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Selon une récente analyse économique de la plateforme spécialisée dans la recherche sur les marchés des services logistiques « Ti Insight », le Maroc se démarque de plus en plus comme une destination de choix pour les investissements étrangers en Afrique. L’annonce récente du portail économique confirme cette tendance à la hausse, plaçant le Royaume au deuxième rang continental après l’Égypte.
La Chine et l’Inde caracolent en tête du podium en termes d’attraction des investissements étrangers, tandis qu’en Afrique, l’Égypte se positionne en première place, suivie de près par le Maroc. Cet emplacement n’est pas anodin, il est le fruit d’efforts marocains soutenus visant à renforcer les infrastructures commerciales et logistiques du pays, offrant ainsi un environnement propice aux investisseurs étrangers.
« Près de 62 % des professionnels de la logistique mondiale déclarent que leurs entreprises prévoient des investissements supplémentaires ou des premiers investissements en Afrique, selon une enquête annuelle très suivie du secteur », lit-on sur le site spécialisé.
Près de 62 % des professionnels de la logistique mondiale déclarent que leurs entreprises prévoient des investissements supplémentaires ou des premiers investissements en Afrique, selon une enquête annuelle très suivie du secteur », lit-on sur le site spécialisé.
L’enquête menée auprès de 830 cadres logistiques fait partie du 15e indice annuel « Agility Emerging Markets Logistics Index ». Ce dernier classe les pays en fonction de leur compétitivité globale sur la base de leurs forces logistiques, de leur climat des affaires et de leur préparation à l’inclusion numérique, des facteurs qui les rendent attrayants pour les prestataires logistiques, les transitaires, les transporteurs aériens et maritimes, les distributeurs et les investisseurs.
Le sondage, qui a scruté plus de 50 pays à travers le monde, place le Maroc au neuvième rang dans le monde arabe. Les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite et le Qatar dominent ce classement, mais le Maroc n’est pas en reste, affichant des atouts majeurs qui séduisent les acteurs internationaux.
Dans l’indice 2024, le classement de la plupart des économies africaines a peu changé par rapport à l’année précédente, mais les entreprises indiquent qu’elles envisagent une croissance démographique massive et une expansion du commerce stimulées par la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF).
En 15 ans d’existence de l’indice, nous n’avons jamais été aussi optimistes à l’égard de l’Afrique », déclare Tarek Sultan, vice-président d’Agility. « La population africaine doublera d’ici 2050, date à laquelle une personne sur quatre sera africaine », ajoute-t-il.
D’après les experts : « Les entreprises internationales réalisent que le moment est venu pour l’Afrique, elles doivent investir, établir leurs marques et développer la prochaine génération de talents africains si elles veulent profiter de la prochaine vague de croissance ».
Les forces du Maroc résident dans ses bases commerciales solides en Afrique, un avantage stratégique qui attire les investisseurs en quête de nouveaux marchés dynamiques. En parallèle, l’Égypte se distingue par ses services logistiques internationaux de premier ordre, tandis que le Kenya brille par sa préparation numérique avancée, signalant ainsi une concurrence rude et stimulante au sein du continent africain.
L’analyse menée par « theafricalogistics » confirme cet engouement pour le Maroc en révélant que jusqu’à 800 cadres logistiques ont été mobilisés pour évaluer la compétitivité des pays. Ces derniers ont été classés en fonction de leurs forces logistiques, du climat des affaires et de leur préparation numérique. Ces critères, primordiaux pour les prestataires de services logistiques, les transitaires, les compagnies aériennes et maritimes, ainsi que les investisseurs, mettent en lumière le potentiel attractif du Maroc sur la scène internationale.
L’année 2024 semble promettre une nouvelle ère de croissance pour le continent africain, portée par une expansion démographique notable et le déploiement de la ZLECAf. Cette dynamique favorise un climat propice aux investissements, incitant les entreprises internationales à saisir les opportunités offertes par l’Afrique. Par ailleurs, les défis économiques mondiaux, exacerbés par la pandémie deCovid-19, ont mis en évidence la nécessité d’innover dans le domaine de la logistique. John Manners-Bell, directeur général de Ti, a souligné que « les gestionnaires de la chaîne d’approvisionnement continuent de s’accommoder de l’instabilité politique et économique qui caractérise l’économie mondiale post-COVID ». « Les entreprises doivent être attentives aux opportunités et aux menaces qui existent sur les marchés émergents et utiliser des données, telles que celles de l’Agility Emerging Market Logistics Index, pour prendre des décisions agiles », conseille-t-il.
En conclusion, le Maroc se positionne comme un acteur majeur dans l’attraction des investissements étrangers en Afrique, bénéficiant de solides infrastructures commerciales, d’une logistique performante et d’une vision résolument tournée vers le numérique.
hespress
La Chine et l’Inde caracolent en tête du podium en termes d’attraction des investissements étrangers, tandis qu’en Afrique, l’Égypte se positionne en première place, suivie de près par le Maroc. Cet emplacement n’est pas anodin, il est le fruit d’efforts marocains soutenus visant à renforcer les infrastructures commerciales et logistiques du pays, offrant ainsi un environnement propice aux investisseurs étrangers.
« Près de 62 % des professionnels de la logistique mondiale déclarent que leurs entreprises prévoient des investissements supplémentaires ou des premiers investissements en Afrique, selon une enquête annuelle très suivie du secteur », lit-on sur le site spécialisé.
Près de 62 % des professionnels de la logistique mondiale déclarent que leurs entreprises prévoient des investissements supplémentaires ou des premiers investissements en Afrique, selon une enquête annuelle très suivie du secteur », lit-on sur le site spécialisé.
L’enquête menée auprès de 830 cadres logistiques fait partie du 15e indice annuel « Agility Emerging Markets Logistics Index ». Ce dernier classe les pays en fonction de leur compétitivité globale sur la base de leurs forces logistiques, de leur climat des affaires et de leur préparation à l’inclusion numérique, des facteurs qui les rendent attrayants pour les prestataires logistiques, les transitaires, les transporteurs aériens et maritimes, les distributeurs et les investisseurs.
Le sondage, qui a scruté plus de 50 pays à travers le monde, place le Maroc au neuvième rang dans le monde arabe. Les Émirats arabes unis, l’Arabie saoudite et le Qatar dominent ce classement, mais le Maroc n’est pas en reste, affichant des atouts majeurs qui séduisent les acteurs internationaux.
Dans l’indice 2024, le classement de la plupart des économies africaines a peu changé par rapport à l’année précédente, mais les entreprises indiquent qu’elles envisagent une croissance démographique massive et une expansion du commerce stimulées par la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF).
En 15 ans d’existence de l’indice, nous n’avons jamais été aussi optimistes à l’égard de l’Afrique », déclare Tarek Sultan, vice-président d’Agility. « La population africaine doublera d’ici 2050, date à laquelle une personne sur quatre sera africaine », ajoute-t-il.
D’après les experts : « Les entreprises internationales réalisent que le moment est venu pour l’Afrique, elles doivent investir, établir leurs marques et développer la prochaine génération de talents africains si elles veulent profiter de la prochaine vague de croissance ».
Les forces du Maroc résident dans ses bases commerciales solides en Afrique, un avantage stratégique qui attire les investisseurs en quête de nouveaux marchés dynamiques. En parallèle, l’Égypte se distingue par ses services logistiques internationaux de premier ordre, tandis que le Kenya brille par sa préparation numérique avancée, signalant ainsi une concurrence rude et stimulante au sein du continent africain.
L’analyse menée par « theafricalogistics » confirme cet engouement pour le Maroc en révélant que jusqu’à 800 cadres logistiques ont été mobilisés pour évaluer la compétitivité des pays. Ces derniers ont été classés en fonction de leurs forces logistiques, du climat des affaires et de leur préparation numérique. Ces critères, primordiaux pour les prestataires de services logistiques, les transitaires, les compagnies aériennes et maritimes, ainsi que les investisseurs, mettent en lumière le potentiel attractif du Maroc sur la scène internationale.
L’année 2024 semble promettre une nouvelle ère de croissance pour le continent africain, portée par une expansion démographique notable et le déploiement de la ZLECAf. Cette dynamique favorise un climat propice aux investissements, incitant les entreprises internationales à saisir les opportunités offertes par l’Afrique. Par ailleurs, les défis économiques mondiaux, exacerbés par la pandémie deCovid-19, ont mis en évidence la nécessité d’innover dans le domaine de la logistique. John Manners-Bell, directeur général de Ti, a souligné que « les gestionnaires de la chaîne d’approvisionnement continuent de s’accommoder de l’instabilité politique et économique qui caractérise l’économie mondiale post-COVID ». « Les entreprises doivent être attentives aux opportunités et aux menaces qui existent sur les marchés émergents et utiliser des données, telles que celles de l’Agility Emerging Market Logistics Index, pour prendre des décisions agiles », conseille-t-il.
En conclusion, le Maroc se positionne comme un acteur majeur dans l’attraction des investissements étrangers en Afrique, bénéficiant de solides infrastructures commerciales, d’une logistique performante et d’une vision résolument tournée vers le numérique.
hespress