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04 janvier 2023
Après l’achèvement de la préparation du cadre législatif pour la promotion de l’investissement, une autre étape vient d’être franchie avec la création de l’Agence nationale du foncier économique qui sera lancée prochainement et qui aura un impact positif sur la dynamisation de l’activité de l’investissement et l’amélioration de l’attractivité du marché local pour les investisseurs étrangers.
En effet, cette nouvelle étape permettra de répondre à une question qui est, pour de longues années, restée posée.
Il s’agit d’apporter une réponse concrète après les promesses contenues dans les discours officiels et les nouvelles dispositions apportées dans le nouveau code de l’investissement qui vise à résoudre l’une des problématiques majeures à l’origine de la faiblesse de l’attractivité des investisseurs.
«La création de l’agence nationale du foncier économique sera au menu du prochain conseil des ministres», indique le conseiller au sein de l’Agence nationale de médiation et de régulation du foncier économique, Badis Guendouz.
Des zones industrielles aux normes internationales
Les nouvelles zones industrielles seront conçues selon des normes internationales. «Il s’agit d’une nouvelle étape, celle de la concrétisation des promesses tenues en matière de promotion de l’investissement et de relance réelle de l’économie nationale», explique-t-il.
En fait, il s’agit de la mise en application d’engagements tenus dans le cadre de la loi de finances 2023 ou celle de l’investissement en matière de promotion de l’investissement productif, notamment le volet lié à la création de zones industrielles.
L’intervenant sur les ondes de la radio nationale évoque la «disponibilité de 3 zones industrielles pour les investisseurs à Boumerdès, Béjaïa et Tlemcen» et affirme que «44 autres zones seront réceptionnées prochainement et seront placées sous l’autorité des walis» dans le cadre du programme national de développement de l’investissement.
«Les nouvelles zones industrielles sont typiques et modernes, elles ouvriront la voie à des investissements productifs, tout comme elles sont ouvertes à toutes les industries, et nous attendons avec impatience d’unifier le modèle d’exploitation du foncier industriel.»
Le principal rôle de l’agence
Pour ce qui est du principal rôle attribué à cette nouvelle agence en phase de création, elle se chargera de «la fixation des conditions et modalités d’accès au foncier industriel pour tous les investisseurs», ajoute la même source.
Par ailleurs, la mise en place de ce nouvel organisme public de gestion de foncier économique permettra l’accélération de la réalisation des projets d’investissement sur le terrain en éliminant les embûches bureaucratiques qui ont marqué par le passé la gestion du foncier industriel au niveau national.
La réussite de cette étape est cruciale pour le développement de l’économie nationale et sa relance durant l’exercice en cours, sachant que cette année est considérée comme le début de la réalisation de projets d’investissement dans plusieurs secteurs d’activité.
Il s’agit de mettre à la «disposition des investisseurs, qu’ils soient locaux ou étrangers, des assiettes foncières pour la réalisation des projets d’investissement dans des zones équipées et raccordées au gaz et à l’électricité», explique la même source.
L’objectif attendu à travers cette démarche vise essentiellement à booster la production nationale hors hydrocarbures durant cette conjoncture où l’Algérie a affiché clairement ses ambitions d’améliorer son PIB et diversifier ses exportations.
AA.
Après l’achèvement de la préparation du cadre législatif pour la promotion de l’investissement, une autre étape vient d’être franchie avec la création de l’Agence nationale du foncier économique qui sera lancée prochainement et qui aura un impact positif sur la dynamisation de l’activité de l’investissement et l’amélioration de l’attractivité du marché local pour les investisseurs étrangers.
En effet, cette nouvelle étape permettra de répondre à une question qui est, pour de longues années, restée posée.
Il s’agit d’apporter une réponse concrète après les promesses contenues dans les discours officiels et les nouvelles dispositions apportées dans le nouveau code de l’investissement qui vise à résoudre l’une des problématiques majeures à l’origine de la faiblesse de l’attractivité des investisseurs.
«La création de l’agence nationale du foncier économique sera au menu du prochain conseil des ministres», indique le conseiller au sein de l’Agence nationale de médiation et de régulation du foncier économique, Badis Guendouz.
Des zones industrielles aux normes internationales
Les nouvelles zones industrielles seront conçues selon des normes internationales. «Il s’agit d’une nouvelle étape, celle de la concrétisation des promesses tenues en matière de promotion de l’investissement et de relance réelle de l’économie nationale», explique-t-il.
En fait, il s’agit de la mise en application d’engagements tenus dans le cadre de la loi de finances 2023 ou celle de l’investissement en matière de promotion de l’investissement productif, notamment le volet lié à la création de zones industrielles.
L’intervenant sur les ondes de la radio nationale évoque la «disponibilité de 3 zones industrielles pour les investisseurs à Boumerdès, Béjaïa et Tlemcen» et affirme que «44 autres zones seront réceptionnées prochainement et seront placées sous l’autorité des walis» dans le cadre du programme national de développement de l’investissement.
«Les nouvelles zones industrielles sont typiques et modernes, elles ouvriront la voie à des investissements productifs, tout comme elles sont ouvertes à toutes les industries, et nous attendons avec impatience d’unifier le modèle d’exploitation du foncier industriel.»
Le principal rôle de l’agence
Pour ce qui est du principal rôle attribué à cette nouvelle agence en phase de création, elle se chargera de «la fixation des conditions et modalités d’accès au foncier industriel pour tous les investisseurs», ajoute la même source.
Par ailleurs, la mise en place de ce nouvel organisme public de gestion de foncier économique permettra l’accélération de la réalisation des projets d’investissement sur le terrain en éliminant les embûches bureaucratiques qui ont marqué par le passé la gestion du foncier industriel au niveau national.
La réussite de cette étape est cruciale pour le développement de l’économie nationale et sa relance durant l’exercice en cours, sachant que cette année est considérée comme le début de la réalisation de projets d’investissement dans plusieurs secteurs d’activité.
Il s’agit de mettre à la «disposition des investisseurs, qu’ils soient locaux ou étrangers, des assiettes foncières pour la réalisation des projets d’investissement dans des zones équipées et raccordées au gaz et à l’électricité», explique la même source.
L’objectif attendu à travers cette démarche vise essentiellement à booster la production nationale hors hydrocarbures durant cette conjoncture où l’Algérie a affiché clairement ses ambitions d’améliorer son PIB et diversifier ses exportations.
AA.