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Les voitures électriques de Chine XEV seront fabriquées au Maroc

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  • Les voitures électriques de Chine XEV seront fabriquées au Maroc


    l'ecosysteme electrique se mets doucement mais sûrement en place. Apres l'Ami de Citroën, Xev table sur 50/60 000 vh dès 2024. Byd quant a lui installera une usine pour +200 000 vh/an.
    il s'agit du projet de nouvelle ville au sud de Tanger,



    Italie : Les voitures électriques de Chine XEV seront fabriquées au Maroc


    Les voitures citadines chinoises 100% électriques de la marque XEV, distribuées en Italie par Venetian Campello Motors, seront produites au Maroc. Les médias italiens ont récemment indiqué que les négociations avaient atteint un stade avancé avec les partenaires marocains. L’objectif est de répondre à «un besoin de raccourcir la chaîne de distribution en créant une usine proche du marché européen, pour faire face à l’augmentation continue des coûts de transport et aux incertitudes dues à la conjoncture internationale».

    L’opération est suivie par Giovanna Zandarin, fait savoir Nord Est Economia, ajoutant que dans l’impossibilité d’industrialiser la production en Italie, l’opérateur a identifié le Maroc comme site de la nouvelle usine, d’autant que le royaume «met en œuvre des politiques efficaces pour attirer les entreprises étrangères». Le site choisi se situe près de Tanger, «zone stratégique pour les connexions avec le marché européen».

    Selon la même source, la distribution et la commercialisation seront confiées à XEV Trade, détenue à 51% par Campello Motors et dirigée par Andrea Campello. La filiale européenne du constructeur automobile, à Padoue, abrite d’ailleurs le showroom de la marque 100% électrique dont il est le concessionnaire officiel en Italie. «Notre calendrier prévoit de pouvoir exporter du Maroc au cours du premier semestre 2024», ajoute Giovanna Zandarin.

    Cette échéance tient compte du temps nécessaire pour construire l’usine et former le personnel à la production d’un véhicule entièrement électrique, qui fait appel à l’utilisation de technologies innovantes. A cet effet, le projet inclut un partenariat avec Eni, permettant d’obtenir des véhicules dotés de l’option de remplacement des batteries déchargées. Cette fonctionnalité a été pensée pour réduire le temps d’attente lors de la recharge les batteries des voitures électriques.

    Les mêmes sources soulignent que l’accord avec les autorités marocaines pourrait être conclu officiellement «dans les prochains mois», afin de permettre un démarrage de la production d’ici 2024.

  • #2
    Le géant chinois de la voiture électrique BYD va s'installer au Maroc



    AFP/FADEL SENNA

    Publié le 09/12/2017 à 21h00

    Le Maroc a signé samedi un protocole d'accord avec le constructeur automobile chinois BYD pour l'implantation d'une usine de voitures électriques près de Tanger (nord), la première du genre dans ce pays, a-t-on appris de source officielle.
    Après les groupes français Renault et Peugeot, BYD ("Build Your Dreams") est le troisième constructeur automobile à poser pied dans ce pays du Maghreb.

    Le protocole d'accord, signé au palais royal de Casablanca (ouest) en présence du roi Mohammed VI et du PDG de BYD, le milliardaire chinois Wang Chuanfu, prévoit également la construction à terme de trois autres usines, l'une de batteries électriques, l'autre de bus et camions électriques et la dernière pour fabriquer des trains électriques.




    ces projets seront implantés près de Tanger, dans la future "Cité Mohammed VI Tanger Tech", une "ville industrielle" portée par le groupe chinois Haite et dont la création a été annoncée en grande pompe en mars.

    Aucune information n'a été communiquée sur le montant des investissements de BYD au Maroc, ni sur la date de mise en service des sites de production, qui s'étaleront sur 50 hectares et permettront la création de 2.500 emplois, selon les promoteurs du projet.

    "C'est un jour de fête pour le Maroc qui entre de plain-pied dans le domaine de la mobilité durable (...) avec le leader mondial des véhicules électriques", s'est félicité le ministre de l'Industrie, Moulay Hafid Elalamy, en marge de la cérémonie de signature.
    "Nous souhaitons bénéficier de la situation géographique du Maroc, en tant que porte d'entrée pour l'Europe et le marché africain", a déclaré de son côté le patron de BYD.

    Le Maroc mène depuis quelques années une ambitieuse stratégie d'industrialisation, notamment à Tanger, ville d'un million d'habitants qui abrite aujourd'hui plusieurs parcs industriels.
    Le secteur automobile y est particulièrement développé, surtout depuis l'implantation sur une zone franche d'une usine Renault, la plus grande d'Afrique.

    Le royaume se veut également un acteur majeur du développement durable sur le plan régional, grâce à une stratégie volontariste en matière d'énergies "vertes", sous l'impulsion du roi Mohammed VI.
    L'objectif est de porter, d'ici 2030, la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique marocain à 52%.

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    • #3
      Ça commence à prendre forme, l'industrie automobile électrique monte en puissance, c'est l'avenir,le Maroc gagne en investissement et en qualité de ses emplois, récemment on a vu l'annonce de plusieurs projets qui renforcent cette stratégie du pays

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      • #4
        Que des paroles ..

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        • #5
          c'est une bonne nouvelle pour l'emploi au Maroc...
          Autant de chômeurs en moins...

          ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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          • #6
            Oui dans l'absolue cela aurait été bon pour l'emploi.

            .. mais là cela fait des années que BYD est annoncée et rien de concret .. et d'après la presse économique française, la chine exige la libéralisation total du dirham avant de faire Tanger tech (qui englobe l'usine BYD).

            Quant à l'annonce présente, le calendrier me semble irréaliste ... surtout que les marocains ne semblent même pas au courant.

            C'est pour ça que je dis : paroles

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            • #7
              Il y a eu 3 ans de covid et une Chine qui peine à en sortir.

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              • #8

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