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Tunis : La nouvelle ville dans la ville pour 25 milliards Usd

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  • #16
    super ! rien avoir ac le projet alger medina

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    • #17
      très belles photos montage
      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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      • #18
        super ! rien avoir ac le projet alger medina

        Iwachngouleck , bonjour , je t'arrête net , je viens de rentrer d'Alger , et par curiosité j'etais à cette endroit ou cette nouvelle ville doit être construite , cet endroit jadis s'appellé sablette , eh ben j'ai rien vu même pas l'ombre d'"une pière , &alors elle est ou cette ville fantôme , ils nous font berner avec des faux projets au moment ou ils se remplissent les poches , et nous pauvres naîfs nous continuons à croire à leures histoires , c'est comme ce metro qui ne verra jamais le bout du tunnel .
        Faute de grives , nous mangeons des Merles

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        • #19
          Bravo !!

          Envoyé par mfa12
          A quand, un tel projet en Algérie??

          Pourquoi, chez nous les choses tarde à voir le jour??

          Que des promesses, mais jamais quelque chose de concret??
          Au moment où nos voisins attirent des projets d'investisseurs arabes à coût de milliards de dollars. Des projets qui trouvent toutes les facilités pour leur concrétisation. Nos stratèges économiques trouvent les moyens pour les faire fuir de l'Algérie :

          Algérie : les nouvelles mesures Ouyahia marquent la fin des investissements arabes dans l'immobilier

          Par Sonia Lyes
          Le 13/09/2008
          TSA

          «Les récentes mesures prises par le gouvernement dans le domaine du foncier signe la fin des projets d’investissements arabes dans le tourisme et l’immobilier de luxe. Aucun investisseur actuellement présent en Algérie ne peut faire face à la situation née de ces nouvelles lois». Pour ce proche des milieux d’affaires du Golfe en Algérie, un départ massif des investisseurs arabes pourrait intervenir dans les prochaines semaines. Il décrit un climat de fortes inquiétudes parmi les chefs d’entreprises du Golfe implantées en Algérie. Ils redoutent de voir leurs projets tomber à l’eau, faute de foncier disponible et pour cause d’impossibilité de vendre sur plan.

          En effet, selon nos informations, un seul investisseur arabe est propriétaire de ses terrains à l’ouest d’Alger. Il s’agit de la société Emiral qui a obtenu des terrains d’une superficie totale de 6,5 hectares pour un «prix symbolique» afin de réaliser un projet immobilier et touristique dans la région de Zeralda. Mais cette société est au cœur d’une polémique qui pourrait déboucher sur un scandale impliquant également une banque libanaise installée en Algérie.

          «Emiral est aujourd’hui le seul groupe à avoir un acte de propriété de son terrain», affirme notre source. Tous les autres groupes du Golfe n’ont reçu que des promesses de la part du ministre du tourisme et de l’aménagement du territoire Chérif Rahmani et parfois de Hamid Temmar, le ministre de la Promotion de l’Investissement. Mais ces promesses pourraient s’avérer difficiles à tenir dans le nouveau contexte né des mesures prises par le nouveau gouvernement Ouyahia. M. Temmar se fait très discret et Chérif Rahmani est contesté au sein du gouvernement. L’avenir des hommes paraît aujourd’hui incertain.

          L’autre raison qui pousserait les investisseurs arabes à abandonner leurs projets dans l’immobilier et le tourisme est économique. La décision du gouvernement d’interdire les ventes sur plan dans les projets réalisés sur des terrains appartenant à l’Etat - révélée en exclusivité par TSA (lire notre article)- a profondément modifié le modèle économique des projets lancés par les investisseurs du Golfe. Tous les promoteurs prévoyaient une partie «vente sur plans» dans leurs projets pour financer ces deniers. Même le groupe EIIC, qui a réaffirmé il y a une semaine son engagement à réaliser le Parc Dounia, envisagerait en réalité de revoir à la baisse ses ambitions algériennes. «Il est quasi-impossible de financer un projet de plusieurs milliards de dollars dans l’immobilier sans prévoir une partie de vente sur plan», conclut notre source.
          Dernière modification par shadok, 13 septembre 2008, 17h52.
          Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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          • #20
            C'est quoi le problème de la vente sur plan ???? Surtout que ça crée des milliers d'emplois et que ça attire d'autre investisseurs et des entreprises, le million d'algérien qui passe ses vacances en Tunisie ou tout au moins une partie d'entre eux ne vont pas se gêner pour acheter sur plan en Tunisie. Les programmes immobilier poussent comme des champignons et surtout que la loi qui autorise les étrangers à acheter est passé, encore des milliards de dinars qui va passer la frontière à cause d'un gouvernement vieux jeu et démodé.
            Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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            • #21
              Au moment où nos voisins attirent des projets d'investisseurs arabes à coût de milliards de dollars. Des projets qui trouvent toutes les facilités pour leur concrétisation. Nos stratèges économiques trouvent les moyens pour les faire fuir de l'Algérie :
              Ce n'est qu'une jolie maquette encore, et vous en parlez comme si c'est déjà fait !!

              Et puis pour oser dépenser dans un pays autant que son PIB dans un seul projet à un endroit restreint, il faut le faire et je ne crois pas qu'un opérateur étranger puisse prendre un tel engagement.

              Et puis pour l'article tendencieux de TSA (qui est connu pour ce genre de médiocres analyses) je lui réponds juste par cet article qui n'est qu'un simple échantillon du degrés d'engagement des promoteurs immobiliers en Algérie :


              « Cité de la Mer », un méga projet immobilier pour Oran

              Oran, la capitale de l’ouest algérien, sera bientôt dotée d’un immense projet immobilier. En effet, un méga projet portant réalisation d'un ensemble immobilier de 2391 logements haut standing, baptisé « Cité de la Mer », a fait l'objet d'une séance de présentation. La rencontre a été animée par les promoteurs de cet investissement, un groupe saoudien, en présence des autorités locales et plusieurs cadres des secteurs de l'habitat et de l'urbanisme.

              La « Cité de la Mer » sera bâtie sur un site de 11,5 hectares longeant la frange maritime Est d'Oran, « selon les meilleures solutions technologiques au monde », a expliqué un responsable du groupe saoudien SNASCO initiateur de ce projet évalué à plus de 400 millions d'euros. Le futur ensemble immobilier comprendra quatre îlots résidentiels de grande hauteur, un centre d'affaires, des parkings, une vaste zone piétonnière et plusieurs espaces verts, a fait savoir l'investisseur.

              La conception de ce site a été confiée à un autre opérateur économique étranger, le groupe sud-coréen Kunwon qui s'est engagé, pour sa part, sur une architecture de style arabo-mauresque et une esthétique en harmonie avec l'environnement naturel et urbain.

              La première phase relative à l'étude de ce projet, réalisée par le bureau technique français Ernest Young, vient d'être achevée, signale-t-on en précisant que la « Cité de la Mer » sera livrée dans sa totalité dans un délai approximatif de quatre ans. Cette opération constitue le premier investissement en Algérie de l'opérateur économique saoudien depuis son implantation en 2007 en Algérie.

              La séance de présentation a été animée notamment par le vice-président de SNASCO, M. Talal Al Sorayaï, et le Président Directeur Général de Kunwon, le coréen Song Dae Sup. La convention cadre pour la réalisation de ce projet avait été signée le 2 juillet dernier à Oran entre SNASCO et l'Entreprise de promotion du logement familial (EPLF), propriétaire de l'assiette foncière, rappelle-t-on. SNASCO est un groupe appartenant à une ancienne famille saoudienne aujourd’hui spécialisé dans l’industrie et le commerce, mais surtout dans les projets immobiliers d’envergure.
              Alors sérieusement s'ils voulaient partir comme TSA veut le faire croire, ils n'auraient pas pris la peine de dépenser de l'argent en marketing et en annonces pour de nouveaux projets.
              Dernière modification par mendz, 13 septembre 2008, 18h40.

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              • #22
                @mendz

                Saha Ftourek,

                Ce n’est pas le 1er projet immobilier des pays du Golf qui voit le jour en Tunisie et au Maroc. Là bas, les investisseurs étrangers trouvent un seul interlocuteur qui prend des engagements : la famille royale ou la famille Ben Ali.

                Chez nous, personne ne peut prendre une décision ni Temmar (ministre de l'investissement), ni Cherif Rahmani (ministre de l'aménagement du territoire) ni même le président de la république. Bouteflika essaye de faire jouer ses connaissances pour attirer les investisseurs arabes mais une fois sur le terrain ces derniers sont vite déroutés par la multiplicité des interlocuteurs, les blocages administratifs, les problèmes du foncier, les changements de politiques, les conflits d’intérêts ….

                Les exemples ne manquent pas :

                - Le projet du groupe Emaar n’est pas si loin

                - Le projet du centre commercial WTC (World Trade Center) des qataris du groupe Al-Rayan (amis de Bouteflika) à El-Hamma qui a pris 5 années de retard pour se limiter à la fin à 2 simples bâtiments

                - Le méga projet touristique italien à Oran « Voile méditerranéenne » d’un milliard d’Euros qui n’a reçu aucune suite

                Et je passe.

                On verra pour les autres projets qui viennent d'être annoncés.

                Wait & See ...
                Dernière modification par shadok, 14 septembre 2008, 00h13.
                Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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