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Au grand dam des citoyens algériens, l'importation des véhicules n'a toujours pas repris ses droits en Algérie. Pourtant le fameux cahier des charges qui a toujours plombé le retour de cette activité a été finalisé et se trouverait au niveau du premier ministère. Qu'est-ce qui bloque donc ce dossier ?
L'importation de voitures a été suspendue en 2017 en Algérie, et ce afin de booster la production locale lancée alors en grande pompe. Malgré la fermeture des usines de montage et la suspension par conséquent de la construction automobile en Algérie, l'importation n'a toujours pas été relancée. Les concessionnaires et les Algériens d'une manière générale ne cessent pas de réclamer la reprise de celle-ci.
Il faut dire que sa suspension a considérablement affecté le marché de l'automobile en Algérie. Les voitures sont devenues inaccessibles pour le commun des citoyens à cause de leurs prix qui ont atteint des pics vertigineux.
Importation de véhicules : Le cahier des charges fin prêt
Les pouvoirs publics se sont à maintes reprises exprimés sur ce dossier. Le ministère des Transports explique à chaque fois que ce retard est dû à la préparation du nouveau cahier des charges. Celui-ci, qui a été établi suivant chaque type de véhicules, semble être fin prêt. Selon plusieurs sources médiatiques, dont le journal arabophone Echorouk citant des sources proches du dossier, ce cahier des charges est fin prêt et se trouverait au niveau des services du premier ministère pour approbation.
C'est dire que sur ce plan l'Algérie est prête pour relancer l'activité. Cependant, les concessionnaires n'ont pas été invités à reprendre le travail pour autant. Selon la même source, cette fois ce retard est un choix stratégique des hautes autorités du pays. Le gouvernement a préféré attendre encore un peu plus de temps avant d'attribuer les agréments et permettre du coup la reprise de l'importation.
La même source explique qu'une éventuelle reprise actuellement ne réglera pas le problème de la cherté des voitures. Les prix sur le marché mondial sont exorbitants à cause de la crise entre la Russie et l'Ukraine et cela ne peut que se répercuter sur le marché algérien. Les voitures importées reviendront très chères aux importateurs et couteront encore plus cher en Algérie, explique-t-on. Le gouvernement préfère ainsi patienter et guetter une éventuelle stabilité du marché avant de relancer l'importation de voitures, indique-t-on.
En plus de cette donne, les autorités algériennes prennent également la valeur du dinar, qui ne cesse de dégringoler, et qui contribuera du coup à augmenter les tarifs des voitures importées. C'est dire en somme que les citoyens algériens doivent encore attendre quelques mois avant de voir l'importation des véhicules reprendre en Algérie.
observalgerie
L'importation de voitures a été suspendue en 2017 en Algérie, et ce afin de booster la production locale lancée alors en grande pompe. Malgré la fermeture des usines de montage et la suspension par conséquent de la construction automobile en Algérie, l'importation n'a toujours pas été relancée. Les concessionnaires et les Algériens d'une manière générale ne cessent pas de réclamer la reprise de celle-ci.
Il faut dire que sa suspension a considérablement affecté le marché de l'automobile en Algérie. Les voitures sont devenues inaccessibles pour le commun des citoyens à cause de leurs prix qui ont atteint des pics vertigineux.
Importation de véhicules : Le cahier des charges fin prêt
Les pouvoirs publics se sont à maintes reprises exprimés sur ce dossier. Le ministère des Transports explique à chaque fois que ce retard est dû à la préparation du nouveau cahier des charges. Celui-ci, qui a été établi suivant chaque type de véhicules, semble être fin prêt. Selon plusieurs sources médiatiques, dont le journal arabophone Echorouk citant des sources proches du dossier, ce cahier des charges est fin prêt et se trouverait au niveau des services du premier ministère pour approbation.
C'est dire que sur ce plan l'Algérie est prête pour relancer l'activité. Cependant, les concessionnaires n'ont pas été invités à reprendre le travail pour autant. Selon la même source, cette fois ce retard est un choix stratégique des hautes autorités du pays. Le gouvernement a préféré attendre encore un peu plus de temps avant d'attribuer les agréments et permettre du coup la reprise de l'importation.
La même source explique qu'une éventuelle reprise actuellement ne réglera pas le problème de la cherté des voitures. Les prix sur le marché mondial sont exorbitants à cause de la crise entre la Russie et l'Ukraine et cela ne peut que se répercuter sur le marché algérien. Les voitures importées reviendront très chères aux importateurs et couteront encore plus cher en Algérie, explique-t-on. Le gouvernement préfère ainsi patienter et guetter une éventuelle stabilité du marché avant de relancer l'importation de voitures, indique-t-on.
En plus de cette donne, les autorités algériennes prennent également la valeur du dinar, qui ne cesse de dégringoler, et qui contribuera du coup à augmenter les tarifs des voitures importées. C'est dire en somme que les citoyens algériens doivent encore attendre quelques mois avant de voir l'importation des véhicules reprendre en Algérie.
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