Annoncées mercredi, les prochaines hausses des tarifs de l'électricité (+2%) et du gaz (+5%) ont causé une forte polémique, jeudi 7 août, en plein débat sur les problèmes de pouvoir d'achat des Français.
Du côté des associations, le groupement de consommateurs CLCV a pointé une hausse "pas très opportune" dans un contexte de baisse du prix du baril de pétrole, alors que la Conféderation nationale du logement a dénoncé "une attaque de plus contre le pouvoir d'achat des familles".
"Racket boursier"
Même tollé du côté des syndicats, qui se sont néanmoins avoués peu surpris de ces hausses qui surviennent alors que GDF a été privatisé pour fusionner avec Suez. La CGT a déploré une décision "inadmissible" et FO une mesure "cynique", alors que la CFTC et la CFDT ont réclamé une désindexation du prix du pétrole sur le gaz.
Les partis d'opposition, enfin, se sont également élevés contre cette mesure: le PS y a vu un "nouveau coup dur pour le pouvoir d'achat des Français en pleine période estivale" et a pointé l'"excellente" santé financière d'EDF et GDF Suez, alors que le PC a estimé que cette décision constituait un "racket boursier orchestré par le gouvernement".
Du côté des associations, le groupement de consommateurs CLCV a pointé une hausse "pas très opportune" dans un contexte de baisse du prix du baril de pétrole, alors que la Conféderation nationale du logement a dénoncé "une attaque de plus contre le pouvoir d'achat des familles".
"Racket boursier"
Même tollé du côté des syndicats, qui se sont néanmoins avoués peu surpris de ces hausses qui surviennent alors que GDF a été privatisé pour fusionner avec Suez. La CGT a déploré une décision "inadmissible" et FO une mesure "cynique", alors que la CFTC et la CFDT ont réclamé une désindexation du prix du pétrole sur le gaz.
Les partis d'opposition, enfin, se sont également élevés contre cette mesure: le PS y a vu un "nouveau coup dur pour le pouvoir d'achat des Français en pleine période estivale" et a pointé l'"excellente" santé financière d'EDF et GDF Suez, alors que le PC a estimé que cette décision constituait un "racket boursier orchestré par le gouvernement".
Commentaire