Ca commence en septembre
La zone de libre-échange Algérie – UE en vigueur à partir de septembre
La commission technique de suivi installée aujourd’hui à Alger
L’installation officielle de la commission technique de suivi de la mise en œuvre de la zone de libre-échange entre l’Algérie et l’Union européenne aura lieu aujourd’hui, à Alger, au siège de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI).
Cette commission, qui sera installée par le ministre du Commerce, M. El-Hachemi Djaâboub, aura pour président M. Mohamed Chami, directeur général de la CACI, et sera composée des représentants de l’ensemble des organisations patronales et des administrations et institutions concernées par la mise en œuvre de la zone de libre-échange.
Parmi les missions principales de la commission technique de suivi, un communiqué du ministère du Commerce cite, entre autres, le suivi de l’évaluation de la mise en œuvre de la zone de libre-échange, l’enregistrement ainsi que l’examen des requêtes émises par les opérateurs économiques et, enfin, la formulation de toute proposition en vue d’améliorer les transactions et le flux commercial entre les deux parties.
Seront présents à la cérémonie d’installation de la commission technique, outre M. Chami, l’ensemble des présidents des organisations patronales, à savoir UNEP, FCE, CNPA, CGEA, CIPA et SEVE, ainsi que le président de la Chambre nationale d’agriculture, indique le ministère du Commerce dans son communiqué.
Il convient de rappeler, dans ce contexte, que la disparition totale des barrières douanières interviendra, selon les termes de l’accord d’association conclu entre l’Algérie et l’Union européenne, douze ans après l’entrée en vigueur de l’accord.
Progressivement et à partir du mois de septembre, on assistera donc à un démantèlement tarifaire graduel qui, toujours selon l’accord, devra prendre fin dans une durée de trois ans pour certains produits, tandis que pour d’autres, il prendra plus de temps et pourra se prolonger jusqu’à douze ans.
Le temps que les produits nationaux soient aux standards internationaux et, donc, atteignent le niveau de compétitivité escompté. En attendant, beaucoup reste à faire, selon les nombreux spécialistes qui se sont exprimés sur le devenir de la production nationale avant même que l’accord ne soit paraphé par les différentes parties concernées.
La situation étant irréversible, il s’agit donc de s’atteler à l’achèvement de la mise à niveau des entreprises, à l’amélioration de l’outil de production, etc. La majorité écrasante des industriels algériens n’ont pas hésité à montrer leur appréhension quant aux conséquences de l’accord.
La zone de libre-échange Algérie – UE en vigueur à partir de septembre
La commission technique de suivi installée aujourd’hui à Alger
L’installation officielle de la commission technique de suivi de la mise en œuvre de la zone de libre-échange entre l’Algérie et l’Union européenne aura lieu aujourd’hui, à Alger, au siège de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI).
Cette commission, qui sera installée par le ministre du Commerce, M. El-Hachemi Djaâboub, aura pour président M. Mohamed Chami, directeur général de la CACI, et sera composée des représentants de l’ensemble des organisations patronales et des administrations et institutions concernées par la mise en œuvre de la zone de libre-échange.
Parmi les missions principales de la commission technique de suivi, un communiqué du ministère du Commerce cite, entre autres, le suivi de l’évaluation de la mise en œuvre de la zone de libre-échange, l’enregistrement ainsi que l’examen des requêtes émises par les opérateurs économiques et, enfin, la formulation de toute proposition en vue d’améliorer les transactions et le flux commercial entre les deux parties.
Seront présents à la cérémonie d’installation de la commission technique, outre M. Chami, l’ensemble des présidents des organisations patronales, à savoir UNEP, FCE, CNPA, CGEA, CIPA et SEVE, ainsi que le président de la Chambre nationale d’agriculture, indique le ministère du Commerce dans son communiqué.
Il convient de rappeler, dans ce contexte, que la disparition totale des barrières douanières interviendra, selon les termes de l’accord d’association conclu entre l’Algérie et l’Union européenne, douze ans après l’entrée en vigueur de l’accord.
Progressivement et à partir du mois de septembre, on assistera donc à un démantèlement tarifaire graduel qui, toujours selon l’accord, devra prendre fin dans une durée de trois ans pour certains produits, tandis que pour d’autres, il prendra plus de temps et pourra se prolonger jusqu’à douze ans.
Le temps que les produits nationaux soient aux standards internationaux et, donc, atteignent le niveau de compétitivité escompté. En attendant, beaucoup reste à faire, selon les nombreux spécialistes qui se sont exprimés sur le devenir de la production nationale avant même que l’accord ne soit paraphé par les différentes parties concernées.
La situation étant irréversible, il s’agit donc de s’atteler à l’achèvement de la mise à niveau des entreprises, à l’amélioration de l’outil de production, etc. La majorité écrasante des industriels algériens n’ont pas hésité à montrer leur appréhension quant aux conséquences de l’accord.
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