ALGER, 2 juil 2008 (AFP) - Le marché du gaz naturel liquéfié (GNL) augmentera de 8% par an jusqu'en 2020, a déclaré le Président Directeur Général de la compagnie publique algérienne d'hydrocarbures Sonatrach Mohamed Meziane mercredi à Madrid devant le 19è congrès mondial du pétrole.
M. Meziane, dont les propos sont rapportés par l'agence Algérie Presse Service (APS), a relevé que le gaz naturel couvre déjà le quart des besoins mondiaux en énergie.
La croissance future du gaz en fera à la fois un produit "régional" en raison du développement des approvisionnements par gazoducs et un produit "mondial" en raison du développement du tranport du GNL par méthaniers qui atteindront les marchés les plus éloignés des zones de production, a-t-il souligné.
M. Meziane s'est par ailleurs prononcé en faveur de contrats de gaz à court terme à la place des contrats actuels représentant 80% du marché, dont la durée dépasse vingt ans. Il a souligné que les contrats à court terme étaient "plus fluides".
Le PDG de Sonatrach a réaffirmé que la mise en place d'un cartel du gaz, à l'instar de l'OPEp pour le pétrole, "n'est pas aisée". "Dans l'intérêt de tous, le marché du gaz doit être plus libre et stable, avec des prix justes et la sécurité de l'offre et de la demande", a-t-il ajouté.
M. Meziane, dont les propos sont rapportés par l'agence Algérie Presse Service (APS), a relevé que le gaz naturel couvre déjà le quart des besoins mondiaux en énergie.
La croissance future du gaz en fera à la fois un produit "régional" en raison du développement des approvisionnements par gazoducs et un produit "mondial" en raison du développement du tranport du GNL par méthaniers qui atteindront les marchés les plus éloignés des zones de production, a-t-il souligné.
M. Meziane s'est par ailleurs prononcé en faveur de contrats de gaz à court terme à la place des contrats actuels représentant 80% du marché, dont la durée dépasse vingt ans. Il a souligné que les contrats à court terme étaient "plus fluides".
Le PDG de Sonatrach a réaffirmé que la mise en place d'un cartel du gaz, à l'instar de l'OPEp pour le pétrole, "n'est pas aisée". "Dans l'intérêt de tous, le marché du gaz doit être plus libre et stable, avec des prix justes et la sécurité de l'offre et de la demande", a-t-il ajouté.
Commentaire