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BYD dit non au Maroc : l’usine de batteries électriques de Tanger Tech abandonnée

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  • BYD dit non au Maroc : l’usine de batteries électriques de Tanger Tech abandonnée

    2 avril 2024 - 08h00 - Maroc - Ecrit par : A.P

    Le groupe chinois BYD, leader mondial de véhicules électriques, vient de renoncer à son projet d’implantation d’une usine de batteries électriques à Tanger Tech. En cause, la faible vente de ses bus électriques au Maroc.

    Le géant chinois se plaint de la lenteur dans la transition des sociétés de transport public vers les bus électriques. Seule ALSA Maroc, la filiale marocaine du groupe espagnol, a lancé la commande de bus électriques, un faible engouement qui ne motive pas le groupe chinois à installer une usine de production de batteries électriques à Tanger Tech, fait savoir El Español. Le 9 décembre 2017 à Casablanca, le PDG de BYD Auto Industry, Wang Chuanfu, avait signé, en présence du roi Mohammed VI, un protocole d’accord pour la construction d’usines au Maroc, en partenariat avec l’homme d’affaires marocain, Mehdi Laraki.

    À lire : Maroc : une usine de cathodes pour batteries électriques pour 3 milliards de dirhams

    Le projet comprenait la construction d’une usine de batteries de voitures électriques, d’une usine de bus et camions électriques et d’une usine de voitures monorail électriques sur une superficie de 50 hectares dont 30 couverts. Ce projet devrait générer 2 500 emplois directs et contribuer au renforcement des relations entre la Chine et l’Afrique. En plus des trois usines, la construction d’une unité de production de voitures électriques était également prévue. Près de sept ans plus tard, le projet est resté au point mort. En attendant sa réalisation, BYD a signé un accord de partenariat avec le premier distributeur automobile marocain, Auto Nejma Mercedes-Benz Maroc, pour la commercialisation de ses véhicules électriques au Maroc.

    À lire : Le Maroc attire un nouveau géant chinois de la batterie électrique

    Pendant ce temps, le chef du gouvernement marocain, Aziz Akhannouch, a signé vendredi à Rabat un accord d’investissement d’environ 300 millions d’euros avec le groupe chinois BTR New Material pour la construction d’une unité de production de cathodes, un composant essentiel des batteries des véhicules électriques. Cette usine d’une capacité de 50 000 tonnes par an, sera construite à Tanger Tech sur une superficie de 15 hectares. Sa mise en service est prévue pour septembre 2026 dans une première phase avec une production de 25 000 tonnes par an.

    À lire : Le Maroc, nouvel eldorado des batteries de voiture électrique ?

    Cet investissement dans le secteur de la mobilité électrique « n’est pas isolé », a déclaré Mohcine Jazouli, le ministre de l’Investissement, soulignant qu’il est le premier d’une série de plusieurs projets de grande envergure à venir, visant à positionner le Maroc comme un pôle attractif pour l’industrie des batteries de véhicules électriques. Par ailleurs, le ministre de l’Industrie, Ryad Mezzour, a tenu le 25 mars à Rabat une réunion avec tous les importateurs de véhicules utilitaires pour leur « proposer d’assembler 1 500 autobus urbains au Maroc en moins de deux ans », fait savoir une source du secteur, ajoutant que ces derniers « lui ont répondu qu’il était impossible de faire une chose pareille, avec les ressources et le marché actuel ».
    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

  • #2
    Au fait, ce projet n’a jamais existé

    Une arnaque d’escrocs du marrouk destiné aux esprits crédules marocains.. une majorité
    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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    • #3
      Les Chinois sont de vrais rapaces.
      ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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      • #4
        Une propagande des mkhaznias qui tombe dans l’eau.
        Le maroc n’est pas de taille

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        • #5
          Une arnaque d’escrocs du marrouk destiné aux esprits crédules marocains.. une majorité
          en effet...ca prend pas beaucoup pour le bonheur du 3ayyach
          ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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          • #6
            Le gisement de Lithium trouvé dans le sud du maroc par contre est réel.

            Bizarrement, Rabat ne précise pas où exactement ?

            Commentaire


            • #7
              Il sont pauvre et ont besoin d'investissement avec des campagnes de mensonges où tout le monde se bousculent pour investir au maroc ça peut faire décidé quelque uns avec ce faux gâteau à partager.

              Commentaire


              • #8
                Si la moitié des projets évoqué aboutisse, ce sera déjà bien.

                Commentaire


                • #9
                  ol semblerait que l'Algérie lorgnerait sur cet investissement
                  y a des chances que les Chinois finissent par installer leur usine en Algérie.
                  ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                  Commentaire


                  • #10
                    BYD démontre que le projet est un bide.

                    Pardon
                    J'aime surfer sur la vague du chaos.

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                    • #11

                      Si la moitié des projets évoqué aboutisse, ce sera déjà bien.
                      Avec le projet de BTR qui est confirmé et qui a commencé, c'est a lui seul, une excellente nouvelle qui sonne le début de la transition a l'industrie automobile électrique au Maroc et le lancement effective de la cité Tanger Tech.

                      Avec 2500 emplois à la clé

                      Batteries électriques: ce que va apporter l’implémentation du Chinois BTR au Maroc


                      Le chef du gouvernement et les responsables de BTR, lors de la signature de la convention d'investissement, le vendredi 29 mars à Rabat.

                      Avec l’implémentation du Chinois BTR, le Maroc consolide sa place de hub continental et régional dans l’industrie automobile. Une revue de presse tirée de l’hebdomadaire La Vie Éco.

                      Par Khalil Rachdi

                      Le chef du gouvernement a présidé la cérémonie de signature de la convention d’investissement et de démarrage des travaux du projet de l’usine de cathodes pour véhicules électriques du groupe chinois BTR New Material, pour un montant de 3 milliards de dirhams avec la création de 2.500 emplois.

                      Ce projet d’envergure, le premier dans l’écosystème des batteries électriques au Maroc, prévoit l’implantation d’une usine d’une capacité de 50.000 tonnes par an au sein de la Cité Mohammed VI Tanger Tech, rapporte l’hebdomadaire La Vie Éco.

                      Le projet, dont les travaux ont d’ores et déjà démarré, est porté par le groupe chinois BTR, un des leaders mondiaux de la fabrication de composants pour batteries électriques. Il compte parmi ses clients les principaux fabricants de batteries électriques, tels que BYD, CATL, Volkswagen ou encore Tesla.

                      Son implémentation au Maroc va être développée en deux phases, sur une superficie de 15 hectares. La mise en exploitation de la première phase d’une capacité de 25.000 tonnes est prévue dès septembre 2026, rapportent les mêmes sources.

                      D’après l’hebdomadaire, le Maroc est devenu, sous le leadership du roi Mohammed VI, un leader régional incontournable de l’industrie automobile. Le choix du Royaume, dans le cadre de ce projet, traduit ainsi la confiance renouvelée des investisseurs internationaux pour la destination Maroc.

                      Pour rappel, ce projet d’envergure intervient à un moment où le secteur connaît une profonde transformation au niveau mondial avec la transition vers le véhicule électrique.

                      Dans ce sens, Mohcine Jazouli, ministre délégué en charge de l’investissement, a souligné à cette occasion que «cet investissement n’est pas isolé, (mais) il est le premier de plusieurs projets d’envergure à venir, positionnant ainsi le Royaume comme un pôle attractif pour l’industrie des batteries pour véhicules électriques et acteur incontournable dans la production de composants vitaux pour l’avenir du secteur».

                      D’après Jazouli, «le Maroc est résolu, sous la conduite éclairée du roi Mohammed VI, à consolider sa place de hub continental et régional dans l’industrie automobile, en jouant un rôle central dans cette révolution de la mobilité verte».

                      Par Khalil Rachdi
                      Le 31/03/2024 à 22h08

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                      • #12
                        BYD démontre que le projet est un bide.
                        Pourquoi tu mens ?

                        BYD a renoncé parce qu'elle a conditionné l'installation de son usine au Maroc par l'acquisition de ses bus électriques par les sociétés marocaines de transport public. Mais le Maroc a préféré céder ce marché aux espagnols. On leur doit bien ça aux espagnols.

                        Mais comme dit l'adage, une de perdue, dix de retrouvées !

                        BTR, une autre entreprise chinoise de batteries électriques va s'implanter dans la zone industrielle de Tanger Automotive City. Sans poser de conditions.

                        CNGR Advanced Material Company (Chinoise aussi), construira un complexe de production à Jorf Lasfar

                        Gotion High-Tech (encore une chinoise) construira son usine à Atlantic Free Zone (Kénitra).

                        Guangzhou Tinci Materials Technology a aussi l'intention de construire une usine de batteries au Maroc.

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                        • #13
                          J'ai une explication plus logique..

                          Haddou a posté un sujet sur une armada de ministres français qui vont déferler à Rabat..

                          Objectif : les sept tranches du dossier TGV et le développement de l'investissement Renault et Peugeot. Ce développement passe par des modèles de voiture électrique.

                          La piste du constructeur chinois est donc un leurre. De la négociation politique..

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                          • #14
                            Mais le Maroc a préféré céder ce marché aux espagnols. On leur doit bien ça aux espagnols.
                            le maroc aurait pu choisir meilleurs bus ! Ceux de SNVI


                            BTR, une autre entreprise chinoise de batteries électriques va s'implanter dans la zone industrielle de Tanger Automotive City. Sans poser de conditions.
                            je suppose btr sera simple prestataire pour Renault et Peugeot

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                            • #15
                              BYD a laissé tomber le maroc pour l'Algérie !


                              BYD ne vise pas seulement de la main d'œuvre docile et pas chère, d'où le choix de l'Algérie au détriment du maroc.

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