GHAZI HIDOUCI explique comment la corruption, le vol et la prédation des ressources mènent l'Algérie droit au mur.
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Ghazi Hidouci: Algérie, politique économique carastrophique
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Critique trop en retard
Monsieur l'ex-ministre,
C'est trop tard maintenant de dire quoi que ce soit. Après être limogé du pouvoir il vient raconter ça qu'il y a de la corruption etc etc... pourquoi il ne l'a pas dit à l'époque où il etait ministre?? Parce que il a profité lui aussi du système et maintenant ça va aider à quoi?
Qu'est-ce qu'il a fait lui aussi quand il était ministre? RIEN du TOUT.
L'économie du Bled était à zéro à son époque. Les vols de l'argent publique et les fonds de l'état ont commencé à l'epoque de Chadli et il lui était ministre avec ces gens qu'il qualifie de curruptibles. C'est facile à dire...
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la prédation des ressources mènent l'Algérie droit au mur.?
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Cet ancien ministre ne nous apprend rien...
En revanche, on aurait aimé qu'il le dise lorsqu'il était lui-même au gouvernement, et surtout qu'il ait apporté un début de correctif aux problèmes qu'il soulève ici...ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément
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Ah bon!! tu crois que les affaires sont clean dans ton pays enchanté. Voici ce que dit Azeddine Akesbi, secrétaire général de Transparency Maroc, sur la corruption de ton royaume.
Entretien avec Azeddine Akesbi, secrétaire général de Transparency Maroc
La corruption gagne du terrain
Pour M. Akesbi, le Maroc a connu une dégradation flagrante dans le classement de la corruption dans le monde. Du 45ème rang en 1999, il a dégringolé à la 77ème place en 2004.
Propos recueillis par
Chifaâ Nassir
• MHI : le Maroc est passé du 70ème au 77ème rang mondial des pays les plus affectés par la corruption. A quoi est dû ce recul ?
- M. Akesbi : Le classement de Transparency international tire la sonnette d’alarme sur l’évolution de ce fléau. D’abord parce que le nombre de pays intégrés dans le classement augmente, mais également parce que les différents projets de lutte contre la corruption, entrepris par Transparency Maroc, arrivent systématiquement au blocage au stade de la mise en œuvre. La raison de ce blocage est l’absence d’une législation claire qui prévoit des sanctions. Le Maroc a connu une dégradation flagrante dans le classement de la corruption dans le monde. Il est passé du 45ème rang en 1999, avec une notation de 4,3 à une légère amélioration en 2000. Depuis cette année, Notre pays est revenu à la position 50, puis 70 et enfin 77 pour l’année 2004.
MHI : Quelle est la place du Maroc dans le classement parmi les pays arabes ?
- M. Akesbi : Transparency International a donné une note de l’ordre de 3,2 sur 10 au Maroc. Soit la même que le Bénin, l’Egypte et le Mali. Le Royaume se trouve pratiquement à la traîne des pays arabes et de l’Afrique du Nord. La palme d’or de cette catégorie revient au Bahrein, premier du monde arabe sur le classement, avec la 34ème position. Il est suivi de près par la Jordanie, 37ème. Le Qatar est 38ème, alors que la Tunisie est 39ème. A la 71ème position, figurent l’Arabie Saoudite et la Syrie, toutes les deux notées à 3,4. L’Algérie, quant à elle est en classement plus dégradé que le Maroc, puisqu’elle figure en 98ème position.
MHI : Expliquez-nous comment la corruption affecte négativement l’évolution socio-économique de notre pays.
- M. Akesbi : D’après les enquêtes de l’association, 93% des chefs d’entreprises considèrent que l’augmentation du taux de corruption affecte le développement de l’économie. L’attribution des licences pour des projets économiques n’obéit pas aux normes respectant l’intérêt public. Nous recevons également les témoignages et plaintes de plusieurs individus qui se déclarent victimes de corruption.
MHI :Quels sont les différentes dimensions de la corruption au Maroc ?
- M. Akesbi : La corruption touche la totalité des secteurs d’activité au Maroc : Les institutions publiques, l’administration, la direction des impôts, la police de circulation, la douane, la justice, ainsi que les autres services publics. La Maroc connaît également une corruption politique qui implique les élus locaux, ou régionaux.
MHI :Selon vous, pourquoi la corruption est banalisée dans la société marocaine ?
- M. Akesbi : La corruption n’est pas nouvelle au Maroc. Elle a toujours existé, mais elle a commencé à prendre de l’ampleur. Elle est surtout généralisée, à cause de l’absence d’une obligation de rendre des comptes. Des juristes et avocats professionnels estiment pour leur part, que les personnes tentées par la corruption reçoivent des salaires très bas. Ce qui n’est pas tout à fait vrai, puisque le détournement des grosses sommes d’argent, et les grandes enveloppes sont délivrées à des personnes bien placées. La grande corruption touche les grands marchés, les autorisations, les institutions bancaires et financières.
MHI : Cela veut dire que la petite corruption n’a pas plus d’ampleur ?
- M. Akesbi : La corruption n’implique pas que les sommes importantes comme certains l’imaginent. Les petites sommes de 20DH remises dans un arrondissement pour se faire délivrer un acte administratif a aussi des conséquences graves, puisqu’elle touche à un droit primordial des citoyens. C’est la même chose pour la contrebande, où les petites sommes alimentent les grands réseaux.
MHI :En quoi consiste l’action de Transparency Maroc pour lutter contre ce fléau ?
- M. Akesbi : L’association propose un vaste programme d’actions axées sur des réformes institutionnelles et judiciaires, l’accès à l’information et la transparence dans la gestion des affaires publiques. Transparency Maroc, depuis sa création en 1996, en est cette année à sa 8ème journée nationale. Au terme de cette année, nous avons élaboré une stratégie nationale qui prévoit l’adoption d’un projet de loi anti-corruption.Dernière modification par icosium, 09 juin 2008, 19h28."Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)
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Apparement vous ne connaissez pas l'algerie est ce qu'un depute un ministre , un premier ministre un president de la republique peut faire quelque chose dans ce pays tout ce beau monde ne fait que de la figuration a mon sens les vrais acteurs de la politique algerienne sont ailleurs .je suis sur que bouteflika ne peut meme pas nommer un chef de daira .Je suis sur qu'un rebrab par exemple a plus de pouvoir que tout ces gens cites plus haut .il faut etre realiste c'est foutu elharba tselak
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Pour recentrer le sujet de cette discution
Le comble ce post sur la corruption en algerie d'ayoub sujet de la majesté d'un pays ou la corruption bat des records mondiaux
Pourquoi tu rit devant l'ordinateur me demanda ma femme madame transit
non rien juste un marocain qui se fait du soucis sur la corruption en algerie
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el kouncirdja ta3 fransa!
Le point commun de ces ex-ministres est de manier la langue de bois lorsqu'il étaient au govt et de délier la langue une fois sortie du cocon. Critiquer l'algérie tel que le fait M.Hidouci, comme el koncirdja ta3'l batima, ne m'étonne pas et ne fait pas avancer le débat.
Dire que les politiques sont des pourris oui, mais il ya des hommes qui défendent le pays à chaque instant contre les larves. Pour eux je leur dit que l'algerie ne les oublira jamais et leur place n'est pas dans des bureaux feutrés mais dans le coeur de chacun de nous!
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