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L' approche sécuritaire du tourisme maintient l'Algérie dernière destination de la Méditerranée

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  • #76
    Désolé je ne suis trompe de ligne, c’était le Rwanda la, qui devance l’Algerie en matière de tourisme

    Apparemment ni les articles sur lmarrouk ni les photos n’ont changé la médiocrité et l’incompétence caractérisée de ceux que tu défends.

    essaies des caricatures sur M6, peut être que ça fera gagner 10 points à l’Algérie

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    • #77
      djamel

      Ce n'est pas en postant de vieux articles des médias marocains (Jamaa El Fna n'est plus ce qu'il était) ou en postant un article de l'Expression.dz (ton dernier post) que cela changera quelque chose en ce qui concerne le tourisme en Algérie, qui est le sujet du post.

      L'Algérie n'est pas un pays touristique. C'est un fait que tu devras accepter. Le Maroc par contre est un pays touristique et ses villes impériales sont connues dans le monde entier, que tu le veuilles ou non. Alors cesse de te torturer et accepte l'evidence. Tu n'as pas le choix de toute façon.
      Dernière modification par hakimcasa, 30 août 2022, 13h52.

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      • #78

        Prostitution à Marrakech : « Ici, c’est Vice City »


        Les autorités marocaines maintiennent qu’il n’y a pas de prostitution dans le pays. Mais une plongée dans le Marrakech de la nuit en est un démenti formel.

        Par Youssef Ait Akdim(contributeur Le Monde Afrique, Marrakech, envoyé spécial)Prostitution à Marrakech : « Ici, c’est Vice City »


        Personne n’a envie de manger des pieds de veau à quatre heures du matin. Zeina si. La brunette de 25 ans a descendu dans la soirée quatre bouteilles de rosé et dansé comme une enragée. La nuit n’est pas finie, elle a besoin de tenir. Même si ses lentilles bleu océan lui piquent les yeux. Même si, après dix années à se prostituer à Marrakech, elle raccrocherait volontiers.

        C’est elle qui a choisi ce boui-boui du centre-ville. Une terrasse où les noctambules se retrouvent sur des chaises en plastique avant l’aurore. Une des scènes de Much Loved, du réalisateur marocain Nabil Ayouch, s’y déroule. Zeina a entendu parler du film, toujours interdit au Maroc un an après avoir été présenté au festival de Cannes. « Pourquoi le voir, je le connais déjà », sourit-elle. Berbère originaire de Tiznit, à 330 km au sud de Marrakech, elle a un garçon et une fille à charge de deux pères différents. Aucun n’a reconnu son enfant. Alors elle se débrouille comme elle peut.


        Quand elle n’engloutit pas soda et pieds de veau, Zeina (la « belle », en arabe) officie à l’Alcazar, un cabaret connu pour ses soirées de musique chaâbi. Les stars locales y maltraitent des violons à grand renfort de vocodeur. Le reste du temps, le raï coule à flots. Les bières Spéciale aussi. L’établissement est moins cher que ceux de l’Hivernage, le quartier des hôtels cinq étoiles, mais plus chic que les tavernes à soiffards de la rue de Yougoslavie. On est dans le milieu de gamme.

        Car on ne vient pas à Marrakech pour admirer seulement le minaret de la Koutoubia, une mosquée construite au XIIe siècle, ou pour parcourir ses onze magnifiques golfs s’étirant au pied des montagnes de l’Atlas. La ville est mondialement célèbre pour ses autres plaisirs charnels. Hommes, femmes, enfants : il y en a pour tous les goûts, pour tous les prix. Une véritable industrie. L’actuel ministre du tourisme a eu beau affirmer sur un plateau de télévision en 2013 « qu’il n’y a pas d’industrie du tourisme sexuel au Maroc », « qu’on s’y rend pour sa culture, ses plages », il a bien dû concéder, gêné, l’existence « de comportements déviants ».

        Une industrie prospère et tolérée


        Comme d’autres lieux, l’Alcazar a sa petite mécanique. A l’entrée, les cerbères sont tout sourires. « Marhba, marhba » (« bienvenue », en arabe). C’est à la sortie qu’il faut payer. Zeina insiste pour acquitter elle-même les 100 dirhams quand elle ressort avec un client. Sa voisine blonde, bien qu’elle rentre seule, doit elle aussi graisser la patte des videurs. Et les gros bras du cabaret ne sont pas seuls à l’affût. Quand un motard de la police prend en chasse les voitures des filles, inutile de discuter. « L’argent achète tout. Le policier, c’est 100 dirhams, comme le videur », assure Zeina.

        Le Code pénal marocain prévoit des peines sévères pour la prostitution et la débauche, de deux à dix ans d’emprisonnement et des amendes pouvant aller jusqu’à 1 million de dirhams (environ 90 000 euros). En réalité, le sexe tarifé est largement toléré, surtout dans les villes touristiques.

        Le cabaret de Zeina est enfoui dans les sous-sols de l’hôtel Atlas Asni, dont les publicités, via un tour-opérateur, s’étalent sur les murs du métro parisien. Au sous-sol, à l’Alcazar, les clients ne sont pas tous étrangers. Loin de là. L’hôtel est tristement célèbre depuis une attaque terroriste islamiste en août 1994. Trois jeunes fils d’immigrés marocains avaient visé à la mitraillette un groupe de touristes, en majorité espagnols. Bilan : deux morts, un blessé. Marrakech y a perdu une partie de sa réputation de paradis pour touristes. L’Etat et les professionnels ont beaucoup investi pour remonter la pente. Un luxueux Radisson Blu vient tout juste d’ouvrir ses portes au centre-ville. En dépit d’une réplique terroriste récente – en 2011, une bombe placée dans le café-restaurant l’Argana sur la place Jemaa-El-Fna, avait fait dix-sept morts dont huit Français –, le tourisme reste l’activité principale de la quatrième plus grande ville du pays.

        « Les filles sont magnifiques »


        Certains clients font honneur à la carte postale du Marrakech cosmopolite. Il faut aller au Montecristo pour rencontrer une plus large paillette de touristes étrangers : Londoniens issus de l’immigration pakistanaise, fils d’immigrés venus passer des vacances entre copains, retraités européens, dont des expatriés français. Le monde s’y divise en deux. D’un côté, des filles, presque toutes Marocaines, perchées sur des stilettos, robes de soirées et pochettes de contrefaçon. Deux danseuses blonde platine rajoutent un zeste d’exotisme. En face, des hommes seuls au regard scrutateur.

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        • #79
          Walou, le classement cata de l’Algérie dernière de la Méditerranée n’a toujours pas bougé. Je t’ai dit d’essayer une caricature de M6, ça peut le faire remonter…

          Au fait je suis à Tanger la, eu Europe , je déguste mon café devant un magnifique parc, besslamtek cher ami, le dej est un délice et la vue est magnifique, propreté , calme, service impeccable, tout sourire, la classe aisée, la classe moyenne, des RME, des enfants qui jouent en toute sécurité, je te ferais une petite vidéo tiens.
          Dernière modification par ayoub7, 30 août 2022, 14h05.

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          • #80
            Hakim@ La prostitution est une industrie prospère et tolérée au Maroc (source Le Monde.fr)

            "Le Maroc est un pays connus pour ca ! c'est un fait que tu dois accepter"

            "Alors cesse de te torturer et accepte l'évidence. Tu n'as pas le choix de toute façon."
            Dernière modification par djamel, 30 août 2022, 14h06.

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            • #81
              Le temps.ch (journal suisse)

              Au Maroc, cette prostitution que vous ne saurez voir

              Le quartier de Bousbir, à Casablanca, fut la plus grande maison close à ciel ouvert du monde. L’exposition retraçant l’histoire de ce quartier construit en 1923 par l’administration française, montée par deux chercheurs de l'Université de Genève, a été annulée la veille de son inauguration.

              «La nuit, je fais des cauchemars où les femmes qui étaient enfermées dans ce quartier se retrouvent aujourd’hui enfermées dans la Villa des Arts», lâche Raphaël Pieroni, docteur en géographie de l’Université de Genève. Dans la soirée du 10 novembre, alors qu’il finissait avec Jean-François Staszak, professeur à l’Université de Genève, l’installation de l’exposition Bousbir: Images et récits de l’ancien quartier réservé de Casablanca, 1923-2021, la sentence est tombée. Prévue à la Villa des Arts de Casablanca, l’exposition serait annulée «jusqu’à nouvel ordre» pour raisons sanitaires liées au Covid-19.
              «Le lendemain, j’ai passé en revue sur Google les articles publiés dans la presse marocaine. A chaque fois, la page «404 error» s’affichait. Tous les articles avaient été supprimés», raconte Raphaël Pieroni. Le livre traitant du sujet, publié l’an dernier aux éditons Georg, se retrouve quant à lui interdit de diffusion. «Nous avons alors demandé quand l’exposition allait rouvrir. La Fondation Almada [qui appartient à a famille royale, ndlr] nous a alors annoncé qu’elle était fermée pour force majeure», ajoute-t-il. Les deux géographes font l’hypothèse que la sensibilité du sujet pourrait être la raison supplémentaire qui a conduit à l’annulation de l’exposition.

              Logique froide et rationnelle


              Sur le moment, les deux chercheurs de l’Unige et leurs associés marocains sont déconcertés. «Il y a trois ans, Emmanuel Macron affirmait dans un discours que la colonisation était un crime contre l’humanité. Je n’avais pas l’impression d’être à contre-courant, assure Jean-François Staszak. Je pensais qu’on était à un moment où les choses pouvaient être dites, mais cela supposait une volonté politique qui n’existe ni du côté des Marocains ni du côté des Français.» De plus, «on avait demandé toutes les autorisations nécessaires et on était en contact étroit avec la fondation», justifie Raphaël Pieroni.


              C’est que Bousbir, sorte de parc à thème érotico-exotique, fréquenté aussi bien par la population locale que par les voyageurs, embarrassait déjà l’administration coloniale à l’époque. «Les Français ont mis Bousbir en périphérie de Casablanca, derrière un mur de 6 mètres de haut, accessible par une seule porte, parce que même si c’était un mal nécessaire, c’était la honte», explique Jean-François Staszak. Bousbir a été conçu selon la logique froide et rationnelle de l’époque que les hommes avaient des «besoins» et «qu’armée signifiait donc prostitution». Pour éviter la propagation de maladies vénériennes, il valait mieux contrôler cette activité que la bannir.

              Attentes des Occidentaux


              Mais Bousbir, quartier destiné aux soldats français, aux tirailleurs sénégalais ou encore à l’armée marocaine, s’est rapidement transformé en «resort sexuel», comme l’exprime Jean-François Staszak: «C’était le plus grand bordel à ciel ouvert du monde. Il y avait énormément d’animation, des restaurants, un cinéma, des spectacles érotiques et pornographiques. Les touristes y allaient parce que c’était une attraction incontournable.» L’architecture y joue pour beaucoup, car tout avait été conçu afin de répondre «aux attentes des Occidentaux et donc pour correspondre à l’image qu’ils se faisaient de la femme marocaine, du Maroc, des Mille et Une Nuits», ajoute Raphaël Pieroni.


              Au total, plus de 12 000 femmes y auraient vécu et officié jusqu’en 1955, dans des conditions proches du travail forcé. La moyenne d’âge des femmes qui rentraient à Bousbir était de 18 ans. Aucune n’avait plus de 28 ans. «Je connaissais l’existence de la prostitution à Bousbir mais je n’imaginais pas ça. La démesure du quartier, c’est vraiment monstrueux», souffle Leyla Darrage, Marocaine, scénographe de l’exposition, qui a passé huit mois à fabriquer une maquette du quartier. Si à Casablanca l’histoire sulfureuse de ce quartier est tellement méconnue, cela s’explique notamment par la classe sociale des femmes qui y travaillaient.

              Enfermées pour dettes


              «Trouver des traces de la vie de ces femmes était très compliqué car elles ne sont que des subalternes et l’histoire ne retient que la parole des vainqueurs», affirme Jean-François Staszak. Dans les archives de l’administration coloniale, les deux géographes ont cependant retrouvé des témoignages. De nombreuses femmes s’y plaignaient d’être enfermées à Bousbir à cause des dettes contractées pour payer les loyers. Pour en sortir, un permis octroyé par un médecin était nécessaire. La plupart d’entre elles y avaient été amenées de force, car Bousbir était le seul lieu où la prostitution de rue était autorisée à Casablanca.

              «Quartier réservé. Bousbir Casablanca», sous la direction de Jean-François Staszak et Raphaël Pieroni, Editions Georg, 2020, 208 pages.

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              • #82
                Faut se réveiller tôt mon ami pour le tourisme, tôt il y a 60 [




                Dernière modification par ayoub7, 30 août 2022, 14h23.

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                • #83


                  Un terrasse et un parc public c’est tout ce que tu nous as trouvé ?

                  Mais attend un peu….
                  On a eu une vidéo de toi au hammam, maintenant en terrasse et dans un parc public
                  hum je crois que j’ai tapé juste avec mes articles sur le Maroc !
                  On connaît désormais ta profession

                  Merci pour ta transparence et ton honnêteté

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                  • #84
                    Yes et tout ce que tu as à faire c’est nous montrer de qu’il y a de l’autre côté, super simple

                    je te fais un petit tour avec moi, mrahba dans le pays du de la région qui a lui seul s’accapare pratiquement tout le tourisme de tout le Maghreb avec 60 ans d’avance. sans conteste. Come a été dit ci haut, c’est une réalité amère à laquelle il faut que tu te fasses…


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                    • #85
                      ptdrrrrrr tu t’enfonces grave

                      Alors c’est la que tu “travail” ?
                      Dans un parking couvert a l’abris des regards…
                      On veut surtout pas savoir la suite….
                      C’est bon maintenant, on a compris le genre de « tourisme » que tu promeus pour le Maroc
                      Hammam, terrasse, parc public, parking couvert..
                      Attention de ne pas finir pas dans le coffre de la voiture quand même

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                      • #86
                        Mon ami, ton agacement fait que tu utilises trop de smileys et tu vas vers la personnalisation de debat tout ce que tu as a faire c’est de nous montrer ce que la qowa dariba touristique de la région fait de similaire, c’est tout.

                        si tu ne trouves rien, fais comme Bouteflika : allah ghaleb

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                        • #87
                          Prends ton temps, je finis mon café avec superbe vue sur la médina et la marina….


                          Commentaire


                          • #88
                            On va te laisser attendre tes « clients » tranquille t’inquiète

                            Je précise que ta vie de traînard suspect ne donne envie à personne

                            Allez au boulot maintenant ! les touristes belges vont pas tarder à débarquer et te ramener avec eux comme souvenir du Maroc
                            Dernière modification par djamel, 30 août 2022, 15h56.

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                            • #89
                              Voila, allah ghaleb comme je te disais, c’est plus simple, plus court et ça t’évite de t’énerver en public…

                              Prions tous pour que dans 30 ou 40 ans on verra l’algérien avoir une “vie de traînard” pareille comme les marocains que je vois en face de moi la

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                              • #90
                                Surtout pas !

                                Les algériens ne veulent surtout pas finir comme toi

                                Allez vas y maintenant ! les belges détestent qu’on les fasse attendre
                                Il faut que tu sois à la hauteur de la légendaire hospitalité marocaine

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