L’Algérie ambitionne d'atteindre un milliard de dollars d’exportations hors hydrocarbures Une ambition qui a du mal pourtant à se concrétiser tant il est difficile d’engager des opérations d’exportation en l’absence d’aide et d’assistance.
Les PMU algériennes qui sont engagées dans l’exportation tentent tant bien que mal de poursuivre l’opération dans un environnement qui est de plus en plus difficile et estiment que le marché financier n’est pas encore en mesure de les aider à se développer davantage.
Par ailleurs, les pouvoirs publics font de l’encouragement à l’exportation une priorité des mesures d’encouragement et de facilitations, mais l’exportation va mal, et pour cause nous avons du mal à atteindre l’objectif “un milliard de dollars d’exportations” en dépit de toutes les bonnes intentions affichées. Les exportateurs algériens se plaignent toujours, surtout sur un environnement bancaire qui n’est pas à la hauteur, des banque qui ne font pas confiance aux exportateurs. L’Etat parle de l’exportation mais il n’y a pas vraiment une cellule spécifique pour justement aller sur l’exportation.
En effet, tout est basé sur la confiance, mais les établissements bancaires craignent les problèmes de rapatriement de la devise, donc de perdre de l’argent, mais si le client respecte l’engagement de rapatriement notamment et de fourniture du document la banque exécute, car la banque n’est qu’un intermédiaire et, bien sûr, il doit garantir aussi les opérations de rapatriement à partir du moment où il s’engage à domicilier. Il y a eu énormément de problèmes.
Effectivement, les banques ont la crainte de ne pas voir l’argent rapatrié. Si une relation s’établie entre un client et la banque, il n’y a aucune raison pour que la banque pose des problèmes.
Par ailleurs, les exportateurs proposent de développer les produits de financement des exportations et les généraliser à tous les secteurs économiques, c’est l’un des secteurs essentiels de développement des exportations. Les économistes parlent aujourd’hui de la nécessité d’encourager les PMU à l’exportation, sachant que le marché financier algérien dispose aujourd’hui des banques qui proposent de développer les PMU. Enfin, les pouvoirs publics doivent justement intervenir pour développer les mécanismes de développement appropriés.
Par la Dépêche de Kabylie
Les PMU algériennes qui sont engagées dans l’exportation tentent tant bien que mal de poursuivre l’opération dans un environnement qui est de plus en plus difficile et estiment que le marché financier n’est pas encore en mesure de les aider à se développer davantage.
Par ailleurs, les pouvoirs publics font de l’encouragement à l’exportation une priorité des mesures d’encouragement et de facilitations, mais l’exportation va mal, et pour cause nous avons du mal à atteindre l’objectif “un milliard de dollars d’exportations” en dépit de toutes les bonnes intentions affichées. Les exportateurs algériens se plaignent toujours, surtout sur un environnement bancaire qui n’est pas à la hauteur, des banque qui ne font pas confiance aux exportateurs. L’Etat parle de l’exportation mais il n’y a pas vraiment une cellule spécifique pour justement aller sur l’exportation.
En effet, tout est basé sur la confiance, mais les établissements bancaires craignent les problèmes de rapatriement de la devise, donc de perdre de l’argent, mais si le client respecte l’engagement de rapatriement notamment et de fourniture du document la banque exécute, car la banque n’est qu’un intermédiaire et, bien sûr, il doit garantir aussi les opérations de rapatriement à partir du moment où il s’engage à domicilier. Il y a eu énormément de problèmes.
Effectivement, les banques ont la crainte de ne pas voir l’argent rapatrié. Si une relation s’établie entre un client et la banque, il n’y a aucune raison pour que la banque pose des problèmes.
Par ailleurs, les exportateurs proposent de développer les produits de financement des exportations et les généraliser à tous les secteurs économiques, c’est l’un des secteurs essentiels de développement des exportations. Les économistes parlent aujourd’hui de la nécessité d’encourager les PMU à l’exportation, sachant que le marché financier algérien dispose aujourd’hui des banques qui proposent de développer les PMU. Enfin, les pouvoirs publics doivent justement intervenir pour développer les mécanismes de développement appropriés.
Par la Dépêche de Kabylie
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