce qui creuserait l'écart des besoins de financement.
Hypothèse1 cours plancher 100 dollar - appréciation du dollar de 10% .
Le manque à gagner pour la chute d'un dollar pondéré par l'appréciation du dollar de 10% serait de 990 millions de dollars de manque à gagner. Pour une chute moyenne annuelle de 40 dollars le manque à gagner globale serait de 39 milliards de dollars soit 109% du programme de soutien à la relance économique.
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