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Pourquoi le Maroc est important pour la transition énergétique allemande

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  • #16
    Non il n’a pas été retenu parce que le projet Desertec était un projet régional et Alger l’a fait capoter dans la logique je me crève un œil pour crever au Maroc ses deux yeux.

    Le reste de l’histoire on le connaît, le Maroc a fait cavalier seul et est en train de… tout rafler…

    qu’est ce qu’on va rigoler quand le pétrole et le gaz commenceront à diminuer en Algérie
    Dernière modification par ayoub7, 01 mai 2023, 16h42.
    "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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    • #17
      Bon ...un projet gigantesque dans le solaire avait ete propose a l'Algerie par les allemands , il y a quelques années , et n'a pas retenu les faveurs des decideurs...ils trouvaient que le pays va juste servir de basse cour pour l'elevage au profit des allemands sans aucun benifice technologique ou autres ...qu'en est il ????
      Non, desertec c'était un projet global qui concernait l'ensemble de l'Afrique du nord. Mais par manque d'interêt pour une raison ou une autre des milieux politique et économique en Allemagne et en Europe, ce projet a été abandonné.

      Je na sais pas si l'Algérie avait refusé d'y participé. Si c'est le cas, c'est sans doute à cause du Maroc et de son SO qui était inclus dans le projet.

      Pour le transfert technologique voilà un exemple du comment cela se fait:

      Badr Ikken travaille sur l'avenir climatique de l'Europe - mais au Maroc. Le directeur général de l'institut de recherche Iresen et ses collègues testent sur le campus de leur institut à Ben Guérir, dans le nord du Maroc, des technologies que les entreprises européennes attendent déjà. Iresen travaille sur des méthodes d'utilisation de l'énergie solaire bon marché pour produire de l'hydrogène à exporter vers l'Europe.

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      • #18
        Grüner Wasserstoff und PtX als wirtschaftliche Chance für Partnerländer des BMZ
        Die Gewinnung von grünem Wasserstoff und PtX-Produkten erfordert sehr viel Strom. Um den zukünftigen Bedarf an klimaneutralen Kraftstoffen zu decken, reichen die deutschen Potenziale zur Produktion von Strom aus erneuerbaren Energiequellen voraussichtlich nicht aus. Darum wird Deutschland mittel- und langfristig große Mengen von PtX-Produkten importieren.

        Die Erzeugung solcher Produkte bietet den Ländern des Globalen Südens(Lexikon-Eintrag zum Begriff aufrufen) vielfältige Chancen für ihre wirtschaftliche Entwicklung: Die grüne Wasserstoffwirtschaft steigert die lokale Wertschöpfung, hilft dabei, die Wirtschaft widerstandsfähiger gegenüber Krisen zu machen und schafft Arbeitsplätze. Gleichzeitig leistet sie einen Beitrag zur Energiesicherheit und hilft bei der erforderlichen Umstellung auf eine nachhaltige Energieversorgung vor Ort.

        Das Bundesministerium für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ) fördert darum in den Partnerländern der deutschen Entwicklungszusammenarbeit die Gewinnung von grünem Wasserstoff und den Aufbau entsprechender Wirtschaftsstrukturen. Das BMZ fördert keine Gewinnung von Wasserstoff mit Hilfe fossiler Energieträger.

        Entwicklung eines PtX-Angebots: Das BMZ plant die Unterstützung des Baus einer Referenzanlage
        Im Rahmen der Nationalen Wasserstoffstrategie hat das BMZ mit Marokko eine „Allianz zur Entwicklung des Power-to-X-Sektors“ vereinbart. Marokko gehört zu den Vorreitern im Bereich der erneuerbaren Energien in Afrika. In Ouarzazate wurde bereits mit deutscher Unterstützung eines der größten Solarkraftwerke der Welt errichtet. Es versorgt 1,3 Millionen Menschen mit sauberem Strom.
        Im ersten Schritt geht es bei der Partnerschaft mit Marokko um den Aufbau der ersten in Afrika entstehenden Anlage für grünen Wasserstoff und dessen Folgeprodukte in industriellem Maßstab. Ziel ist der Aufbau von rund 100 Megawatt Elektrolyseleistung. Die Referenzanlage soll zeigen, dass eine wettbewerbsfähige Produktion von grünem Wasserstoff beziehungsweise PtX-Produkten in den Partnerländern der deutschen Entwicklungszusammenarbeit möglich ist.

        Das BMZ legt bei diesem Projekt größten Wert auf einen nachhaltigen Einsatz benötigter Energie- und Wasserressourcen. Nutzungskonkurrenzen mit der lokalen Bevölkerung sollen vermieden werden. Sichergestellt wird das durch den Ausbau der nachhaltigen Energieversorgung, die Erschließung nachhaltiger Wasserressourcen sowie Ausbildungsmaßnahmen

        Source: Bundesministerium für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ)


        Traduction google:

        L'hydrogène vert et le PtX comme opportunité économique pour les pays partenaires du BMZ

        La production d'hydrogène vert et de produits PtX nécessite beaucoup d'électricité. Afin de couvrir la demande future de carburants neutres pour le climat, le potentiel allemand de production d'électricité à partir de sources d'énergie renouvelables ne sera probablement pas suffisant. C'est pourquoi l'Allemagne importera de grandes quantités de produits PtX à moyen et long terme.

        La production de tels produits offre aux pays du Sud (appelez l'entrée de l'encyclopédie du terme) un large éventail d'opportunités pour leur développement économique : L'économie verte de l'hydrogène augmente la valeur ajoutée locale, contribue à rendre l'économie plus résistante aux crises et crée des emplois. En même temps, il contribue à la sécurité énergétique et aide à la conversion nécessaire vers un approvisionnement énergétique durable sur place.

        Le ministère fédéral de la Coopération économique et du Développement (BMZ) encourage donc la production d'hydrogène vert et la création de structures économiques correspondantes dans les pays partenaires de la coopération allemande au développement. Le BMZ ne soutient pas la production d'hydrogène à partir de combustibles fossiles.

        Développement d'une offre PtX : Le BMZ envisage d'accompagner la construction d'un système de référence
        Dans le cadre de la Stratégie Nationale Hydrogène, le BMZ a conclu une « Alliance pour le Développement du Secteur Power-to-X » avec le Maroc. Le Maroc est l'un des pionniers dans le domaine des énergies renouvelables en Afrique. L'une des plus grandes centrales solaires au monde a déjà été construite à Ouarzazate avec le soutien de l'Allemagne. Il alimente 1,3 million de personnes en électricité propre.
        La première étape du partenariat avec le Maroc consiste à mettre en place la première usine en Afrique d'hydrogène vert et de ses dérivés à l'échelle industrielle. L'objectif est de constituer une capacité d'électrolyse d'environ 100 mégawatts. L'usine de référence vise à montrer qu'une production compétitive d'hydrogène vert ou de produits PtX est possible dans les pays partenaires de la coopération allemande au développement.

        Dans ce projet, le BMZ attache une grande importance à l'utilisation durable des ressources énergétiques et hydriques nécessaires. Les utilisations concurrentes avec la population locale doivent être évitées. Ceci est assuré par l'expansion de l'approvisionnement énergétique durable, le développement de ressources en eau durables et des mesures de formation


        Source : Ministère fédéral de la Coopération économique et du Développement (BMZ)

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        • #19

          https://static.latribune.fr/full_wid...-allegorie.jpg(Crédits : iStock)La France et l'Allemagne ne sont pas les seuls grands pays européens à miser sur l'hydrogène vert. Le gouvernement espagnol vient d'annoncer, ce lundi 24 mai, un plan de soutien à la production d'hydrogène propre, basé sur l'utilisation des fonds européens de relance, avec l'ambition de faire du pays le principal "pôle industriel" pour ce type d'énergie propre.

          Dans la péninsule ibérique, l'hydrogène vert doit constituer un axe de la relance économique post-Covid. Il fait ainsi partie des secteurs ciblés par le plan de relance espagnol transmis à Bruxelles pour bénéficier des fonds spéciaux européens débloqués face à la pandémie de Covid-19. Environ 1,5 milliard d'euros seront puisés dans ces fonds dans les trois années à venir, a expliqué M. Sanchez, sans préciser s'il s'agirait de subventions non remboursables ou de prêts.
          1,5 milliard d'euros puisés dans les fonds européens
          "Le gouvernement espagnol s'engage fermement en faveur de l'hydrogène vert", a assuré lundi le chef du gouvernement Pedro Sanchez lors d'une cérémonie officielle à Tolède (centre).

          "Le soutien ferme à cette technologie permettra de stimuler les investisseurs pour mobiliser jusqu'à 8,9 milliards d'euros d'ici à 2030", a précisé dans un communiqué le gouvernement, qui dit compter sur des partenariats public-privé.

          L'hydrogène vert est principalement produit à partir de l'électrolyse de l'eau, qui consiste à utiliser un courant électrique d'origine renouvelable (solaire, éolien ou ou hydroélectrique) pour casser la molécule de l'eau et séparer ainsi l'oxygène de l'hydrogène.
          Carburant de demain ?


          Présenté comme le carburant de demain indispensable à la transition énergétique, il fait déjà l'objet de plans ambitieux en France et en Allemagne, qui ont respectivement misé 7 et 9 milliards sur ce vecteur énergétique.

          Il est vu comme l'un des meilleurs atouts pour décarboner les industries lourdes (comme la sidérurgie) qui participent au réchauffement climatique, car il ne libère que de la vapeur d'eau. Toutefois, la production d'hydrogène par électrolyse reste aujourd'hui trois fois plus chère que la production par reformage du gaz naturel à la vapeur d'eau. Un procédé très répandu, mais aussi très émetteur de C02.

          Madrid, qui a lancé un appel à projets sur l'hydrogène vert dans le cadre de la répartition des fonds européens, affirme avoir reçu plus de 500 propositions d'entreprises.
          Future gigafactory d'électrolyseurs


          Le fabricant américain de moteurs Cummins a annoncé lundi qu'il investirait 50 millions d'euros dans la construction d'une usine d'électrolyseurs destinés à produire de l'hydrogène vert, dont la mise en service est prévue pour 2023 dans la région de Castille-la-Manche (centre).

          L'usine aura une capacité de production de 500 mégawatts par an, pouvant être portée à 1 gigawatt, a affirmé le PDG de Cummins Tom Linebarger, assurant qu'elle serait "l'une des plus grandes au monde", dans ce secteur.

          En France, la start-up McPhy a annoncé la semaine dernière avoir sélectionné le territoire de Belfort pour bâtir sa propre gigafactory d'électrolyseurs.
          latribune.fr
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          • #20
            L'Allemagne elle même a des accords de partenariat avec plusieurs pays, en plus du Maroc, ya le Canada, la Norwege, l'Espagne...
            C'est ce que le Ministère fédéral de la Coopération économique et du Développement appelle pays partenaires du BMZ

            Et le gouvernement allemand s'apprête d'ici l'été à presenter tout un programme d'infrastructures à usage d'hyrogéne vert

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            • #21
              Le maroc est important par ce que يحشيولكم دايرين كراعهم فيكم

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              • #22
                C’est pas grave Loughzel, ne sois pas aigri ainsi, certains parlent de transition énergétique avec l’Allemagne et d’autres parlent de mémoire avec un Macron qui leur rappelle leur histoire.

                Allah ghaleb, on ne joue pas dans la même league
                "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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                • #23
                  Tiré du premier article:

                  l'idée derrière l'accord germano-marocain sur l'hydrogène
                  est que le Maroc devienne le premier producteur d'hydrogène "vert" sur le continent africain. La banque de développement allemande KfW va soutenir la construction d'une usine d'hydrogène au Maroc avec un montant attendu de plus de 300 millions d'euros. Dès 2025, le premier hydrogène "vert" sera produit au Maroc. Avec l'investissement allemand, le Maroc poursuit sa transition énergétique ; En contrepartie, l'Allemagne recevra à l'avenir de l'hydrogène "vert" marocain.

                  Le Maroc construit également de nouvelles usines de dessalement d'eau de mer à cet effet dans tout le pays. La Société allemande de coopération internationale (GIZ) et la banque de développement allemande KfW sont également impliquées dans de tels projets. La KfW investit actuellement environ 700 millions d'euros dans le secteur marocain de l'eau. Les Etats marocain et allemand veulent une "situation gagnant-gagnant" avec leur partenariat hydrogène.

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