S'exprimant à l'ouverture des travaux du Conseil de gouvernement, Aziz Akhannouch a indiqué que cette réunion examinera un important projet de décret, à travers lequel l'exécutif aspire à protéger le marché national, assurer son approvisionnement en produits de base, et faire face aux fluctuations des prix des produits agricoles résultant du déficit pluviométrique et des difficultés d'approvisionnement à l'échelle mondiale.
Les produits concernés par l'exonération de la TVA
L'exonération de la TVA concernera les produits relatifs à la préservation de la santé des végétaux, les équipements utilisés pour la reproduction des végétaux et des animaux importés et destinés exclusivement à l'usage agricole, en plus d'autres équipements spécialement réservés à l'usage agricole, a fait savoir le Chef du gouvernement.
En vertu des réunions tenues la semaine dernière avec les représentants du secteur, il a été constaté que la hausse des prix des produits agricoles revient principalement à la succession d'années de sécheresse au Maroc et à la flambée des prix des intrants agricoles importés, notamment les animaux vivants, et des produits phytosanitaires, a expliqué M. Akhannouch. A ce titre, le Chef du gouvernement a souligné l'implication manifestée par les professionnels lors de ces rencontres, dans l'objectif d'assurer l'approvisionnement continu en produits agricoles du marché national et d'assurer l'équilibre des filières de production afin de garantir une abondance des produits et d'atténuer les effets de la hausse des prix sur les citoyens.
De son côté, le gouvernement veillera, selon un certain nombre de mécanismes de suivi, à créer un équilibre entre l'exportation et l'approvisionnement du marché national, a-t-il assuré, notant que l'exécutif a mobilisé l’ensemble de ses moyens pour que les chaînes de distribution restent à l’abri de toute intervention illégale.
En outre, M. Akhannouch a fait savoir que la culture de la betterave sucrière souffre également d'un ensemble de problématiques en vertu desquels l’État a décidé d'allouer des subventions supplémentaires aux agriculteurs afin d'améliorer les rendements et de sécuriser l'approvisionnement local de ce produit.
Parallèlement, il a assuré qu'outre "les mesures déjà prises visant à protéger le pouvoir d’achat des citoyens, comme le soutien aux professionnels du transport, la suppression du droit d'importation des bovins, et les mesures fiscales en cours d’examen, le gouvernement continue d’apporter des solutions à l’impact direct, dans le cadre du dialogue qu’il a su institutionnaliser et dont la mise en œuvre a coûté 9 milliards de dirhams, et poursuivra la même démarche participative, en privilégiant l'esprit de responsabilité et de transparence à travers les consultations qui seront lancées demain". A cet égard, M. Akhannouch a informé qu'il recevra des représentants des partenaires sociaux du gouvernement pour lancer le cycle de dialogue social d'avril.
Le matin
Les produits concernés par l'exonération de la TVA
L'exonération de la TVA concernera les produits relatifs à la préservation de la santé des végétaux, les équipements utilisés pour la reproduction des végétaux et des animaux importés et destinés exclusivement à l'usage agricole, en plus d'autres équipements spécialement réservés à l'usage agricole, a fait savoir le Chef du gouvernement.
En vertu des réunions tenues la semaine dernière avec les représentants du secteur, il a été constaté que la hausse des prix des produits agricoles revient principalement à la succession d'années de sécheresse au Maroc et à la flambée des prix des intrants agricoles importés, notamment les animaux vivants, et des produits phytosanitaires, a expliqué M. Akhannouch. A ce titre, le Chef du gouvernement a souligné l'implication manifestée par les professionnels lors de ces rencontres, dans l'objectif d'assurer l'approvisionnement continu en produits agricoles du marché national et d'assurer l'équilibre des filières de production afin de garantir une abondance des produits et d'atténuer les effets de la hausse des prix sur les citoyens.
De son côté, le gouvernement veillera, selon un certain nombre de mécanismes de suivi, à créer un équilibre entre l'exportation et l'approvisionnement du marché national, a-t-il assuré, notant que l'exécutif a mobilisé l’ensemble de ses moyens pour que les chaînes de distribution restent à l’abri de toute intervention illégale.
En outre, M. Akhannouch a fait savoir que la culture de la betterave sucrière souffre également d'un ensemble de problématiques en vertu desquels l’État a décidé d'allouer des subventions supplémentaires aux agriculteurs afin d'améliorer les rendements et de sécuriser l'approvisionnement local de ce produit.
Parallèlement, il a assuré qu'outre "les mesures déjà prises visant à protéger le pouvoir d’achat des citoyens, comme le soutien aux professionnels du transport, la suppression du droit d'importation des bovins, et les mesures fiscales en cours d’examen, le gouvernement continue d’apporter des solutions à l’impact direct, dans le cadre du dialogue qu’il a su institutionnaliser et dont la mise en œuvre a coûté 9 milliards de dirhams, et poursuivra la même démarche participative, en privilégiant l'esprit de responsabilité et de transparence à travers les consultations qui seront lancées demain". A cet égard, M. Akhannouch a informé qu'il recevra des représentants des partenaires sociaux du gouvernement pour lancer le cycle de dialogue social d'avril.
Le matin