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Par Abdellah B.
L’évolution du marché de produits agricoles en Algérie a de belles perspectives devant lui. C’est ce qui ressort du rapport du cabinet d’analyse des marchés de produits agricoles Technavio publié hier, affirmant que le marché connaîtra une croissance importante durant les prochaines années, et ce, grâce à l’accélération de la croissance dans le secteur de l’agriculture qui continuera à enregistrer de belles performances dans les 4 prochaines années.
Les rédacteurs du rapport en question affirment que les investissements dans le marché agricole algérien connaitront «une croissance annuelle composée (TCAC) de 2,5% sur la période allant de 2023 à 2027», une situation qui s’explique selon la même source par «l’accélération de la croissance dans le secteur de l’agriculture».
En effet, d’après la même source, la taille du marché agricole algérien devrait croître de 530,7 millions de dollars, une situation qui s’explique d’une part par la dynamique que connait le secteur de l’agriculture en Algérie grâce au «soutien croissant du gouvernement» à l’amélioration de la production du secteur.
«Le gouvernement algérien a soutenu le secteur agricole à travers de nombreuses politiques. En conséquence, la performance de l’industrie agricole s’est améliorée régulièrement ces dernières années», lit-on dans le rapport en question.
Cette situation est en faveur de l’épanouissement du marché des produits agricoles et la mise en place d’une nouvelle stratégie pour «sécuriser l’approvisionnement en produits agricoles essentiels, promouvoir la restructuration et la protection de l’environnement, la prévention contre la pollution et la gestion des déchets», explique la même source qui juge que «ces facteurs devraient alimenter la croissance du marché au cours de cette période».
En effet, selon les rédacteurs du rapport en question, les prévisions de l’amélioration du marché des produits agricoles, couvre également «les cultivateurs, les propriétaires de plantations et les entreprises qui produisent et transforment des aliments, mais ne les conditionnent pas et ne les commercialisent pas».
En fait, l’Algérie table sur le développement du secteur de l’agriculture, pour atteindre une croissance de 6,4% pour l’année en cours, dans le cadre du programme du gouvernement visant à réduire les importations de produits agricoles, seule et unique manière de garantir sa sécurité alimentaire.
De ce fait, une nouvelle feuille de route allant jusqu’à 2030 a été élaboré visant à atteindre l’autosuffisance en matière céréalière en particulier qui coûte d’importantes sommes pour le pays.
De ce fait, les experts du cabinet en question ont mis en exergue les efforts déployés par le gouvernement, notamment en matière de recours à la réglementation de l’utilisation des pesticides, de l’amélioration des moyens techniques visant le contrôle de l’usage de fertilisants et enfin la disponibilité des terres arables «même si ces dernières sont menacées par des effets climatiques et également de manque de pluviométrie».
Enfin, avec l’amélioration de la production et la «disponibilité» des moyens de distribution dans les grandes surfaces, les rédacteurs de l’étude en question affirment que ce marché aura un avenir florissant.
lalgerieaujourdhui . dz
L’évolution du marché de produits agricoles en Algérie a de belles perspectives devant lui. C’est ce qui ressort du rapport du cabinet d’analyse des marchés de produits agricoles Technavio publié hier, affirmant que le marché connaîtra une croissance importante durant les prochaines années, et ce, grâce à l’accélération de la croissance dans le secteur de l’agriculture qui continuera à enregistrer de belles performances dans les 4 prochaines années.
Les rédacteurs du rapport en question affirment que les investissements dans le marché agricole algérien connaitront «une croissance annuelle composée (TCAC) de 2,5% sur la période allant de 2023 à 2027», une situation qui s’explique selon la même source par «l’accélération de la croissance dans le secteur de l’agriculture».
En effet, d’après la même source, la taille du marché agricole algérien devrait croître de 530,7 millions de dollars, une situation qui s’explique d’une part par la dynamique que connait le secteur de l’agriculture en Algérie grâce au «soutien croissant du gouvernement» à l’amélioration de la production du secteur.
«Le gouvernement algérien a soutenu le secteur agricole à travers de nombreuses politiques. En conséquence, la performance de l’industrie agricole s’est améliorée régulièrement ces dernières années», lit-on dans le rapport en question.
Cette situation est en faveur de l’épanouissement du marché des produits agricoles et la mise en place d’une nouvelle stratégie pour «sécuriser l’approvisionnement en produits agricoles essentiels, promouvoir la restructuration et la protection de l’environnement, la prévention contre la pollution et la gestion des déchets», explique la même source qui juge que «ces facteurs devraient alimenter la croissance du marché au cours de cette période».
En effet, selon les rédacteurs du rapport en question, les prévisions de l’amélioration du marché des produits agricoles, couvre également «les cultivateurs, les propriétaires de plantations et les entreprises qui produisent et transforment des aliments, mais ne les conditionnent pas et ne les commercialisent pas».
En fait, l’Algérie table sur le développement du secteur de l’agriculture, pour atteindre une croissance de 6,4% pour l’année en cours, dans le cadre du programme du gouvernement visant à réduire les importations de produits agricoles, seule et unique manière de garantir sa sécurité alimentaire.
De ce fait, une nouvelle feuille de route allant jusqu’à 2030 a été élaboré visant à atteindre l’autosuffisance en matière céréalière en particulier qui coûte d’importantes sommes pour le pays.
De ce fait, les experts du cabinet en question ont mis en exergue les efforts déployés par le gouvernement, notamment en matière de recours à la réglementation de l’utilisation des pesticides, de l’amélioration des moyens techniques visant le contrôle de l’usage de fertilisants et enfin la disponibilité des terres arables «même si ces dernières sont menacées par des effets climatiques et également de manque de pluviométrie».
Enfin, avec l’amélioration de la production et la «disponibilité» des moyens de distribution dans les grandes surfaces, les rédacteurs de l’étude en question affirment que ce marché aura un avenir florissant.
lalgerieaujourdhui . dz
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