Bonjour, si ça marche aux aux USA, alors logiquement ça doit aussi marcher en France et dans la vielle europe, n’est-ce pas ?
Un clandestin, ça fait marcher le commerce "Les immigrés clandestins font marcher l'économie américaine", affirme l'hebdomadaire Business Week, qui est allé à la découverte du monde pas si souterrain des travailleurs illégaux aux Etats-Unis. "Ils sont 11 millions - certains parlent même de 20 millions - à être entrés et à demeurer illégalement aux Etats-Unis, à y vivre, à y travailler et surtout et avant tout à y consommer." Car, note Business Week, les entreprises américaines de la grande consommation, sans états d'âmes, tentent désormais de conquérir ce marché des clandestins, potentiellement énorme. "L'Association nationale de l'immobilier hispanique estime que rien qu'en prêts immobiliers les clandestins représentent un minimum de 60 milliards d'emprunts sur les cinq prochaines années. Et le Pew Hispanic Center, qui est un think tank consacré aux Etasuniens d'origine hispanique, calcule que le revenu moyen d'un ménage de clandestins varie entre 27 000 et 46 000 dollars par an", soit grosso modo entre 1 800 et 3 000 euros par mois.
L'essentiel des immigrés clandestins aux Etats-Unis sont des locuteurs de l'espagnol, dont l'écrasante majorité provient du Mexique et entre illégalement aux Etats-Unis en franchissant le Rio Grande. Une autre partie de ces immigrés viennent d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud, entrent avec un visa touristique et restent sur place pour y construire leur vie, explique le magazine, qui illustre son propos avec un couple, en prenant soin de masquer leurs noms.
"Lui a 30 ans, elle en a 29 ; ils ont deux filles, l'une de 8 ans et l'autre de 2 mois. Ils possèdent un restaurant-mobile dans lequel ils cuisinent des tacos, des empanadas et autres aliments de type tex-mex. Ils sont entrés aux Etats-Unis voilà cinq ans en passant de nuit le Rio Grande. Ils se sont procuré les papiers de base au consulat du Mexique et, avec cela, ils ont obtenu les documents leur permettant de payer leurs impôts et donc d'avoir accès à des emprunts bancaires.
La suite...
Un clandestin, ça fait marcher le commerce "Les immigrés clandestins font marcher l'économie américaine", affirme l'hebdomadaire Business Week, qui est allé à la découverte du monde pas si souterrain des travailleurs illégaux aux Etats-Unis. "Ils sont 11 millions - certains parlent même de 20 millions - à être entrés et à demeurer illégalement aux Etats-Unis, à y vivre, à y travailler et surtout et avant tout à y consommer." Car, note Business Week, les entreprises américaines de la grande consommation, sans états d'âmes, tentent désormais de conquérir ce marché des clandestins, potentiellement énorme. "L'Association nationale de l'immobilier hispanique estime que rien qu'en prêts immobiliers les clandestins représentent un minimum de 60 milliards d'emprunts sur les cinq prochaines années. Et le Pew Hispanic Center, qui est un think tank consacré aux Etasuniens d'origine hispanique, calcule que le revenu moyen d'un ménage de clandestins varie entre 27 000 et 46 000 dollars par an", soit grosso modo entre 1 800 et 3 000 euros par mois.
L'essentiel des immigrés clandestins aux Etats-Unis sont des locuteurs de l'espagnol, dont l'écrasante majorité provient du Mexique et entre illégalement aux Etats-Unis en franchissant le Rio Grande. Une autre partie de ces immigrés viennent d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud, entrent avec un visa touristique et restent sur place pour y construire leur vie, explique le magazine, qui illustre son propos avec un couple, en prenant soin de masquer leurs noms.
"Lui a 30 ans, elle en a 29 ; ils ont deux filles, l'une de 8 ans et l'autre de 2 mois. Ils possèdent un restaurant-mobile dans lequel ils cuisinent des tacos, des empanadas et autres aliments de type tex-mex. Ils sont entrés aux Etats-Unis voilà cinq ans en passant de nuit le Rio Grande. Ils se sont procuré les papiers de base au consulat du Mexique et, avec cela, ils ont obtenu les documents leur permettant de payer leurs impôts et donc d'avoir accès à des emprunts bancaires.
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