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L' approche sécuritaire du tourisme maintient l'Algérie dernière destination de la Méditerranée

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            • #66
              Djamel a tout compris, il va changer le classement dernier de la classe de l’Algérie avec des photos

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              • #67



                AZ HOTEL KOUBA Restaurant Ciel d'Alger

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                • #68

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                  • #69
                    Toujours dernier de la classe, classement inchangé

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                    • #70
                      Maroc à jamais les premier, classement inchangé

                      Le tourisme sexuel des Khalijis en toile de fond de l’affaire du pédophile koweïtien

                      La polémique, provoquée par l’affaire du pédophile koweïtien, aurait le mérite de dénoncer le tourisme sexuel, un phénomène social qui prend de l’ampleur à Marrakech et dans d’autres villes touristiques du Maroc.

                      L’Association marocaine des droits de l’homme, lors d’une rencontre médiatique organisée vendredi 21 février, a mis la lumière sur l’affaire du pédophile koweïtien ainsi que sur le tourisme sexuel sévissant dans la ville ocre, en relation avec les ressortissants du Golfe.

                      La particularité, qui retient l’attention dans l’ensemble des dossiers évoqués par l’association, est l’abandon des actions judiciaires à l’encontre des Khalijis, surpris en flagrant délit de prostitution et de débauche dans des villas et des résidences aménagées à cet effet.

                      En contrepartie de cautions substantielles, ces derniers bénéficient de la liberté provisoire leur permettant de quitter impunément le territoire national, tandis que les jeunes filles sont incarcérées, fait savoir le site Aljarida24.

                      À partir de 2010, le modus operandi des réseaux de proxénétisme de luxe a fait l’objet d’une transition notoire, en évitant les agglomérations urbaines et en modifiant les moyens de communication.

                      Accompagné de 22 jeunes filles marocaines et de plusieurs proxénètes, un chanteur Emirati et ses proches avaient été surpris en flagrant délit dans une villa, à la Palmeraie de Marrakech, louée à 22 000 dirhams par jour, avant de quitter le Maroc pendant leur mise en liberté provisoire. Les filles avaient écopé de 2 mois de prison et les proxénètes, poursuivis pour traite des humains et asservissement sexuel.

                      La préparation des rendez-vous coquins est assurée par les proxénètes, qui se substituent aux réseaux sociaux pour trouver la proie idéale aux prédateurs du Golfe. Chaque intermédiaire dispose d’un répertoire de plus de 1 500 contacts téléphoniques, qui subissent des phases sélectives progressives.

                      Après un premier tri, le proxénète fait passer un "casting" au groupe choisi, une forme de défilé d’esclaves, qui se déroule en présence des clients Khalijis. Le rejet est appelé "Rivoli", où la fille perçoit une petite compensation financière.


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                      • #71
                        Je viens revérifier , yup, classement toujours valable, toujours dernière de la classe

                        Mais pourquoi as tu arrêté avec les photos? Ils allaient presque changer leur avis et remonter ton pays dans le classement.

                        perseveres, ne laches pas le morceau, continues de nous mettre des photos

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                        • #72
                          C'est du flooding que notre ami fait pour noyer le sujet. nassim devrait intervenir.

                          ​​​​​​De plus, on a reconnu la patte de notre ami MEK ou Mec213 ou djamec213. Si on utilise plusieurs pseudos il faut au moins varier la style.
                          ​​

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                          • #73
                            Moi aussi je viens de vérifier

                            Vous êtes toujours au coude à coude avec la thailande !

                            Mais le “travail” et la persévérance finira par toujours par “payer”

                            Petit rappel pour les amnésiques :

                            Marrakech, le Bangkok de l’Afrique !

                            Bladi

                            Le tourisme sexuel fait rage au Maroc et principalement à Marrakech, qui est en passe de devenir le Bangkok de l’Afrique et où des pédophiles sans scrupules abusent de petits enfants. C’est ce que montre un reportage réalisé par des journalistes espagnols s’étant fait passer pour des touristes en quête de plaisirs interdits.

                            Le reportage choc diffusé par une chaîne de télévision néerlandaise, débute sur une intervention de José, un touriste espagnoloriginaire de Malaga. L’homme explique sur un ton méprisant aux journalistes munis d’une caméra cachée, que ces enfants ne sont que des menteurs et des voleurs qu’il faut "utiliser et jeter comme des Kleenex". Pour satisfaire son appétit sexuel, ils se rend presque tous les mois au Maroc.

                            La place Jamaâ El Fna est une plaque tournante du tourisme sexuel, où des enfants vont à l’école la journée et sont proposés à des touristes par des proxénètes la nuit tombée. Les filles sont parfois récupérées à la vue de tous devant les collèges et lycées, puisque contre un peu d’argent, la police ferme les yeux.

                            Le tourisme sexuel à Marrakech est une réalité, explique l’ancien directeur de Defence for Children International, le Néerlandais Stan Meuwese, qui impute la recrudescence de ce phénomène à l’absence d’une politique d’Etat qui protège les enfants, esclaves sexuels de touristes égoïstes. Cette façon de faire rappelle le protectorat selon le chercheur pour qui les jeunes victimes garderont des séquelles à vie. (N’est ce pas ayoub )

                            Reportage

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                            • #74
                              jeudi 28 octobre 2021Pédophilie et tourisme sexuel au Maroc : l’autre épidémie

                              Au Maroc les jeunes sont frappés par le chômage et la pauvreté et se retrouve par désespoir vers le tourisme sexuel, 30 euro la nuit c’est beaucoup quand ont s’ai qu’au Maroc le salaire minimum et de 200 euro par mois.

                              Elles sont plusieurs, assises au bar d’un hôtel de Rabat où l’un des principaux voyagistes français loge ses vacanciers. Habillées avec élégance, décolleté plongeant, elles guettent le client. Invitée à prendre un verre, l’une d’elles propose d’emblée ses services: « Je dors avec toi là-haut. Avec les gens de l’hôtel, il n’y a pas de problème. Il faut parler avec eux, c’est tout. Ils me connaissent. » La formalité a un coût. Le personnel fermera les yeux en échange de quelques billets versés à la sauvette.

                              Au Maroc, la prostitution est interdite. Mais dans la plupart des hôtels fréquentés par les touristes, à Marrakech, Agadir, Essaouira ou Rabat, des jeunes femmes offrent leurs services aux étrangers de passage. Certaines sont des professionnelles. D’autres ne pratiquent le sexe tarifé que de façon occasionnelle. Plus discrète et plus récente, la prostitution masculine existe aussi. Loin des palaces, même des enfants des rues racolent, pour quelques dirhams. Le phénomène se serait amplifié ces dernières années.

                              Nathalie Locatelli est de ceux qui observent avec inquiétude cette évolution. Depuis qu’elle a choisi de s’installer à Marrakech, au début des années 2000, pour y ouvrir la Galerie 127, spécialisée dans la photographie contemporaine marocaine, cette Française affirme avoir constaté dans la ville ocre une « explosion » du tourisme sexuel. « Les hôtels de luxe, les riads regorgent de prostituées. Même dans la rue, on voit des adolescentes aguicher les Occidentaux !. En passant sur la place Jemaa El Fna, il m’est arrivé plus d’une fois de me faire racoler… L’absence d’espoir et de perspectives pour les jeunes a tout déréglé. On a l’impression que tout est à vendre.

                              « La pauvreté et l’exclusion sont principalement à l’origine de la propagation de la prostitution au Maroc », analysait il y a trois ans, dans un rapport sur le tourisme sexuel dans le royaume, Khalid Cherkaoui Semmouni, coordinateur général de la Coalition contre les abus sexuels sur les enfants (Cocasse) et président du Centre marocain des droits de l’homme.

                              Longtemps, cette réalité a été taboue. Depuis quelques années, cependant, des associations militent contre les différentes formes d’exploitation sexuelle, à commencer par la pédophilie. Elles n’hésitent plus à organiser des manifestations de rue contre cette forme de « tourisme », tentent de fournir une aide aux victimes et de faire en sorte que les coupables soient poursuivis.

                              La plus active est l’association Touche pas à mon enfant, créée à Agadir par la juriste Najat Anouar et qu’anime à Marrakech l’avocat Mustapha Errachidi.

                              La tâche n’est pas aisée. Les militants de Touche pas à mon enfant ont souvent du mal à convaincre les proches des victimes de sortir du silence. « Des freins sociaux, culturels et économiques empêchent les familles et les enfants qui ont subi des violences sexuelles de parler librement, de porter plainte et d’aller au bout du processus judiciaire », soulignait l’Unicef fonds des Nations unies pour l’enfance) dans un rapport publié il y a quelques années déjà et consacré à l’exploitation sexuelle des enfants à Marrakech.

                              Un problème que confirme Me Errachidi. « A cause de cela, ajoute-t-il, nous avons beaucoup de mal à mesurer avec exactitude l’ampleur des dégâts. Si l’on en croit l’Unicef, le Maroc, sans atteindre le niveau de la Thaïlande, est devenu une des destinations favorites des pédophiles. Et le phénomène s’accroît ». En 2008, l’association a recensé 306 victimes d’actes de pédophilie dans tout le pays. Des touristes étrangers étaient impliqués dans un peu plus d’un tiers des cas.

                              Mustapha Errachidi assure la permanence de l’association dans un bureau exigu au rez-de-chaussée d’un vieil immeuble proche du Café de France, en plein centre de Marrakech. « On reçoit de plus en plus de dossiers, confie-t-il. Je viens, par exemple, d’être alerté sur le sort d’un bébé violé par son père adoptif, un touriste français. Avant de déposer plainte, je dois faire des recoupements, chercher des preuves matérielles, comprendre les circonstances de cette adoption. C’est très compliqué et pourtant il faut faire vite ! » Malgré le manque de moyens pour diligenter les enquêtes, souligne l’avocat de Marrakech, l’étau se resserre autour des pédophiles, en partie grâce à la médiatisation récente de certaines affaires. Il y a quelques années, la diffusion par une chaîne espagnole d’un reportage sur la prostitution infantile avait fait grand bruit. Peu après, une trentaine de personnes, à Tanger et à Marrakech, avaient été arrêtées. « Cela a contribué à briser le tabou », souligne Me Errachidi.

                              L’Association marocaine des droits de l’homme (AMDH), qui s’était portée partie civile, avait à l’époque protesté contre un jugement à ses yeux trop clément. En 2006, un autre Français, l’agent immobilier Hervé Le Gloannec, écopait de quatre ans d’emprisonnement en première instance, peine réduite en appel à un an. Surpris dans les bras d’un jeune Marrakchi de 15 ans, il collectionnait sur son ordinateur des images pédopornographiques. La police mettra la main sur 100 000 photos et 17 000 vidéos pornographiques.

                              Au total, depuis 2001, une quarantaine de touristes européens ont comparu pour des affaires de pédophilie ou de prostitution. Certains procès ont été largement couverts par la presse marocaine. Ainsi, il y a cinq ans, les médias avaient évoqué le cas d’un ancien journaliste belge poursuivi, dans son pays et au Maroc, pour outrage aux bonnes moeurs: il avait vendu sous le manteau des photos pornographiques de jeunes Marocaines, parfois mineures. Une autre affaire a fait grand bruit: celle de Jacques-Henri Soumère, l’ex-directeur du théâtre Mogador à Paris, interpellé en avril 2006 dans son riad de Marrakech en compagnie de deux jeunes Marocains. Inculpé d’incitation à la débauche sur mineurs, il ne sera toutefois condamné qu’à quatre mois de prison avec sursis par le tribunal de première instance de Marrakech.

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                              • #75
                                Ah voila, bravo, lalgerie est remontée de 20 places la. Tu vois, ça marche!
                                Dernière modification par ayoub7, 30 août 2022, 13h48.

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